Document Exclusif !!! « Al ­Hijaz, Terre d’origine d’Abraham et des Prophètes Israélites »

À la fin du siècle dernier, de surprenantes nouvelles hypothèses ont émergé chez certains théologiens et historiens selon lesquelles la carte géographique Biblique des origines et parcours des Prophètes Israélites est truffée d’erreurs flagrantes et que le Sud-Ouest de l’Arabie est leur véritable lieu de séjour. Des recherches postérieures sont venues affiner cette géographie pour situer ces terres prophétiques dans la région de la Mecque, autour du Hijaz et des montagnes Sourat de l’Asir. Il ressort de cette nouvelle carte que la ville sainte de la Mecque émerge comme le seul vrai lieu d’origine des Prophètes Israélites…

Il sera révélé et prouvé dans cette étude de Tarik Ahmed que les événements et récits de l’Ancien Testament n’ont donc pas eu lieu en Palestine mais se sont plutôt déroulés dans la province de l’Asir, dans le Sud-Ouest de l’Arabie, précisément entre la Mecque et le Yémen…

Voici donc ce document exclusif en langue française sur une des plus grande falsification de l’Histoire que nous avons été autorisé à publier. Il n’aurait pas été judicieux de faire de cette étude explosive un article en deux parties, nous avons préféré vous la présenter dans son intégralité, vu sa longueur, nous vous recommandons donc de la lire avec beaucoup d’attention… Bonne lecture …


Al ­Hijaz, Terre d’origine d’Abraham et des Prophètes Israélites

Une carte géographique Arabe de l’itinéraire d’Abraham basée sur l’histoire d’Arabie.
Tarik Ahmed, Amman, Jordanie Al-Tajdeed Cultural and Social Society Royaume du Bahrain Juin 2006
Seconde édition juillet 2006

Note:
Ce document a été présenté à l’occasion du Deuxième Congrès international des études pour le Moyen-­Orient qui s’est tenu à Amman, Jordanie. Il présente un résumé de travaux de recherches exhaustifs publiés par Al-Tajdeed dans un livre paru en langue Arabe sous le titre “Neda Al Surat – Le kidnap de la géographie des Prophètes”. Le livre peut être téléchargé à partir du site internet d’Al- Tajdeed Society. La plupart des références Arabes citées dans ce document ne sont actuellement pas disponibles en anglais, par conséquent, ces références ne sont citées que dans leur langue originale.

Résumé:
À la fin du siècle dernier, de surprenantes nouvelles hypothèses ont émergé chez certains théologiens et historiens selon lesquels la carte géographique des origines et parcours des Prophètes est truffée d’erreurs flagrantes. Leur nouvelle hypothèse suggéra que la province d’Asir (région de la côte Ouest de l’Arabie du sud des montagnes d’Al Sourat, allant de la frontière Nord du Yémen à la région de la ville sainte de la Mecque) fut en réalité le véritable théâtre géographique qui mit en scène la plupart des prophètes, leurs lieux de naissance, leurs révélations, leurs prêches ainsi que leurs sépultures.

Des recherches postérieures sont venues affiner cette géographie pour situer ces terres prophétiques dans la région de la Mecque, autour du Hijaz et des montagnes Sourat d’Asir. Il ressort de cette nouvelle carte que la ville sainte de la Mecque émerge comme le seul vrai lieu d’origine des Prophètes Abraham*, Lot*, Sarah, Hagar et Ismaël* comme il sera révélé dans cette étude.

Cette hypothèse est née des inconsistances inconcevables que l’on trouve dans les écrits bibliques relatifs aux espaces géographiques traversés par les Prophètes, auxquelles s’ajoute un manque réel de preuves archéologiques encore aujourd’hui, que ce soit en Palestine, Syrie, Irak ou en Égypte.

Chose intéressante, tous les chercheurs qui soutiennent que le Sud-­Ouest de l’Arabie est le véritable lieu de séjour des prophètes Israélites ont abouti a leurs conclusions en se basant sur des recherches et analyses exclusivement méthodologiques. Néanmoins, cette étude se penche sur les éléments manquants de ces recherches, des facteurs qui visent à compléter les recherches en cours dans ce domaine, à savoir :

1) Aucun des travaux actuels n’ont conduit d’étude analytique poussée de littérature de l’histoire Arabe ancienne, qui confirme que les prophètes Israélites furent en réalité un peuple Arabe résidant en Arabie.

2) Aucun chercheur n’a encore expliqué jusqu’à ce jour quand et comment les vrais parcours des prophètes sont passés du cadre d’une petite région bien localisée à un vaste espace géographique allant de la rivière Euphrate en Irak à la rivière Nil en Égypte.

3) Aucun des chercheurs n’a jusqu’à présent identifié l’entité qui a créé ces illusions dont le résultat fut de dissimuler les vrais parcours des Prophètes Arabes Israélites. Ils n’ont pas clarifié non plus quel fut le but de cette manœuvre.

En plus de répondre à ces questions, ce document conclut que la littérature de l’histoire Arabe ancienne apporte des preuves substantielles qui confirment et soutiennent l’hypothèse en question. Plus que cela, il présente l’ébauche d’une nouvelle carte géographique illustrant l’itinéraire d’Abraham sur la base d’anciens récits Arabes de ces événements, comme une alternative à la carte géographique biblique largement répandue et controversée que l’on trouve au dos des ouvrages bibliques modernes.

Introduction:

Dans son livre “La Bible est née en Arabie” qu’il publie en 1984, Kamal Al Salibi a provoqué un séisme. Et pour cause, il y conclut en effet que les événements et récits de l’Ancien Testament n’ont pas eu lieu en Palestine comme mondialement accepté mais se sont plutôt déroulés dans la province d’Asir, dans le Sud-­Ouest de l’Arabie, précisément entre la Mecque et le Yémen.

Al Salibi fut stupéfait du nombre de noms d’endroits bibliques trouvés dans la région d’Asir. Contrairement aux inconsistances entre les récits bibliques et les endroits supposés leur correspondre, il releva une corrélation géographique plus cohérente entre ces mêmes références bibliques dans la région d’Asir et les distances parcourues par les prophètes, telles que rapportées dans les récits de l’Ancien Testament.

Malgré l’adoption de méthodologies différentes, le Dr. Ahmed Dawood aboutit de son côté aux mêmes conclusions, qu’il publie en 1991 dans son livre intitulé “Les Arabes, les Sémites, les Hébreux, les Enfants des Banu Israël et les Juifs”. En plus des nombreuses et surprenantes révélations dont recèle ce livre, Dr Dawood présenta une fine carte de l’Asir au Sud de la Mecque où il pointa les parcours du Misr biblique (plus tard appelé Égypte) terre d’origine de Moïse* et de la tribu des Israélites, et le Yerushalayim voisin – le légendaire temple de David*. De plus, en 1994, Dr. Ziad Mouna publia lui aussi un livre illustrant ces travaux dans son ouvrage intitulé “ La Géographie de la Torah – Misr et les Israélites d’Asir”.

Ces érudits d’Orient, comme beaucoup d’historiens et chercheurs contemporains d’Occident sont tous parvenus à la même conclusion : Que l’espace géographique de la Torah n’est pas le Sud de la Syrie, comme il est communément admis, mais qu’il se situe plus au Sud, dans les montagnes d’Asir en Arabie. Néanmoins ces conclusions ont amené avec elles d’autres questions, comme celles de savoir quelles furent les causes de ce glissement d’espace, quand il eut lieu, et bien d’autres interrogations encore. Quelles seraient les motivations d’une telle falsification internationale?

Comment les auteurs ont-ils pu convaincre des générations entières d’accepter cette fausse géographie biblique? D’un autre côté, ce nouveau paradigme nous aide à résoudre de nombreux vieux mystères, comme celui de savoir pourquoi nous ne sommes pas encore parvenus aujourd’hui à identifier le Pharaon de Moïse comme un roi d’Égypte?

Pourquoi les nations occidentales sont-elles toujours ignorantes du fait qu’Abraham a résidé et vécu à la Mecque et ses alentours? Et comment tout cela est-­il lié à l’évolution du conflit israélo-arabe?

L’objectif de cette étude est de s’intéresser à deux questions essentielles dans le but de qualifier ou de disqualifier les théories récentes qui déplacent la géographie biblique. Les autres questions, énoncées plus haut, et beaucoup d’autres points, ont été largement abordés dans un livre écrit en arabe, publié et distribué par Al-Tajdeed Cultural and Social Society situé dans le Royaume de Bahrain. Les deux principaux sujets de cette étude sont les suivants:

1. Si la géographie biblique a été déplacée à un moment de l’Histoire, de sa terre d’origine de l’Asir vers la Palestine, comme s’accordent à le dire de nombreux historiens d’Orient et d’Occident aujourd’hui, pourquoi la littérature Arabe contemporaine ne traite-t-elle pas de ce vol de leur héritage? Pourquoi les Arabes sont-ils restés si muets face à un tel sabotage historique alors qu’ils sont précisément les natifs et habitants d’Arabie où l’Asir est située?

2. La théorie du déplacement ne peut être élaborée et développée sans en identifier les auteurs et sans que leurs mobiles soient clairement établis. Alors, qui sont ceux qui se sont embarqués dans cette “Mission impossible” et ont travaillé si dur à la re‐documentation d’événements historiques si significatifs dans l’objectif de les faire apparaître à d’autres endroits? Et quelles furent leurs motivations?

Vue d’ensemble du voyage du Patriarche Abraham:

À partir des récits historiques pré‐islamiques Arabes, une nouvelle carte des voyages d’Abraham a pu être dressée. Les endroits les plus détaillés de cet itinéraire sont les points de départ et d’arrivée du Prophète. D’où la nécessité actuelle de faire les liens entre ces deux extrémités afin d’avoir une vue d’ensemble la plus précise possible. Beaucoup de travail reste à faire : Plus de recherches, d’inspections de terrains et, sans aucun doute, d’explorations archéologiques.


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Photo 1: Photo aérienne de la mer rouge et de la région du Hijaz sur le bord Ouest de l’Arabie Saoudite qui illustre l’itinéraire de voyage d’Abraham entre Horan et la Mecque (Beer Sheba).


L’itinéraire dessiné sur la photo satellite du dessus (Photo 1) propose de faire débuter le voyage d’Abraham dans la vallée d’Horan située à près de 300 km au Sud de la Ville Sainte de la Mecque. Horan est l’endroit qui a vu grandir Abraham jusqu’à son adolescence. Il fut apparemment amené là par sa mère qui fuyait le village de Ur, où il est né. Horan apparait aujourd’hui sur les cartes d’Arabie Saoudite sous le nom de “Vallée d’Honan”.

Il grandit là comme berger dans les montagnes et dans la croyance de ses aïeux, jusqu’à ce qu’il questionne ces croyances et en arrive à tuer l’un d’eux, ce qui aboutit plus tard à sa condamnation à mort. Il s’enfuit miraculeusement de là avec sa jeune femme Sarah et son neveu Lot. Ils prennent alors la direction du Nord, la route des marchands et se réfugient dans la ville d’Araphat (Ar-bah ou Arba dans la Torah Grecque).

La vallée d’Araphat est aujourd’hui un endroit très connu des Musulmans puisque c’est un des lieux de pèlerinage les plus importants en Islam. Abraham et sa famille s’installèrent alors sur un terrain étroit appartenant à un chef tribal local du nom de Abu Malek, très précisément prés d’un bosquet appartenant à un Arabe Hizaji du nom de Naméra, (ou Namre selon la Torah Grecque), voir photo 2.


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Figure 1: Horan dans les cartes modernes d’Arabie Saoudite C’est ici qu’Abraham et Sarah ont passé la plus grande partie de leur vie, c’est à cet endroit qu’a été érigée la Mosquée Naméra, visitée par des millions de pèlerins chaque année.


À l’âge de la vieillesse, Abraham laissa sa seconde femme Hagar et leur fils Ismaël dans une vallée aride, sans eau, située à quelques 17 km à l’Ouest de ses tentes de Naméra, ouvrant ainsi la voie à la revitalisation d’un lieu saint oublié depuis fort longtemps puisqu’il abrita les premiers êtres humains ayant habité sur cette terre : Adam* et Ève.

Le premier endroit au monde qui témoigne de la première repentance humaine et qui abrita la première cérémonie de prière qui ait eu lieu sur terre, est géographiquement encore préservé et est connu jusqu’à ce jour sous le nom de Beit Allah (Bettel dans la Torah Grecque) qui signifie littéralement en Syriaque et en Arabe – La Maison de Dieu –. Beit Allah est aujourd’hui situé au Cœur de la ville Sainte de la Mecque d’où l’Islam s’est développé.


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Photo 2 : Vue Aérienne de la région de la Mecque montrant Mamre (Naméra) qui se situe à 17km à l’Est de Beit Allah (Bethel) dans la zone sauvage de Bir Sheba, connue aujourd’hui sous le nom de la Mecque.


Sur leur chemin de Horan vers Araphat, le jeune Abraham et sa petite compagnie durent traverser de nombreux gros cours d’eaux et lits de rivières asséchés. Le plus fameux d’entre eux fut la rivière “Phorat” (ou Euphrate tel que rapporté dans la Torah Grecque) qui coule depuis les jardins d’Éden sur les pentes Est des montagnes Hijazis de Sourat. La fameuse rivière Phorat est asséchée aujourd’hui, cependant son lit enclavé ou vallée est facilement visible comme on peut le voir sur la photo 4 ci-­dessous.


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Photo 4 : Image satellite montrant le lit de la rivière Al Phorat (Euphrate) en Arabie Saoudite.


Cette fameuse rivière, prononcée Phorat par les orientaux et Euphrate par les occidentaux, qui coule le long de la moitié Ouest de l’Irak, n’est pas la rivière originale, ni la rivière jumelle du nom de Djilah (Tigre dans la Torah grecque) en fait les deux noms renvoient aux rivières originales qui descendent des jardins d’Éden. Ce légendaire Jardin perdu se situe quelque part sur le haut des montagnes Sourat ou a l’intérieur de ces montagnes, plus près de la Mecque ou Adam et Ève vécurent, comme il est écrit dans l’histoire Arabe ancienne.

Ce que l’on vient d’aborder est une brève “vue d’ensemble” du périple d’Abraham tel qu’il émerge des travaux effectués par Al Tajdeed Society sur l’histoire Arabe pré- islamique. Contrairement aux croyances communément admises, cette carte ne contient aucune référence à l’Égypte, l’Irak ou la Syrie et pas une seule preuve tangible ne fut trouvée pour supporter cette thèse, mis à part des récits contradictoires et conflictuels qui remontent tous à une même et unique origine : La Torah Grecque.

Pour comprendre comment cette carte a pris forme, il faut d’abord examiner l’authenticité et la crédibilité des cartes que l’on trouve au dos des bibles actuelles. Dès qu’il sera démontré que ces cartes sont inconsistantes et non-authentiques, ce n’est qu’après seulement que l’on pourra poser les bonnes questions, afin d’en dégager les bonnes réponses. Pour démarrer, examinons la thèse selon laquelle Abraham et les enfants des Patriarches visitèrent ou résidèrent en Égypte.

Égyptologie – l’Histoire désactivée


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Image 1: À la Mecque, précisément à Beit Allah (Bethel), des millions de pèlerins orbitent autour de la Ka’ba (Kadish) depuis l’époque d’Abraham.


On rapporte qu’alors qu’il visitait les pyramides d’Égypte, le premier ministre d’Israël Menachem Begin aurait dit que ses ancêtres auraient participé à la construction des pyramides. Ces commentaires troublèrent beaucoup d’officiels égyptiens comme le rapporte la presse de l’époque : Le ministre de la culture égyptien Farouk Hosni a encore une fois contredit la thèse israélienne du rôle joué par les juifs dans la construction des pyramides d’Al-Jiza (Gizeh), et leur contribution dans la construction de certains sites archéologiques sur l’ile d’Al-Fantin à Aswan.

Hosni a alors expliqué aux journalistes que “Les Juifs n’ont pas pris part à la construction des pyramides qui sont considérées comme des tombes royales, et il n’était pas permis à quiconque pratiquait une religion autre que celle de Pharaon, le Roi, de prendre part à la construction de ces édifices saints ». Et Hosni d’ajouter “Les Juifs entrèrent en Égypte avec notre maître Abraham (Ibrahim), et quelques uns d’entre eux partirent après la défaite de Hexos et ils n’eurent aucun rôle mentionnable dans la construction de la civilisation des Pharaons”.

La déclaration de Monsieur Hosni est un exemple flagrant du dilemme que les officiels et spécialistes égyptiens doivent endurer lorsqu’ils sont confrontés à des allégations visant à les aliéner de leur héritage historique.


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La mosquée de Naméra dans la vallée d’Araphat, érigée à la mémoire de la première demeure d’Abraham où il vécut avec Sarah. Des millions de pèlerins, vêtus de blanc, visitent ce site durant le Hajj annuel.


Pour autant, les officiels égyptiens confirment que les juifs sont en effet bien entrés en Égypte aux temps d’Abraham et de Youssouf* [Joseph], basant ces confirmations sur quelques références post-islamiques floues et conflictuelles. Les égyptiens qualifient également leur ancien système politique en utilisant le terme de “Civilisation de Pharaon” (de la Torah).

Par ailleurs, ils gratifient leurs propres anciens Rois du titre de “Pharaon” qui est une marque de l’Ancien Testament. D’un autre côté, les experts égyptiens nient le prétendu rôle des juifs dans la construction des pyramides ou tout autre édifice significatif alors qu’ils étaient faits esclaves par les dignitaires égyptiens!

On peut dire, sans prendre de risque, que le public égyptien dans son ensemble, et les spécialistes en particulier, n’ont pas encore activement pris en compte leur propre histoire nationale, très avancée et très bien documentée, mais au lieu de cela, se sont basés sur des sources étrangères très controversées, la Torah, dans le but de re-définir la séquence des événements qui eurent lieu dans leur propres terres pendant la période des patriarches (1700 – 1300 av. JC). On peut facilement aboutir à cette conclusion si l’on demande aux archéologues égyptiens, les historiens et autres experts quelques questions décisives et fondamentales, comme celles-ci :

1. Est-ce que les innombrables excavations égyptiennes, les sites archéologiques et héritages sortis des terres égyptiennes montrent une quelconque preuve ou référence à une figure non-égyptienne du nom « d’Abraham” qui aurait résidé en Égypte quelque part entre 1800 et 1700 av. JC?

2. Existe-t-il une preuve suggérant qu’un non-égyptien du nom de “Youssouf” aurait assuré la fonction de trésorier vers 1600 av. J.C.

3. Est‐ce qu’un ancien papyrus ou manuscrit égyptien fait mention d’un quelconque leader Israélite du nom de Moïse, lequel aurait affronté un des Grand Rois égyptiens vers 1300 av. J.C.?

4. Les anciens documents égyptiens rapportent-t-ils que le Grand Roi égyptien qui aurait affronté moïse se serait noyé dans la Mer Rouge à quelques 400 km de sa capitale, ou même dans le Nil ou un autre cours d’eau?

5. Existe-t-il des traces de références dans les milliers d’anciens scripts égyptiens qui feraient mention de l’exode biblique de plus d’un demi-million de personnes vers 1300 av. J.C.?

6. Est-ce qu’un papyrus fait référence à la fameuse traversée miraculeuse de la Mer par un peuple d’un demi-­million d’âmes en fuite?

7. A‐t-on trouvé une référence, entre les années 5000 et 32 av. J.C. qui indiquerait que les rois d’Égypte furent appelés “Pharaons”?

Les réponses à toutes ces questions sont restées négatives jusqu’à aujourd’hui. Dr Firas Sawah, érudit Syrien connu, résuma cette affaire dans un des ses livres quand il écrit:

“Pour ce qui concerne la période de l’Exode, le consensus est qu’il advint vers 1260 av. J.C.; au temps de Ramsès II… Néanmoins, et malgré tous les efforts universitaires et académiques, aucune preuve historique n’a jusqu’à présent été trouvée pour supporter la fable de l’Exode de l’Égypte… Et les anciens manuscrits égyptiens restent absolument silencieux quant à cette éminente fable de la Torah…

On ne peut simplement pas croire que six cent mille familles esclaves juives aient soudainement évacué le delta du Nil pour se diriger vers les bords de Suez où elles durent affronter les forces du Roi égyptien, et causer la mort du Roi, la défaite de son armée, d’une manière si miraculeuse, sans la moindre trace d’une telle séquence d’événements dans les riches archives égyptiennes aussi bien documentées et préservées qu’elles soient?!”

De plus, on pourrait s’attendre à ce que l’identification de la fameuse momie du “Pharaon” associée à Ramsès II ou à son fils Merenptah soit rendue facile. Ceci précisément parce que les tombes de ces deux rois ont été découvertes, lues et traduites depuis longtemps déjà. Malgré ces découvertes archéologiques, il n’existe toujours pas de preuve, ni aucune trace de référence qui relie ces rois à Moïse et aux Israélites comme écrit dans la Torah Grecque.

Dr Zahi Awas, Secrétaire Général du Conseil Suprême des Antiquités résume cet argument dans un entretien donné à la presse où il affirme que :

“l’examen de toutes les momies royales prouve qu’aucune ne correspond au Pharaon de Moïse. Aucune preuve concluante ne permet à ce jour d’identifier le Pharaon. Toutes les autres théories, si elles ne se basent pas sur des preuves archéologiques substantielles et tangibles sont donc infondées.”

Néanmoins, l’Histoire étayée et crédible d’une nation hautement civilisée doit se contenter d’une place assise de “passager” réduite à attirer les touristes, alors qu’une étrange source historique, l’Ancien Testament, dont les origines sont extérieures à l’Égypte, occupe la place privilégiée de “conducteur” pour mener le pays vers un destin pré-déterminé.

Ce statut-quo, aussi difficile et obscur soit‐il, reste néanmoins encore aujourd’hui en vigueur, pour les raisons suivantes :

• Ceux qui sont supposés défendre leur histoire nationale ne le font pas! Les égyptiens, qui forment une nation historiquement religieuse, seraient plus qu’honorés de voir leur passé associé à la vie des Patriarches. Cela fait maintenant 2300 ans qu’ils attendent en vain et personne n’est enclin à faire les conclusions qui s’imposent et surtout à fermer ce dossier.

• Les Patriarches et leur terres, riches en événements, sont cités dans le Noble Coran. Associer l’Égypte aux patriarches signifierait davantage de bénédiction pour cette terre qui serait alors citée dans le Livre Saint islamique. On peut déjà le noter sur la bannière postée à l’aéroport du Caire où l’on peut lire un passage du Saint Coran.

• Les historiens post-islamiques n’ont cessé de prétendre que les Patriarches Israélites et le peuple Israélite sont entrés et ont vécu en Égypte, donnant ainsi plus de poids à la version biblique. La situation est donc la suivante où, d’un côté, des millions de juifs, chrétiens et musulmans insistent de manière persistante que l’Égypte fut un centre géographique de la vie des Patriarches, spécialement pour Moïse.

D’un autre côté, l’histoire égyptienne qui n’offre pas la moindre preuve tangible à aucun de ces prétendus événements! Les croyants ont résolu cette contradiction en marginalisant le vrai et l’authentique dans l’espoir que la vérité biblique éclate un jour… De même que les chercheurs et archéologues sont de plus en plus perplexes face à l’écart qui est en train de se creuser entre ce qu’ils découvrent et ce que les croyants attendent d’eux qu’ils découvrent.

Au point où nous en sommes, et compte tenu du fait que l’archéologie égyptienne soit si silencieuse sur ces événements bibliques, il apparaît évident que de tels événements aient pu avoir lieu, mais certainement pas en Égypte. Il est grand temps à présent que les chercheurs des trois religions opèrent un changement d’orientation majeur et retournent vers leurs propres sources d’informations, que ce soit des saintes révélations ou des citations historiques afin de mieux comprendre, par exemple, d’où vient cet entêtement à vouloir situer géographiquement l’Exode en Égypte.

Les chercheurs d’Al Tajdeed Society ont opéré ce changement d’orientation et, par voie de conséquence, ont ré-examiné les livres et références d’histoire et de religion islamique et ont effectué une analyse critique de dizaines de citations et textes contradictoires. Le résultat est stupéfiant, contrairement aux prêches de l’immense majorité des savants islamiques, le Coran non seulement ne dit nulle part que les Patriarches aient séjourné en Égypte mais vient même réfuter cette thèse.

Les historiens islamiques n’avaient fait que répéter les erreurs de leurs prédécesseurs, des erreurs qui prennent leurs sources dans les légendes bibliques, et ce prés de 800 ans avant que le Coran ne fût révélé. Il apparaît aussi que l’histoire pré‐islamique contient un certain nombre d’informations indiquant que les scènes géographiques bibliques eurent, en fait, bien lieu en Arabie même.

Pour donner une touche “Da Vinci Code” à cette étude, commençons par revoir les versets du Coran qui sont considérés par les Savants de l’Islam comme des preuves irréfutables que les scènes bibliques se sont bien déroulées en Égypte.

Misr contre Égypte – Le facteur clé négligé

Comme il est raconté dans le Coran et l’Ancien Testament, Moussa (Moïse) a affronté la personne du nom de Fir’awn (Pharaon). Un verset du Coran cite une déclaration de Fir’awn à son peuple où le roi mentionne un emplacement géographique clef.

La traduction officielle du verset en question est la suivante :
[(V51) “Et Fir’awn s’est adressé a son peuple, en déclarant: “Oh mon peuple! Le territoire de l’Égypte ne m’appartient‐il pas? N’êtes‐vous pas témoins de ces cours d’eau qui passent sous mon palais? Quoi? Ne les voyez-vous pas?

(V52) “Ne suis-je pas meilleur que ce Moussa qui n’est rien qu’un misérable et ne peut guère s’exprimer clairement?” (Sourate Az-­‐Zoukrouf, S43, V51­‐52).

À la lecture de ce passage, les lecteurs occidentaux pourraient raisonnablement conclure que les Musulmans sont en accord avec la version biblique de l’emplacement de cette scène, à savoir en Égypte. Ce que la plupart des lecteurs occidentaux ne réaliseront pas, c’est qu’ils sont en train de lire une mauvaise traduction du saint verset, un sens qui ne restitue pas ce que le verset dit en Arabe !

La version arabe du même verset ne mentionne pas la même Égypte du tout ! Ce qu’il mentionne partout, c’est le nom “Misr”. La traduction correcte devrait lire “Oh mon peuple! Le territoire de Misr ne m’appartient-­il pas? « 

En fait, il n’est pas adéquat de traduire des noms propres puisqu’ils sont une expression d’une identité distincte d’une personne, ou d’un endroit, et par conséquent ne devraient être traduits que phonétiquement (translittérés), comme nous l’avons fait avec les noms de Moussa et Fir’awn dans les versets cités plus haut.

Pourquoi le nom de “Misr” s’est-­il transformé en “Égypte” pendant le processus de traduction?

La réponse à cette question sera révélée plus tard, mais d’abord considérons plutôt le scénario suivant: si le nom Misr avait été utilisé dès le départ, les lecteurs n’auraient-ils pas alors demandé où se trouve ce Misr? Si la réponse fut : C’est le pays connu sous le nom d’Égypte, alors la question qui suit serait: pourquoi les Musulmans appellent-ils une ville Misr là où le reste de l’humanité l’appellent Égypte?

Si quelqu’un avait répondu que probablement ce pays s’appelait Misr durant la période de Moussa vers 1300 av. J.C., alors cela aurait posé une autre série de questions telles que : Appelé Misr par qui? et pourquoi? Et pourquoi n’y a t-il aucune trace égyptienne durant cette même période ? Sous Ramsès II, qui indique que le Royaume d’Égypte s’appelait alors “Misr”, ni avant ni après la période de Ramsès qui correspond à la 19eme dynastie règnant sur l’Égypte. Et pourquoi n’existe t-il aucune référence non-plus dans les pays voisins durant cette même période, malgré l’intensité des relations politiques et économiques entre ces pays à l’époque?

Si la réponse est que ce nom est apparu avec l’Islam, alors la question qui en découle serait depuis quand alors ce nom s’applique-t-il à l’Égypte? Que signifie ce nom “Misr”? Et pourquoi ce nom serait-il utilisé par les musulmans seulement? Et pourquoi le reste du monde est-il resté sur l’ancien nom sans le changer à leur tour en Misr?

Ces questions et beaucoup d’autres n’ont pas été posées par les anciens d’Occident et par les spécialistes et religieux d’aujourd’hui simplement parce qu’il y avait cette impression que les nations musulmanes sont toutes en accord à propos de la géographie biblique telle que formulée dans les traductions disponibles du Saint Coran.

Commise par inadvertance, cette négligence des traducteurs du Coran aura privé les chercheurs et penseurs occidentaux d’un authentique questionnement concernant les informations conflictuelles dont ils ont hérité dans la Torah Grecque via l’Église Chrétienne. De la même manière que les points de vues et croyances des nations musulmanes sont restés indiscutés par aucune autre nation, ce qui éventuellement eut pour effet de raffermir l’inexactitude de leur compréhension de la géographie des espaces et lieux des Patriarches telle que révélée dans le Saint Coran.

Cette dynamique eut pour effet de maintenir dans l’obscurité les mondes Chrétien et Musulman ainsi que de nombreuses communautés Juives, dans une longue illusion que seuls le Saint Coran et les révélations égyptologues sont venus contrarier jusqu’à aujourd’hui. Pour ce qui est des mécanismes qui amenèrent les traducteurs Musulmans à transformer le mot “Misr” en “Égypte”, la raison tient au fait que l’Égypte a deux noms formels. Un nom est reconnu par les non-musulmans, c’est “Égypte”, alors que chez les musulmans, c’est “Misr” qui est reconnu partout dans le monde Arabe, et par les égyptiens eux-mêmes quand ils se disent “Misries”!

Prenant en compte cette différence et dans le but de faciliter l’exercice de traduction des textes coraniques, les traducteurs ont donc systématiquement remplacé le nom “Misr” par “Égypte”, de telle sorte que les lecteurs occidentaux puissent comprendre où la scène se passe, pour mieux l’imaginer. Ces traducteurs eurent incontestablement de bonnes intentions mais Le Saint Coran avait-il vraiment besoin d’aide pour identifier les lieux auxquels il se réfère? Pourquoi les musulmans devraient-ils assumer que dès qu’il y a mention de “Misr” il faudrait comprendre “Égypte”?

Cette assomption, centrale et longuement établie, est-elle exacte? Ou bien est‐il enfin temps qu’elle soit soumise à une analyse critique?

La preuve principale sur laquelle la croyance des musulmans contemporains s’appuie pour avancer que l’Égypte est bien la terre de Youssef et la région de l’Exode de Moussa, c’est que le Coran dit que Pharaon et les Patriarches étaient à Misr (comme expliqué plus haut), et comme l’Égypte est connue chez les musulmans en tant que Misr, alors il en suit que l’Égypte doit être la terre de Moussa et de Youssef.

Cette déduction paraît parfaitement logique. Cependant, cet argument n’a rien à voir avec le nom que porte l’Égypte aujourd’hui, puisque le Pharaon a déclaré à son peuple qu’il est le propriétaire de “Misr” (ref. verset coranique du dessus), finalement, ce qui compte vraiment, c’est de prouver que durant cette année 1300 av. J.C. l’Égypte se faisait bien appeler Misr par son peuple. Si cet argument est valide, alors on peut en conclure que le raisonnement des musulmans est prouvé correct.

Pour des raisons inconnues, les nations musulmanes ont toutes pensé que cet argument fondamental avait été discuté et réglé depuis longtemps. Or il n’en est rien, cette thèse n’a jamais souffert d’une quelconque analyse critique sérieuse, et si vraiment elle fut traitée, elle aurait révélé aux musulmans que leur vision actuelle de la géographie des Patriarches n’est pas seulement infondée mais en désaccord totale avec le Saint Coran!

Les découvertes accumulées et désormais accessibles au public prouvent que l’Égypte ne s’appelait pas Misr durant la 19ème dynastie égyptienne. Il n’existe pas une seule trace égyptienne qui mentionne la partie Nord ou Sud de l’Égypte par le nom de Misr, ni aucun nom à la phonétique similaire qui s’y rapporte.

En revanche, ce que l’histoire égyptienne ancienne présente, comme dans les mythes d’Osiris et d’Isis, c’est le nom de Koptos, ou Copto, qui furent graduellement transformés en Gebt, puis El-gibt pour enfin devenir E-gypt, tel que prononcé par les occidentaux.

De leur coté, les civilisations anciennes occidentales, dans leurs Mythologies et cartographies font également référence à ce territoire sous le nom de Egypt ou Egipt. Le mythe grec des filles de Danaos est un bon exemple, qui prouve que le nom Egypt est un très vieux nom qui aura résisté à toutes les tentatives de le changer. Pour les nations de d’Orient, toutes se réfèrent à l’Égypte sous le nom de Gept sauf pour les premiers Musulmans qui, pour des raisons inconnues, cessèrent de l’utiliser. Une investigation est nécessaire pour savoir pourquoi cette appellation fut changée de El‐Gypt en Misr, et les raisons de cette mutation.

Selon l’histoire Arabe, au temps du prophète Muhammad SAWS (570-­‐632 apr. J.C.), l’Égypte était connue des Arabes sous le nom de Al-­gipt. C’est une certitude, quand on se base sur le message adressé par le Prophète au roi égyptien Al­‐Mokawkas pour l’inviter à embrasser l’Islam (image No.2: manuscrit préservé).


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Figure 2: Le manuscrit du Message envoyé par le Prophète Muhammad (SAWS) au roi égyptien qui montre les mots Al-­‐Gipt (E­‐gypt) sans aucune mention du nom Misr.


Ce qui nous intéresse dans cette lettre, c’est l’extrait suivant :

“Au Nom d’Allah, Le Clément, Le Miséricordieux. De la part de Mohammed Ben Abdullah à l’attention de Al-­Mokawkas le Roi de Gipt… Si vous refusez, vous porterez le fardeau des péchés des Gipties…” Cette lettre, particulièrement importante, indique clairement que Al’Gipt fut le nom formel de l’Égypte au temps du Prophète Muhammad SAWS. Le réponse d’Al-Mokawakas elle-­aussi confirme que les égyptiens de l’époque se présentaient comme des Gipties “ A l’attention de Mohammed Ben Abdullah de la part de Al-Mokawkass, Chef de Gipt, …de grande valeur en terre de Gipt…”

Bien que les égyptiens de l’époque ne reconnaissaient pas le nom de Misr, comme on le voit ici dans la réponse d’Al-­Mokawkass, les peuples d’Arabie durant la période du Prophète Muhammad SAWS faisaient référence à l’Égypte entre eux en parlant de “Misr”!

Beaucoup de documents et archives existent pour corroborer ce point. Par exemple, le Calife Ummar Ibn El Khattab adressa une lettre à son chef militaire Amar bin Al Aas, lui conseillant de traiter les Giptis avec gentillesse. Chose intéressante, cette lettre fait référence à ce même territoire en utilisant deux noms différents : Misr et Giptis!

L’usage du nom de Misr chez les premiers Musulmans existait déjà à cette époque, voire même avant la période islamique. La différence entre les deux noms à l’époque est significative, Misr est utilisé à l’intérieur de l’Arabie seulement et il a une origine biblique. Quant à Gypt, il est utilisé avec les égyptiens et le reste du monde, lesquels ne reconnaissent pas Misr comme l’Égypte. En d’autres termes, les peuples Arabes jusqu’à l’avènement de l’Islam partageaient le même nom que le reste du monde pour désigner l’Égypte, Al-­Gipt. Ce n’est qu’après avoir conquis l’Égypte que le terme Misr vint se substituer et s’imposer jusqu’à aujourd’hui.

On peut donc en conclure que Misr n’est pas le nom d’origine de l’Égypte et qu’il n’est pas assez ancien pour être celui de Pharaon quand il déclare que Misr lui appartient. Finalement, en cherchant un Pharaon et Moussa en Égypte alors que le Coran statue clairement qu’ils étaient dans un endroit nommé Misr, les Musulmans sont simplement en train de chercher au mauvais endroit.

La question à présent est celle-ci : Si les Musulmans sont en train de chercher au mauvais endroit, pourquoi les Juifs et Chrétiens anciens et contemporains ont-­ils eux aussi considéré l’Égypte comme terre d’origine de Moussa et de Pharaon?

La “Septante” – Dongeon sacré de l’Égypte

Alors que l’Arabie était en train de recevoir les saintes révélations l’une après l’autre, les nations Européennes, comme d’autres nations, recevaient, elles aussi, les mêmes révélations, mais cette fois-­ci par le biais des marchands et érudits qui voyageaient ou migraient vers ces terres, portant avec eux les nouvelles et les connaissances des derniers textes révélés (21). Comme le Coran, la Torah, dans sa forme des Dix Commandements, fut révélée en premier lieu en Arabie, elle fut traduite à un moment donné en langue Syriaque Arabe.

Pendant leur exil à Babylone (586 av. J.C.), les Rabbins Israélites produisirent ce qu’ils appelèrent la Torah, qui contenait les Dix Commandements en plus de récits historiques relatifs aux tribus Israélites. Cette Torah Syriaque pourrait être le premier livre saint écrit reconnu qu’aient produit les rabbins Israélites. Dans ce livre Syriaque, Mizraim / Mistrayim fut le nom de l’endroit ou Moussa et Pharaon ont vécu. Ce nom est consistant avec les versets coraniques vus plus haut. Les situations géographiques des événements majeurs furent donc très clairs et bien connus des anciens croyants jusqu’à l’apparition de la Septante, la Torah Grecque.

La Septante est la première traduction de la Torah Syriaque. Sa compilation fut terminée en Égypte vers 282 av. J.C., peu de temps après qu’elle fût sous le contrôle d’Alexandre Le Grand. Ptolémée Ben Philadelphus, le souverain grec, exigea sa traduction en grec. Une équipe de soixante dix rabbins produisirent la traduction et on dit que soixante dix jours leur suffirent pour compléter cette tâche.

Au cours de cette traduction, une légère altération fut introduite dans le texte grec. Tous les mots Arabes se lisant “mzarm” furent traduits par le mot grec “Ae-­gypt”: Mizraim devint Ae-Gypti. Cet acte indescriptible est tout ce qu’il fallut pour créer une illusion d’une ampleur majeure pour les siècles à venir. À la différence de Misr et Mizeruim, Ae­‐ gypti ou E-­gypt tel que prononcé aujourd’hui a toujours fait référence à un ancien pays, vaste et internationalement reconnu.

Au moment où la Torah Grecque fut validée par Ptolémée, l’Égypte devint une “terre Israélite” dans le sub-­conscient des européens et dans toutes les colonies grecques. Par voie de conséquence, depuis 282 av. J.C., des générations et des générations se sont succédées entérinant la fausse information “sacrée” au détriment de la géographie des Patriarches, si riche en événements, jusqu’à ce qu’elle devienne un fait établi.

Ceci eut lieu à une échelle internationale, les anciens égyptiens n’ont pas non‐plus résisté de manière sérieuse à cette infiltration et implantation fictionnelle de scènes et d’événements dans leur histoire et héritage. En fait, peut-être ont-ils même considéré cette nouveauté comme un autre privilège à ajouter à leur passé glorieux. Ce que les égyptiens ont mal jugé, cependant, c’est qu’en acceptant cette infiltration dans leur histoire, ils ont en fait accepté, sur le long terme, de céder leur terre et leur civilisation à une petite tribu Arabe insignifiante, alors que la Grande civilisation égyptienne est désormais absorbée dans la saga de la “ Terre Promise” aux cotés de l’Irak et de la Syrie.

C’est ainsi que des dignitaires en visite sur le sol égyptien ont aujourd’hui l’insolence de faire croire que leurs ancêtres furent les vrais bâtisseurs des grandes pyramides d’Égypte. Cette situation perdurera tant que les chercheurs et érudits égyptiens ne décident de lancer des recherches indépendantes visant à ré-étudier ce que la Septante a apporté ou enlevé à l’Histoire de l’Égypte et à son peuple. Il semble bien que se soit la seule option qu’il reste aux égyptiens pour s’échapper du dongeon “sacré” qu’est la Septante.

Le Pharaon égyptien – Un “sacré” canular toujours bien en vie

Dans les nombreuses conférences qu’il donne, le Docteur Zahi continue d’utiliser le mot “Pharaons” de la Torah quand il fait référence aux anciens grands rois de son pays. Il confirme également que malgré les innombrables missions nationales et internationales effectuées jusqu’à ce jour, il n’existe encore aujourd’hui aucune preuve scientifique que Ramsès II et son fils Marnabtah soient les rois d’Égypte que la Torah décrit dans ses récits de la période de Moussa. En général, l’affaire s’arrête là, et les indications montrent que cela ne changera pas de sitôt sans un revirement radical.

La réponse à cette impasse fut trouvée par un historien islamique très connu du nom de Al-­Masooedy (***-946). Al-Atabaki rapporte que Al-­Masooedy a documenté les résultats de ses recherches personnelles où il écrit “ Alors que je me trouvais à Al-Saeid (Nord de l”Égypte), j’ai demandé à un groupe d’érudits Gipti la signification du mot Fir’awn (Pharaon). Ils ne connaissaient pas la signification de ce nom qui n’existait pas dans leur language!!…”

Le même nom, sans signification là aussi de “Pharaon” en langue Gipti fut aussi rapporté par Ibn Khaldoun (27). On a ici la réponse à l’impasse sur laquelle butent la majorité des spécialistes actuels et anciens.

Comme c’est linguistiquement confirmé, il n’existe pas de mot prononcé “Pharaon” en langue Gipti, pas plus qu’il n’existe sous la forme d’un mot écrit ou utilisé parmi le public Gipti, surtout quand il s’agit d’un titre royal. La prononciation la plus proche qui existe serait celle de “per‐aa”, comme le défend Marie Parsons, une thèse très controversée et rejetée par de nombreux spécialistes et chercheurs tels que M.S.M. Saifullah, Abdullah David et Elias Karin.

Michael S. Sanders résume la question ainsi: “…Comme on peut le voir, on ne peut réellement traduire Pir’u en Pharaon à moins que certains aient une légère inclination à le faire…”

Malgré la confirmation que Fir’awn n’appartient pas à la langue gipti, ni que ce nom soit le titre des rois égyptiens, il n’en demeure pas moins que ce mot est maintes fois utilisé dans le Coran et la Bible. Cette contradiction, persistante, aurait dû inciter les chercheurs à chercher ce nom à l’extérieur de l’Égypte. En effet, sans trop d’efforts, on peut prouver que ce mot existe, et qu’il a même un sens très clair en Arabe.

La racine du mot Arabe Fir’awn AlCiHijaz_FR-046 est Far’a AlCiHijaz_FR-048, ce système de mot à la “racine” est commun en langue Arabe. Par exemple, la racine du mot Sidoun est Saida, et pour Sa’dwoon, c’est Sa’d, et pour Babylone, c’est babel, etc.

Quand on cherche la signification de la racine Far’a dans le dictionnaire Arabe, la réponse est immédiatement claire. Parmi les nombreux sens donnés à cette racine, on trouve cette signification fondamentale “Le Haut ou le Chef de quelque chose, que ce soit une terre, une montagne, un corps, un peuple, etc…”. (32) Ceci signifie que le mot Fir’awn n’est pas un nom, mais qu’il désigne le titre d’un ordre social.

L’histoire et la langue Arabe fournissent encore plus de surprenantes révélations sur la personne de Pharaon lui-­même, des éléments qui viennent renforcer ce résultat. Ben Asaker, Ibn Kathir et Al-­Majlessy rapportent que Fir’awn était marié à une Arabe “…la femme de fir’awn était Assia, fille de Mozahim ben Abdullah ben Al Rayan ben Al Walid, Mozahim fut en son temps le fir’awn de Youssouf…” (33-­‐34-­‐35).

On rapporte que ces noms ont été confirmés par le Prophète Muhammad SAWS lui-même. Ceux qui sont familiers avec les noms Arabes réaliseront immédiatement que de tels noms ne proviennent pas de l’Égypte ancienne et qu’ils n’existent aujourd’hui que dans les terres d’Arabie.

À la surprise de nos chercheurs, un grand nombre d’historiens ont rapporté de manière très précise le véritable nom de Fir’awn. Ce qui suit est une citation que l’on trouve dans de nombreuses références :

“…Je demandais à Mousa Ben Jaffer de m’expliquer le sens du verset coranique suivant, qui ordonne à Moussa et Haroun de rencontrer Fir’awn: [ (43) Allez, tous les deux, à Fir’awn, car en vérité il a transgressé. (44) Et parlez lui gentiment, peut-­‐être acceptera‐t‐il l’admonestation et la crainte d’Allah]. Jaffer répondit que le sens de “et parlez lui gentiment” signifie de s’adresser à lui par son titre Abu Mousaab, comme le nom de Fir’awn était Al Walied Ben Mousaab…” (36-­‐37-­‐38).

Ces noms et titres renvoient trés clairement à des noms de tribus Arabes. Dans son livre, Al Hamawi donne les détails suivants concernant Fir’awn, révélant son propre étonnement: “Fir’awn est issu des Arabes Bialie, il était de petite taille, à la peau claire portant une longue barbe, il gouverna Misr pendant 500 ans puis Allah le fit périr dans les eaux et son nom fut Moussab, certains prétendent qu’il fut un descendant Gipti, mais pas des Amalek !? “

Cette citation indique que pendant la période de l’auteur, d’autres sources auraient prétendu que Fir’awn était Gipti, à la grande surprise du narrateur. Chose triste, ce qu’il confirme provoque étonnements aujourd’hui et ce qu’il questionne est devenu connaissance commune sur le plan international !

Les Amalek, auxquels appartient Fir’awn, sont cités aussi bien dans la Torah que dans l’histoire d’Arabie. Ils forment une tribu bien connue qui a vécu à la Mecque et ses alentours, comme le rapporte Dr. Ahmed Amin “…les Akhbariyines (anciens historiens Arabes) mentionnaient que les Amalek habitaient La Mecque, Madina et le Hijaz, ils furent des tyrans et Moussa les affronta. Les Juifs vinrent s’installer dans le Hijaz après la chute des Amalek.” (40) Al Shibani rapporte néanmoins que le nom de Fir’awn fut en réalité Kabouws. Il écrit “…alors Misr fut gouverné par kabouws Ben musaab ben Moawya ben nomir Ben Al Salows Ben Amro Ben Amalek…”

Alors le premier nom de Fir’awn pourrait être Mousaab ou Kabouws et les deux noms sont d’origine hijazi et ne risquent pas d’apparaître parmi les noms des rois Gipti. La même information était aussi connue de quelques Juifs Arabes et Chrétiens comme le rapporte Al Qurtabi et Al Shookani qui écrit “…Wahab rapporta que les Gens du Livre connurent Fir’awn par le nom de Al Walid ben Mousaab ben Al Rayan et son titre était Abu Morah” (42-­‐43).

Cette citation indique que tous les “Gens du Livre” ne furent pas complètement influencés par le faux dogme de la Septante. Cependant, l’absence totale du nom de Fir’awn de leurs documents, ou au moins les documents mis à la disposition du public, indique que l’identité de Fir’awn fut systématiquement mise hors de portée.

La masse de références historiques ou d’histoire Arabe qui mentionnent le nom de Kabouws ou Mousaab ou Al Walid comme le premier nom du Fir’awn de Moussa dépasse le nombre ahurissant de cinquante. Voici une liste pour la référence des chercheurs :

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L’abondance de cette information historique concernant l’identité de Fir’awn devrait faire l’effet d’une grande surprise chez les lecteurs Musulmans comme chez les Chrétiens et les Juifs. La raison de cela tient au fait que certains des premiers historiens post-islamiques ont adopté les données falsifiées de la Septante pendant prés de 800 ans avant la révélation islamique. Leurs documents historiques devinrent des références islamiques pour les générations à venir, jusqu’à aujourd’hui.

Les détails contradictoires entre l’information pré-islamique et post- islamique créant de sérieuses divergences, la solution fut de graduellement “désactiver” l’histoire originelle Arabe comme ce fut le cas avec l’histoire égyptienne, et ce à la faveur de l’inexacte version occidentale qui prévaut encore aujourd’hui.

Ayant découvert le nom complet de Fir’awn à partir de l’histoire des terres où il vécut et gouverna plus tard, il ne sert plus à rien de le chercher parmi la liste des noms royaux égyptiens. Le faire serait la même chose que rechercher un roi Abdullah parmi la liste des noms royaux de la famille royale écossaise chrétienne. Quelles sont les chances de trouver un tel nom à un tel endroit, à une telle position et à une telle période?

Pour résumer, et contre les desseins de Ptolémée et des 70 rabbins, l’égyptologie a résisté à l’implantation du tyran Fir’awn dans son héritage Gipti. De la même manière que l’histoire Arabe a rejeté cette falsification et a résisté à l’amputation de Moussa à l’Arabie en retenant suffisamment d’informations historiques pour dessiner les origines des événements bibliques. Il est grand temps que l’on réalise enfin qu’il n’y a pas eu de Pharaons en Égypte, et ce titre, périmé aujourd’hui, devrait être ramené là où il a toujours appartenu, en Arabie.

À la recherche des Patriarches en Arabie – Balayer les sables du désert

Comme on l’a expliqué plus haut, la Torah grecque est une contrefaçon. Le mot Misr dans la langue originale Syriaque a été intentionnellement remplacé par le mot Al-Gipt. Par voie de conséquence, le petit nom “Misr”, jamais prononcé par les croyants occidentaux, dut céder la première place historique au grand nom “Égypte” dans l’esprit de ces croyants occidentaux.

Malgré sa petite taille insignifiante, Misr fut néanmoins le théâtre de scènes bibliques majeures. Ou se situait Misr alors?

L’histoire Arabe basée sur le Saint Coran nous enseigne qu’Abraham vécut à la Mecque. En fait lui et son fils Ismaël y construisirent Beit Allah – la Ka’bah comme le rapporte ce verset: “Et rappelle-­toi Ibrahim et Isma’il dressant la Maison (la Ka’bah à la Mecque) (avec cette prière) : Oh notre Dieu! Accepte ceci de notre part, Tu es Celui qui entend tout, qui sait tout” Al-Baqarah S1; V127.

Beaucoup d’autres événements eurent lieu autour de la Mecque, notamment le site ou Ismaël fut offert en offrande (Sourate Al‐Safat Ch.37; V.102). L’endroit du sacrifice est encore préservé, connu depuis sous le nom de Mena, ou Ishmael Altar, où des millions de pèlerins musulmans offrent des sacrifices religieux chaque année depuis la période d’Abraham.

Mena Altar est située à 6km à l’Est de la Mecque (voir photo 5) à côté de la vallée d’Araphat où se trouve la Mosquée Naméra. Selon l’histoire de l’Arabie, on peut lire ceci: “…Gabriel dit à Abraham prends suffisamment d’eau avec toi”. Ils partirent vers la vallée de Mena, puis vers la vallée d’Araphat. Il installa sa tente à Naméra – cet endroit est marqué depuis par des pierres blanches pour le préserver, et il fut anciennement appelé la Mosquée d’Abraham, il est aujourd’hui annexé à la mosquée Naméra.” (90-­‐91-­‐92)


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Photo 5: Image satellite des sites les plus importants qui jalonnent la riche vie d’Abraham, qui sont aussi des lieux de rites islamiques annuels du Hajj.


Ces endroits sont cités dans la Torah mais ont été géographiquement déplacés à l’extérieur de leur emplacement réel et systématiquement éparpillés ici et là sur les terres palestiniennes. Abraham, selon l’histoire d’Arabie, fut un étranger dans la région de la Mecque. Son dialecte fut le Syriaque alors que les tribus mecquoises parlaient ‘Aribah AlCiHijaz_FR-062, ces deux dialectes distincts prenant leurs origines dans une langue-mère qui nous est connue pour aider à cette recherche, l’Arabe. Il traversa les montagnes Sourat et s’installa à Naméra, comme l’indique la Torah. On lui donna donc le nom habituel de l’étranger à qui l’on autorise de s’installer parmi eux, comme il sera précisé plus loin.

Ces frontières éphémères peuvent être grossièrement définies à partir d’une citation rapportée par Al-­Andalusy selon lequel : “Tohama est la région qui s’étend le long de la Mer Rouge et qui inclut la Mecque, Al ‘Iber, Al Towr et l’ile. Donc l’Al ‘abr est la zone située entre le Phorat (Euphrate) et le désert Arabe…” (93) En établissant une carte de cette description en Arabie, on peut identifier cette région qui inclurait les montages de Sourat dominant la vallée d’Araphat (voir photo No. 6).


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Photo 6 : Image satellite à lumière filtrée montrant le lit de la rivière Phorat (Euphrate), (tracée par une fine ligne verte) allant du sommet des montagnes de Sourat vers le Sud de l’Irak.


La rivière relie le “désert Arabe” situé entre l’A’ber (montagnes Sourat) et la vallée de la Grande Rivière. Comme Abraham fut l’un de ceux qui traversèrent les montagnes et descendirent dans la vallée d’Araphat, on lui donna le nom de “ibriy”, nom qui signifie littéralement “La personne en transit, ou la personne qui a traversé une topographie naturelle telle qu’une montagne, rivière, mer”. La prononciation syriaque du même nom est également “ibriy”.

Le peuple local d’Araphat l’appela ainsi pendant une longue période, comme l’indique la Torah. Ce nom “ibriy” changea après qu’Abraham fût considéré comme un résident de la Mecque. En rajoutant l’article défini syriac, qui est la lettre “H”, au nom “ibriy”, on obtient Hibriy ou H-ibrew qui signifie littéralement “La personne de passage”.

Avec le temps, cette simple dénomination évolua vers le fameux mot “Hébreux”, lequel renvoie à l’identité d’une nation de langage et de religion différente. La Torah elle-même indique clairement qu’être Hébreu ne signifie pas nécessairement être Israélite (fils de Jacob).

Ceci fut très clair dans les enseignements de Moïse aux Israélites…« Si vous achetez un esclave Hébreu, il devra vous servir six années, à la septième, il devra être libéré.” À l’origine, le nom “Hébreu” signifie une “personne de passage, en transit”, un voyageur. Ce nom n’a jamais supposé être l’expression d’une religion, nationalité ou identité différente, et l’utiliser dans un tel contexte est un abus historique.


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Photo 7 : Le vrai Horan (la maison du Père d’Abraham) à Asir, comparé au Horan falsifié par les rabbis de la Septante, situé en Syrie.


À ce stade de notre recherche, on peut maintenant s’intéresser à une autre question clé : D’où venait Abraham quand il arriva à Arafat?

Selon le Saint Coran, de pas très loin, (Sourate Maryam, V.48). Ce verset révèle une conversation entre Abraham et son peuple après que ces derniers eurent tenté de l’exécuter. Il leur indique qu’il ne va pas migrer mais plutôt s’isoler, ce qui signifie qu’il pourra toujours entrer en contact avec ceux qu’il souhaite revoir.

Le Saint Coran mentionne en effet plusieurs autres conversations entre Abraham et son père après cet épisode de son exécution, ce qui prouve que la terre de ses aïeux n’était géographiquement pas très éloignée de la Mecque où il s’isola.

Selon le Prophète Muhammad (SAWS), Abraham fut mis à l’abri et caché par sa mère dans un endroit appelé Horan, comme l’indique la citation suivante: “… La mère d’Abraham prit son fils (Abraham) pour fuir durant la nuit et le protéger du tyran Nimrod. Elle le plaça prés de trois arbres sur une rivière aux courants rapides appelée Horan…” (97-­‐98-­‐99-­‐100).

Conformément à la géographie de la Septante, certains parmi les premiers érudits juifs avancèrent que ce “Horan” était situé du Nord de la Syrie sur les bords Est de la rivière irakienne Euphrate à environ 1600 km de la Mecque (voir photo 7).

Cependant, beaucoup d’endroits en Arabie portent le nom de Honan. Et l’un d’eux se trouve justement sur les bords de la rivière Phorat (la rivière Euphrate originelle) et il ne se situe qu’ à 300 km au Sud de la Mecque. En examinant les images satellites de ce Honan, on peut facilement identifier le lit de la rivière, aujourd’hui asséchée, et on peut observer sa proximité avec la Mecque, ce qui permet de démontrer qu’Abraham fut bien capable de voyager aisément entre la Mecque et la terre de ses parents.

Ce Honan se situe également au Sud de la rivière Phorat qui prend sa source dans le jardin d’Éden d’Adam et Ève, situé au sommet des montagnes de Sourat, pour descendre vers l’Est et finir sa course dans un grand lac asséché des terres basses du Sud de l’Irak, comme le montrent les figures 3 et 4.

Le lac asséché se situe dans le Najaf. Quant à prouver que cette rivière géante d’Arabie est le fameux Phorat, qui perdit son nom et son identité au détriment de celle qui coule de la Turquie vers l’Irak, ce sujet a été largement développé dans deux travaux de recherche d’Al­‐Tajdeed (101).

Abraham dut traverser le Phorat sur son chemin vers la Mecque, un détail qui est mentionné dans la Torah et les documents historiques Arabes. Nous avons donc de bonnes raisons de croire qu’il s’agit ici du vrai Honan tel que mentionné dans la Torah. Sur la question de savoir quelle destination Abraham prit quand il quitta Honan, la réponse est dans ce verset : ‘J’irai vers mon Dieu! Sûrement Il me guidera! (100) Oh Mon Dieu! Donne moi un fils droit” (Al Saffat V99-­100).

Il partit pour Naméra située prés de Beit Allah, la maison d’Allah. Selon le Noble Coran, il était jeune quand il quitta Horan et il eut son premier fils à un âge avancé alors qu’il résidait à Naméra.


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Figure 3 : De nombreuses cartes anciennes témoignent de la présence d’une rivière géante traversant l’Arabie, descendant des montagnes Sourat vers un lac situé au Sud de l’Iraq. C’est la vraie rivière Phorat AlCiHijaz_FR-074 (Euphrate) qui prend sa source dans les jardins d’Éden au Sud de la Mecque.


Apparemment il ne connaissait pas l’endroit exact où trouver “La Maison”: « Et souviens-­‐toi quand nous montrâmes à Ibrahim le site de la Maison Sacrée » : (Al Hajj S22 V.26)… Une fois qu’il identifia où était le site sacré, qui était alors une vallée désertique vide, il devait se l’approprier afin d’en faire un lieu de rassemblement de tous les Croyants du monde. C’est ici qu’il amena Hagar et son fils Ismaël, à 17 km à l’Ouest de Naméra où sa femme Sarah vécut. La Torah confirme, mais de manière indirecte, la courte distance qui sépare ces deux lieux, dans cette citation: “…Et Abraham se leva tôt ce matin la, il prit du pain et une bouteille d’eau, qu’il donna à Hagar…” (105).


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Figure 4: Carte satellite montrant clairement le lit de la même grande rivière Phorat (Euphrates) qui apparaît dans les cartes anciennes. La terre basse dans l’Ahwar irakien correspond au lac où les eaux paradisiaques finissaient leur course.


Comme il est mentionné au-dessus, le périple de Naméra avec pour destination finale Bir Shéba ne nécessita que “du pain et une bouteille d’eau”, ce qui implique que la distance parcourue par le garçon et sa mère fut plus courte que la trajectoire proposée par la Septante, laquelle s’étend sur plus de 1250 km de la Palestine jusqu’à Beersheba à Paran.

Plus loin, la Torah se veut toutefois rassurante : Dès que la bouteille d’eau fut vidée juste à leur arrivée dans la vallée sacrée de Beersheba, de l’eau leur fut miraculeusement fournie. « Et Dieu ouvrit ses yeux, et elle vit un puits d’eau, remplit la bouteille d’eau, qu’elle porta à la bouche du petit”.

Selon les historiens Arabes, la source d’eau surgit de sous les pieds d’Ismaël. Du nom de Bir Zamzam aujourd’hui, cette source étanche chaque année la soif de millions de pèlerins et elle se trouve à quelques mètres seulement de la Ka’aba. La Torah nous informe néanmoins que ce puits prit le nom de Bir shéba (shéba étant le nom donné au puits par Abraham).

Il n’est donc pas surprenant d’apprendre des historiens Arabes que Bir Zamzam ait porté le nom de Bir Shéba à un moment reculé de son histoire, comme le confirme cette citation, selon laquelle “Parmi les vieux noms de Bir Zamzam on trouve “l’Empreinte de pied de Gabriel”, “Le Trou creusé par Ismaël, Wabra, Shéba, …” (108, 109, 110, 111, 112, 113, 114)


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Photo 8 : Les pèlerins ont toujours accès à Bir Shéba (Zamzam). Le Bir (puits d’eau) est situé à côté de Beit Allah (Bethel).


D’autres historiens citent le même nom de “Shéba”, qui renvoie bien au vrai nom de “Bir Shéba” donné dans la Torah, et que l’on peut voir sur la photo 8. Cependant, et en parfait accord avec l’histoire Arabe, l’association de Hagar avec la Mecque est également engravée dans la mémoire Juive telle que commentée par Ibn Ezra ...”Puits de la Vision donneuse de Vie”, (Hakethav VeHaKabbalah); “Puits de la Vision de celui qui donne la vie” (Rashi ; Targum); ou “Puits pour celui qui vit et qui me voit” (Ibn Ezra).

Ibn Ezra identifie cela avec Zamum (Zamzum dans d’autre versions) où les Arabes pratiquent un festival annuel (Hajj). Il s’agit bien sur de Zamzam près de la Mecque. Selon cette version, Hagar prit bien la direction de la Mecque plutôt que celle de l’Égypte.

Pour ce qui concerne l’emplacement exact où Ismaël et sa mère Hagar vécurent, elle est spécifiée dans la citation suivante de la Torah: “Et le Puits dans le désert de Paran: et sa mère les conduisit lui et sa femme hors d’Egypte.” Laissons de côté le nom “Égypte” de la Septante pour nous poser la question de savoir où se trouve le désert de Paran?

Sur Paran, ou Pharan, la mémoire Arabe, nous dit ce qui suit: “Pharan est le nom hébreu des montagnes Mecquoises”… (129, 130,131, 132) D’autres historiens Arabes confirment que “Pharaon est une prononciation Arabe d’un nom d’origine hébraïque, qui est associé aux anciens noms de la Mecque tels que rapporté dans la Torah. On dit aussi que c’est le nom des montagnes mecquoises” (133-­‐134).

Ibn Kathir ajoute aussi une autre information importante dans la citation suivante qui révèle combien Maméra, où se trouve la maison de Sarah, est proche de la vallée sacrée de Bir Sheba: “… Et Abraham avait l’habitude de fréquemment s’assurer du bien-­‐être de sa famille à Pharan…” (135) Sachant qu’Abraham était très vieux quand il eut son premier fils Ismaël, on a du mal à imaginer le Patriarche effectuer des aller-­retours de 2 500 km entre la Mecque et la Palestine, car d’un point de vue archéologique, c’est là une “mission impossible”.

Les dommages causés par le déménagement des terres des Patriarches du Sud vers le Nord de l’Arabie n’affectèrent pas seulement le nom des lieux mais également l’identité des tribus.

Nous ne mentionnerons ici qu’une seule tribu qui dut opérer ce déplacement vers l’Arabie du Nord à cause de leur existence simultanée avec les Patriarches. Les cananéens par exemple sont mentionnés à de nombreuses reprises dans la Torah. Leur première rencontre avec les Patriarches est citée ici: “Et Abram traversa la terre vers l’endroit de Sichen, vers la plaine de Moreh. Et les cananéens étaient à ce moment là dans les terres…”

Des recherches révèlent que “cananéens” est une mauvaise prononciation de “Kananites”, qui est une tribu Arabe qui vivait dans la région d’Araphat. En fait ils vivent toujours là­‐bas et ont laissé des traces de leur nom dans cet espace qui se situe entre la vallée de la Mecque et la vallée de Mena, juste â côté de la vallée d’Araphat. Ben Jumhoor écrit : “… Al Mohasah est la vallée située entre la Mecque et Mena, elle est aussi connue sous le nom de Plaine de la Mecque et la Basse terre de la tribu des Kananites…” (33)

Quant à prétendre que les canaanites vécurent en Syrie, le Dr. Dawood réfute catégoriquement cette option malgré sa large propagation. Il commente ainsi : “… Il est surprenant de voir combien l’histoire des anciens Arabes Syriens qui ont habité cette terre pendant plus de 10 mille ans a été masquée et dissimulée pour être remplacée par la tribu des canaanites mentionnée dans la Torah. Ceci est fait alors que tous les spécialistes savent qu’un tel nom n’a jamais existé dans l’histoire ancienne de la Syrie….”

Il ajoute également : “…Dr. Ali Asaf insiste dans son livre “Les Anciens Royaumes Syriens” qu’aucun des anciens royaumes Syriens ne porte le nom de “Canaanites” ou Amorites. En fait quand Sankhow publia son œuvre “Histoire Phoenicienne” en 9 volumes pendant la période de Moussa au 14ème siècle av. J.C., aucune mention du nom de “Canaanite” ne fut reportée dans son ouvrage. La même chose est vraie d’Hérodote qui n’a jamais cité le nom de “Canaanite” quand il traita des Syriens ou des Phéniciens…” (138)

En fait les textes pré­‐islamiques Arabes offrent davantage d’informations cohérentes, si seulement elles remontaient à la surface de l’Histoire. Par exemple, les Musulmans considèrent que le Prophète Muhammad (SAWS) n’est pas celui qui a institué le pèlerinage à la Mecque, qui fut plutôt initié par Abraham et pratiqué depuis sur un large plan national et international, incluant par exemple les Perses.

Al Massodi et Al Homawi écrivent que “…dans les temps anciens, le peuple Farsi (les Perses) avait coutume d’aller de Fars (Iran actuel) à Beit Allah à la Mecque emportant avec eux de grandes offrandes en appréciation à la sainteté d’Abraham et ils considéraient Beit Allah comme le Temple le plus Sacré au monde..” (139-­‐140).

Mais qui sont ceux qui étaient naturellement supposés accomplir le pèlerinage (Hajj) au départ? Bien-sûr les fils d’Abraham, les Patriarches Isaac et Israël (Jacob) et leurs descendants. Ceci est clairement mentionné ici: “…Az Zobeir rapporta que “… Près de soixante dix mille (70000) des Enfants d’Israël avaient pour coutume d’ôter leurs chaussures à Al Taneium pour marcher pieds nus à Beit Allah pour accomplir le Hajj..” (141-­‐142)

Al Taneium est situé à environ 6 km de Beit Allah (voir illustration 5) ; Il abrite aujourd’hui une grande mosquée et est considéré comme un lieu de purification pour les Musulmans (principalement des fils d’Ismaël) qui ont l’intention d’accomplir leur Hajj. Ils y ôtent leurs chaussures et vêtements habituels, prennent une douche avant de porter le vêtement blanc à deux pièces des pèlerins avant de se diriger vers Beit Allah. Donc les Fils d’Israël comme les Fils d’Ismaël eurent pour habitude d’accomplir le rite du Hajj au Beit Allah révélé par leur Grand-­Parents.


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Figure 5 : Al-­Taneium ou la vallée de Tuwa dans la cité de la Mecque à 6km de Beit Allah (bir Sheba)


Chose intéressante, les Fils d’Ismaël continuèrent à pratiquer le rite du Hajj dans la même vallée identifiée par Abraham qui se situe sur les routes commerciales Yéménites de l’encens. Alors que les Enfants d’Israël, avant la période du Christ, décidèrent eux de se constituer une copie de Bethel à un endroit opportun, dans le Sud de la Syrie, situé sur la route commerciale Chinoise de la soie. Les Musulmans abandonnèrent cette fausse direction pour toujours quand le Prophète Muhammad (SAWS) changea la direction,  Qiblah, de la prière de la Palestine pour la tourner à nouveau vers la Mecque.

Malheureusement, cette décision du Prophète de l’Islam ne fut pas complètement comprise ou correctement étudiée. C’est ainsi que les premiers Musulmans donnèrent comme explication à cette stupéfiante décision le fait que “le Prophète aimait faire face à la Mecque pendant ses prières et Dieu exhaussa le souhait de son Prophète!” et cette prophétie, aussi cruciale et révélatrice qu’elle soit, devait être acceptée dans cette explication rationnelle et superficielle!

Une autre clarification intéressante que l’on trouve dans l’histoire Arabe concerne l’endroit où Moussa eut son dialogue avec Dieu. Le Saint Coran traite de cet événement important dans le verset suivant: [(V.12) “Oui, Je suis ton Dieu! Donc enlève tes chaussures: tu es dans la vallée sacrée de Tuwa”] (143).

La vallée de Tuwa est la même vallée que celle qui abrite la mosquée de Taneium mentionnée plus haut, comme c’est clairement mis en évidence dans la citation qui suit: “…Avant d’entrer dans Beit Allah, les Fils d’Israël avaient pour habitude d’ôter leurs chaussures dès qu’ils arrivaient à Tuwa..” (144).

Taneium a toujours été un site sacré, aussi bien pendant la période pré que post-­islamique, mais la plupart des Arabes ne savent pas que cette manifestation extraordinaire pourrait jeter les fondations de ce Saint héritage. La seconde information précise que la Torah n’a pas vu l’emplacement exact où les Anges rencontrèrent Abraham.

Cette extraordinaire rencontre sacrée est mentionnée dans le Coran et la Torah “Nos Messagers vinrent à Ibrahim avec de bonnes nouvelles. Ils lui dirent “Paix!” Il leur répondit “Paix!”…Ils lui dirent: “N’aie crainte, nous avons été envoyés contre le peuple de Lot” (145). Selon les sources Arabes, l’emplacement de cette rencontre est révélé dans cette citation : “…En Ton Nom Glorieux et Généreux par lequel Tu apparus à Moussa à Tur Sina et à Abraham à Musageed Al‐khief avant, et à Isaac à Bir Shéba, et à Jacob à Beit El (Beit Allah)…” (146-­147) Masjid Al‐khief est visité par des masses de Musulmans chaque année pendant le Hajj, il est situé sur les bords de la vallée de Mena (photos 5 & 9.)


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Photo 9 : Mosquée d’Al-­Khief, près de Ismaël Altar dans la vallée de Mena, érigée à la mémoire de l’endroit où les trois anges visitèrent Abraham.


Dans le dialogue entre Abraham et les anges, le verset du dessus mentionne le peuple de Lot. Lot migra vers les terres où ce peuple malfaisant habitait, cherchant une prairie pour son bétail: “Et il y eut des querelles entre les gardiens des troupeaux d’Abraham et les gardiens des troupeaux de Lot : Et les Canaanites et les Perizzites s’installèrent sur cette terre” (148).

Une telle querelle entre gardiens de troupeaux n’auraient pas eu comme conséquence d’amener Lot à émigrer à plus de 1250 km de la Mecque comme le suggère pourtant la Septante. Quelques kilomètres à l’extérieur de Paran/la Mecque fourniraient suffisamment de prairies au bétail de Lot. Un fait que le Saint Coran vient confirmer dans ce verset : “Lot fut aussi parmi ceux que nous envoyâmes…Vous passez par leur sites de jour (138) comme de nuit: n’allez­‐vous pas comprendre?” (Al Safat, V133‐138).

Ces versets forment un discours informatif direct à l’attention de Muhammad (SAWS) alors que le Prophète se trouvait à la Mecque. De plus, le Saint Coran appelle clairement à effectuer des investigations quand on lit le verset suivant: “Et nous avons laissé en lieu et place (de Sodome) un signe évident, pour toute personne qui (souhaite) comprend(re)” : (Al-­‐Ankabut V.35).

Contrairement aux missions Chrétiennes, les Musulmans ne montrèrent guère d’intérêt à rechercher la cité de Sodome, et à accomplir ce à quoi ce verset invite expressément. Néanmoins, notre conseil ici aux chercheurs Chrétiens qui s’évertuent à rechercher des traces de Sodome au fond de la Mer Morte est qu’ils perdent leur temps et leurs efforts puisque l’on ne peut considérer un village entier caché sous des couches dures de sel de cristal au fond de la mer Morte comme un “Signe évident” à reconnaître!

Selon le Saint Coran et la Torah Syriaque, on doit chercher Sodome à quelques kilomètres seulement autour de la Mecque / Paran. Ça ne devrait pas être difficile à trouver, à condition que l’information falsifiée contenue dans la Septante ne soit enfin écartée en tant que source de localisation des sites archéologiques sacrés.

Misrs – Des villages comptoirs pour les commerçants

Le mot Misr est répété cinq fois dans le Saint Coran. Quatre fois comme une référence et une fois comme une description, comme le montre le verset suivant dont le contexte est un dialogue entre Moussa et son peuple pendant l’Exode qui eut lieu entre Misr et la Terre sacrée :

“Et rappelez vous quand vous dites: “Oh Moussa! Nous ne pouvons endurer (toujours) un seul type d’aliment; Alors implore ton Dieu afin que nous produisions pour nous ce que la terre produit en herbes, en concombres, son ail, ses lentilles et ognions”. Il repondit “échangeriez-­‐vous ce qu’il y a de mieux pour ce qu’il y a de pire? Descendez vers n’importe quelle ville, et vous devriez trouver ce que vous cherchez!” (Al‐Baqqarah V.61).

L’expression “n’importe quelle ville” dans ce verset coranique est prononcée “Misra” dans le texte coranique et elle est mentionnée dans la Torah sous le nom de “Mosra” (152). Ceci signifie que le mot Misr n’est pas une expression distinctive mais plutôt descriptive. C’est exactement ce que cela devait signifier du point de vue de la langue Arabe. En Arabe, Misr signifie destination, il est utilisé pour décrire un village urbain ou cité qui marque la destination transitoire ou finale des commerçants.

De telle sorte que tout village urbain ou ville connectée à un réseau de routes commerciales nationales ou internationales est décrit comme un “Misr”, faisant ainsi une distinction claire entre ces centres urbains et des espaces ruraux moins connectés. En plus de ce sens purement descriptif, Misr est également un nom utilisé pour décrire le processus d‘urbanisation. Utilisé dans ce contexte, il se prononce “Missr”.

Ces deux usages du mot Misr sont évidents dans les anciennes descriptions Arabes des processus d’urbanisation des zones rurales, ce que l’on peut lire dans cette citation : “…Le khalifat de Ummar ibn Al‐Khattab parvint à urbaniser (Missr) quelques Misrs et il déclara : Les villes Misrs sont au nombre de sept, Al Madina est un Misr, Al Sham est un Misr, Al khoofa est un Misr, Al Bashra est un Misr…” (153). Contrairement aux Musulmans qui ont presque confiné le terme Misr à un territoire aussi vaste que l’Égypte, le Saint Coran présenta le mot dans son contexte quand il fit mention de Misr.

Par conséquent, comme l’indique le verset cité plus haut, Misr désigne un espace urbain où les marchandises sont stockées et où les marchands peuvent se réunir le long des routes commerciales pour vendre, acheter ou échanger leurs biens, mais aussi pour s’arrêter et se reposer, se rafraîchir, abreuver, nourrir et re-charger les chameaux de leurs caravanes.

De multiples recherches ont été consacrées à ces “stations” économiques des temps anciens, particulièrement en Arabie (154). De telles stations portent le nom de “Misrs”, chacune étant une “Misra” comme il est rapporté dans le Noble Coran ou Mosera (155) selon la Torah. Ceci signifie qu’il devrait exister de nombreuses Misrs éparpillées sur tout le territoire d’Arabie, des dizaines de cités urbaines gouvernées par autant de rois ou fir’awns ou Sheikhs.

Aussi, comme nous avons déjà mentionné le nom complet du Fir’awn de Moussa, qu’en est-il du Fir’awn d’Abraham? Lui aussi visita un Misr durant sa vie selon la Torah. L’histoire Arabe confirme cette visite et fournit le nom recherché :

“…Abraham décida alors de partir…Il arriva à Misr qui était contrôlée par un des Fir’awns et son nom était Sinan ben Alwan ben Abuid ben Owlag ben Amelak ben Lawd ben Sam ben Noah. On dit aussi qu’il était le frère de Al Dahak lequel le nomma gouverneur de Misr.” (156). Ici encore, une autre liste de noms Arabes Hijazis. Ce qui nous amène à la question suivante : Le Misr d’Abraham était-il diffèrent de celui de son petit-­fils Youssouf ? La même question s’applique aussi au Misr de Moussa.

Ce que l’on a conclu dans les chapitres précédents, c’est qu’Abraham a vécu à Bir Shéba (la Mecque), son fils Ismaël naquit à Naméra (Namre) et donc il a aussi du avoir son autre fils Isaac* et son petit-fils Jacob* à Bir Shéba. Jacob ne vécut pas loin de Beit Allah puisque lui et ses 12 enfants (le noyau Israélite) se sont installés près d’une route commerciale autour de la Mecque.

Ceci est clair quand on lit le verset qui mentionne un dialogue entre les frères de Youssouf : “L’un d’eux dit : “ne tuez pas Youssouf, mais si vous devez faire quelque chose, jetez-­‐le au fonds du puits: il sera récupéré par des voyageurs.” (S. Youssouf; V10). Les caravaniers le récupérèrent et l’emmenèrent avec eux vers leur prochaine destination, le prochain Misr sur leur route.

Ce qui échappa à l’esprit des frères de Youssouf, c’est la possibilité qu’il soit vendu à un Misr prés de la Mecque où ils vivaient. Ce qui est clair, là encore, dans le verset suivant : “Alors une caravane de voyageurs vint…ils le vendirent…” (S. Youssouf; V.20) Voici une autre erreur de traduction des textes coraniques.

Le Saint Coran n’a pas mentionné qui furent ceux qui vendirent Youssouf à un prix misérable. Tout ce qui est mentionné est “Ils le vendirent”. Les premiers musulmans assumèrent que “ils” se référait aux frères de Youssouf sur la base de fausses informations Juives. En fait, “ils” fait ici référence aux marchands, et ils le vendirent “à un prix misérable” dans le but de se débarrasser à tout prix de ce “colis” gênant qu’ils eurent à nourrir et à porter. Ils ont dû réaliser pendant leur trajet que capturer cet enfant fut un mauvais calcul.

Donc, en l’espace de quelques jours de voyage, ils le mirent en vente dans un Misr le long de leur route pour s’en débarrasser. On a donc de bonnes raisons de penser que ce Misr ne devrait pas être loin de la Mecque. Dr Dawood suggéra dans un de ses écrits que Misr est situé au sommet des montagnes Sourat à environ 250 km au Sud de la Mecque (voir figure 6) alors que les travaux de Kamal Al Salibi le placent plus au Sud encore, entre Al Baba et Al Namas.

Notre avis est que les deux ont pu être Misr à un moment donné, mais aucun ne devrait nécessairement être le Misr dans lequel Youssouf fut vendu. Néanmoins, on peut ajouter un point qui est certain ici, qui est que le nom du roi du Misr de Youssouf indique qu’il a du être de la région ici proposée, comme l’indique cette citation :

“Youssouf vécut dans la maison d’El Aziz pendant 13 ans, et quand il atteignit trente ans, il fut nommé à la tête du Misr par le roi de l’époque, dont le nom est Al Rayan ben Al Walied ben Thoran ben Arashah ben Amro ben Amelak ben Lawad ben Sam ben Noah” (159,160,161) un autre nom bien hijazi, dont l’égyptologie niera la présence ou l’incrustation en Égypte.


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Illustration 6: Deux localisations de Misr selon Dawood et Salibi. Les deux se situent au sommet des montagnes Sourat dans la région de l’Asir, au Sud de la Mecque.


Durant la période de Youssouf, Misr était un mélange de tribus Arabes. La Torah les appelle Mizris. Les Israélites furent les derniers installés à Misr puisqu’ils furent invités par Youssouf à résider dans le Misr d’Al Rayan. Le nombre total d’Israélites sur la planète Terre à cette époque est exactement de 13 personnes Arabes, Israël (Jacob) et ses 12 fils, Youssouf inclus, en plus de leurs enfants qui, selon la Torah, comptaient 70 personnes. Sachant qu’environ 200 années séparent Youssouf de Moïse, quelle progéniture 12 personnes peuvent-elles engendrer en l’espace de 200 ans?

Le nombre exagéré de la Torah est sidérant : 600 000 personnes quand en réalité ils ne devraient pas dépasser 3 000 tout au plus, enfants inclus, hommes et femmes de tous âges. Malgré cela, selon un grand nombre (là-aussi) de croyants et de politiciens, c’est cette “main-d’oeuvre forte” qui aurait construit les grandes pyramides d’Égypte!

Il est à noter également qu’un nombre très restreint d’Israélites crurent au message de Moïse et donc que seul un petit groupe d’entre eux le suivirent dans l’exode, comme il est révélé dans le Saint Coran : “ Mais aucun ne crut en Moussa à l’exception de quelques enfants de son peuple, à cause de leur peur de Fir’awn et de ses chefs…” (Yunus; V.83).

C’est ainsi que le reste des Israélites restèrent à Misr et devinrent les nouveaux propriétaires des lieux quand la nouvelle de la mort de Pharaon leur parvint : “C’est ainsi qu’il fut, mais nous fîment des fils d’Israël des héritiers de ces choses.” (Sourate Al Shurura; V. 26)

Le restant des Misris eurent aussi droit à leur part, comme il est dit dans cet autre verset : “Ainsi fut leur fin! Et nous fîmes d’autres peuples les héritiers de ces choses! » (Al-Dukhan; V. 28)


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Illustration 10 : Le Misr qui a été projeté au monde comme un Grand Royaume d’Égypte ressemblait plus vraisemblablement à un petit fort le long d’une route commerciale à l’image de cette illustration.


Ce qui nous intéresse ici, c’est la taille de ce Misr qui était occupé de 3 000 Israélites et de 3 000 autres non-Israélites. C’est la capacité de cette terre qui est pourtant censée être le Grand Royaume d’Égypte, lequel en réalité n’était rien d’autre qu’un quelconque village localisé près d’un petit fort situé sur une route commerciale principale, à l’image de celle que l’on peut voir dans la gravure du dessus (No. 10).

Si l’on considère que Misr était au Sud de la Mecque, tel que défendu par Dawood et Al Salibi, alors dans quelle direction Moïse se dirigea t-il quand il quitta ce Misr du Fir’awn Kabwous?

D’après la Torah, ils se dirigèrent vers la Terre Sainte qui ne peut être confondue avec aucun autre endroit que la Mecque puisqu’elle abritait dans ses murs Beit Allah et la nouvelle demeure d’Abraham, “…Et ils espionnent la terre de Canaan, que je donne aux fils d’Israël…et Moïse les mena des terres arides de Paran, sous les commandements de Jehovah…” (165).

Ici, on lit encore les noms familiers de Paran et Canaan dont l’on a déjà démontré l’association à la Mecque, sur la base des archives historiques Arabes. Idem, il ne devrait pas être surprenant de constater que la longue histoire d’Arabie ait pu préserver de telles narrations, lesquelles décrivent une région ou l’on trouve Pharan :

“… Le passager voyagerait la distance de deux stations (Misrs) dans le désert sauvage pour aboutir à la côte maritime de Pharan où se trouvait la ville de Qaran. Là-bas le Pharaon se noya. Cette étendue sauvage s’étend sur un espace d’environ quarante Farsakhs (≈250 km) carrés dans laquelle les Israélites passèrent 40 ans à errer…” (166-­‐167)

Dans une autre narration, on peut lire ceci : “… On rapporte que Moussa affronta des tribus Arabes telles que les Tasum et Jadys et Amalek et Jurhm et le peuple de Madum et il atteignit les montagnes de Pharan (Paran) qui est la Mecque…”(168). Toutes ces tribus sont Arabes, elles se sont installées en Arabie et dans la région de la Mecque. En fait la femme d’Ismaël était issue de la tribu des Jurhm comme il est gravé dans la mémoire collective Arabe quand la Torah Grecque prétend qu’elle fut une “Égyptienne”.


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(Encadré: la région sauvage de Bir Shéba à Paran)


Le fait tenu secret : Paran est le nom ancien des montagnes Mecquoises qui entourent Beit Allah (Bethel). Alors qu’Abraham vivait à Naméra avec sa première femme Sarah, à 17 km plus loin, il construisit une autre demeure pour sa seconde femme Hagar près de Bir Shéba, connu aujourd’hui sous le nom de Bir Zamzam dans le but de revivifier l’endroit le plus sacré au monde, depuis Adam et Ève.

De plus, le nom Kadish (Saint, Kadesh-­Barnea, désert sacré d’errance) où Moussa arriva à la fin de l’exode n’est rien d’autre qu’un ancien nom de la Mecque, comme le rapportent les anciens historiens Arabes “… Kadis est un des noms de Beit Allah. Il fut appelé ainsi pour exprimer la sainteté de cet endroit de purification des pêchés…” (170), de même peut-on trouver cette citation “… Je me souviens de seize noms donnés à la Mecque, l’un d’eux est Makka, Kuthy… Kadis” (171).

Concernant les noms Gérar et Gaza, ils sont encore aujourd’hui deux quartiers de la Mecque, prononcés respectivement “Gérwal” et “Gaza”, (Ref. image no.5), et les deux sont proches de Bir Shéba qui est connu aujourd’hui sous le nom de Bir Zamzam.

Comment la Septante s’y est-­elle prise ? – Ou comment cacher une montagne dans un désert ?

Comment cette distorsion de l’histoire a t-elle pu s’imposer mondialement pour devenir une telle illusion divine. La réponse réside dans le verset coranique qui suit : “ Et gare à ceux qui écrivent le Livre avec leurs mains, et ils disent; “Ceci est la parole d’Allah”…pour un prix misérable! Gare à eux pour ce que leurs mains ont écrit, et pour le gain qu’ils en firent” (La Famille d’Imran ; V79)

Le Coran confirme que cette falsification pu réussir sa conquête du monde parce qu’elle fut délibérément promue sous le nom « d’Allah”. Apparemment cette approche, masquée par l’émotion, défia le sens commun et les capacités analytiques de nombreuses personnes, débouchant sur l’acceptation d’innombrables contradictions et inconsistances. Les érudits des trois religions choisirent d’ignorer les contradictions flagrantes, dans certains cas extrêmes, et choisirent de répondre aux ambiguïtés évidentes par des explications supernaturelles.

Par exemple, pour expliquer le fait qu’Abraham voyagea de la Mecque à la Palestine comme décrit dans la Torah, on trouve ce genre d’écrits: “…Alors qu’il était en Palestine, il fut ordonné à Abraham qu’il amenât Ismaël et Hagar avec lui à la Mecque. Il les fit donc monter sur l’Al-Buraq …et partit pour Beit Allah…” (174-­‐175).

Quand on considère la façon dont les textes furent falsifiés, on peut dessiner un scénario de la séquence des événements depuis que la Septante fut publiée. En l’an 282 av. J.C, alors que l’Égypte était sous occupation Grecque, le gouverneur Grec en compagnie de 70 rabbins traduisirent la Torah Syriaque. Le verset suivant s’adresse très certainement à cet épisode :

“Il existe parmi eux un groupe qui travestit le Texte avec leur langue ; (Quand ils lisent) Vous penseriez qu’il s’agit d’un passage du Livre, mais ce n’est pas un passage du Livre ; Et ils disent, “Ceci vient d’Allah”, mais cela ne vient pas d’Allah : ce sont eux qui disent un mensonge contre Allah, et ils le savent!” (La Famille d’Imran; V78).

La traduction à laquelle on attribua le nom de “Septante” a dissimulé le mot “Misr” pour le remplacer par “Égypte”. Ptolémée ben Philadelphus en obtiendrait quelques bénéfices dès lors que l’Égypte devenait une “Terre Sainte” aux yeux du monde occidental, alors que les rabbins Juifs, de leur côté, obtiendraient des terres bien plus grandes et stratégiques, pour leurs futures descendances dans la carte de la “Terre Promise” située sur la riche Route de la Soie comme un substitut à la difficile “Route de l’Encens”.

Les peuples Grecs et occidentaux en général commencèrent à apprendre et à éduquer leurs enfants avec ces données falsifiées pensant qu’elles étaient authentiques. Les empires romains successifs adoptèrent eux aussi la Septante comme source d’enseignement sacré, et quand ils atteignirent l’apogée de leurs puissances impériales universelles, ils appliquèrent et étendirent efficacement cette fausse histoire du monde ancien.

Les générations morcelées et militairement affaiblies d’Orient furent confuses entre ce que leurs mémoires ancestrales leur indiquait eu égard à la géographie des emplacements et à ce qui était prêché par les pouvoirs occidentaux du moment, à savoir les Grecs et les Romains.

Le résultat fut apparemment l’effacement de la vraie Histoire Orientale en faveur de l’église Romaine qui insista sur le fait que l’Égypte fut la terre de l’exode et l’Irak la terre d’origine d’Abraham comme elle l’avait appris de la Septante. Ceci fut le cas pendant au moins 900 ans avant que le Coran ne soit révélé. Comme le Nouveau Testament, le Saint Coran alerta sur le fait que de fausses informations circulaient et s’étaient installées dans le systèmes de croyances et appelaient donc à une rectification.

Les premiers Musulmans semblèrent non seulement ignorer l’étendue des dommages créés, mais commencèrent également à expliquer les versets coraniques à la lumière de ce qu’ils avaient déjà appris des anciens Juifs Arabes convertis qui étaient eux-mêmes saturés d’enseignements de la Septante.

Ainsi les faux enseignements parvinrent aux mosquées musulmanes contemporaines et aux programmes d’école. Pire encore, après la conquête islamique de l’Égypte, cette terre perdit graduellement son nom en faveur d’un autre “Misr”, lequel ressemble au nom biblique de l’exode. C’est ainsi que les générations Musulmanes crurent fermement que l’Égypte, qu’ils appelèrent exclusivement “Misr”, fut le lieu de l’Exode.

Retourner le cycle – Diffuser le saint fantasme

Environ 2280 années se sont écoulées depuis que la Septante fut publiée. Trois facteurs principaux se sont associés pour assurer la domination de l’information falsifiée dans l’ancien monde et le monde contemporain. Ces facteurs sont :

1. Présenter la fausse information à travers des canaux sacrés (70 Rabbins et Torah)
2. L’existence d’une super-puissance prête à promouvoir l’information falsifiée parmi le public (Grecs ptoléméens suivis des empires Romains)
3. L’ignorance des croyants sur le fait que leur soumission fataliste absolue pourrait ouvrir la voie à leur futur abus et contrôle (un comportement commun chez la plupart des Croyants).

Ces facteurs essentiels sont encore des éléments de blocage qui jouent contre la diffusion de l’illusion qui prévaut. La publication des bibles basées sur la Septante continuera malgré les découvertes archéologiques contraires à leurs enseignements, il en va de même des démentis issus des découvertes en Égyptologie. Les images actuelles de Ptolémée ben Philadelphus témoignent du pouvoir latent de cette ancienne falsification “sacrée”, un pouvoir qui s’est désormais lancé dans la totale mise en valeur de cette falsification.

Ainsi, la localisation de la “Terre Promise” dans le monde Arabe est systématiquement adoptée par les plus hauts pouvoirs politiques et les organisations internationales, pas pour des motifs religieux mais plutôt pour des motivations de stratégies politiques et économiques dont l’objectif principal est de physiquement séparer les nations Arabo-Africaines des nations Asiatiques. C’est le résultat non-annoncé de la Conférence de Londres de 1905 (178), qui fixa la situation actuelle des affaires du monde Arabe.

La seule chance qui reste est d’éduquer les Croyants des trois religions (Juifs, Chrétiens et Musulmans) de la nature et de l’étendue des abus historiques commis par des politiciens et banquiers internationaux contre leurs sites et leurs croyances sacrés. Cependant, ceci n’est possible que si les spécialistes, chercheurs, universitaires et scientifiques mettent en place des équipes de recherche spécialisées, et rendent leurs résultats disponibles aux fidèles des ces trois grandes religions.

Conclusion :

Vers l’an 282 av. J.C., les masses de l’Europe ancienne, d’abord les Grecs, suivis des Romains, commencèrent à apprendre les enseignements sacrés à travers un livre grec traduit d’une Torah d’origine Juive. Soixante dix Rabbins furent les traducteurs de ce livre qui contenait des enseignements falsifiés concernant la géographie et les itinéraires des prophètes Israélites. La réussite de cette falsification aboutit à la création de deux Bethel (Maison de Dieu), deux Bir Shéba, deux Kadesh, deux lieux de pèlerinages, deux Gaza, deux Royaumes des cieux, et deux centres de la Terre…etc.

La seule explication de ces similarités flagrantes d’événements et de noms de sites entre l’Ancien Testament, qui place le Sud de la Syrie comme le centre du théâtre Biblique, et l’ancienne histoire Arabe qui indique, elle, que la région de la Mecque fut le centre de cette scène, réside dans la conclusion que des endroits “cibles” ont été délibérément déplacés de leur espace d’origine. Les contradictions et les inconsistances évidentes de certains détails de la Torah Grecque et de l’histoire Arabe Islamique soutiennent cette conclusion.

Dans cette étude, il a été démontré que les auteurs de la Septante doivent être désignés comme les coupables de l’illusion universelle qui recouvre la géographie des Patriarches. En fait ils forment l’équipe intellectuelle qui remplaça délibérément le nom “Misr” par le nom “Égypte” afin d’ouvrir la voie au déracinement en masse de tous les sites sacrés de leurs lieux d’origine pour les re‐planter partout en Irak, Syrie et Égypte, et ce afin de préparer la “sainte” idéologie de la Terre Promise. Cette sérieuse contrefaçon de type “copier‐coller” n’aurait pu aboutir sans la volonté politique du Grec Ptolémée ben Philadelphus qui soutint cette falsification dans un but d’attraction religieuse et touristique.

Le Saint Coran et le Nouveau Testament rendent compte à plusieurs reprises du fait que de graves falsifications ont été commises avant les ères Islamique et Chrétienne, des falsifications qui n’ont pas été abordées jusqu’à ce jour. Les conséquences de cette ignorance furent et demeurent terriblement tragiques, puisque d’authentiques lieux saints ont été effacés de la mémoire de la majorité des Croyants, en particulier en occident, et que des faux sites ont été érigés à la place d’autres. Les identités d’anciennes nations furent perdues ou échangées, des guerres, des conflits politiques et militaires territoriaux furent lancés et des droits historiques bafoués.

Le monde Arabe dans son ensemble est politiquement instable premièrement à cause de disputes fabriquées sur la base de terres et de sites “saints” illusoires. Cette situation devrait perdurer tant que les Ptolémées d’aujourd’hui continueront de supporter l’illusion ancienne de la Septante, pour des gains politiques ou financiers, quels qu’ils soient.

Heureusement, le monde est en train de se réduire à la taille d’un village, et cacher la vérité est devenu de plus en plus difficile. Malheureusement, la seule autre voie de sortie prévisible de cette saga actuelle de la “terre promise” et sa suite inéluctable est le terrible Armageddon.

Auteur  : Tarik Ahmed pour Al-Tajdeed Cultural and Social Society.

*Que la Paix et les Bénédictions d’Allah Glorifié et Exalté soit-Il soient sur tous Ses Prophètes et Messagers.

Que toutes les personnes ayant participé à l’élaboration, diffusion, traduction de ce document soient gratifiés et récompensés par Allah Glorifié et Exalté soit-Il.

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 L’Arabie Saoudite est-elle la Terre promise des juifs ?

“LA TERRE OÙ COULENT LE LAIT ET LE MIEL”


Notes et références :
1.Egypt & the Israelites in south west Arabia-Ziad Mouna – UK- ISBN:1-85513-247-8
2.Genesis 35:27 (http://www.htmlbible.com/kjv30/B01C035.htm ); Genesis 23:2; Joshua 15:16; 15:61;18:18;18:22-
3.Genesis 13:18 (http://www.htmlbible.com/kjv30/B01C013.htm); Genesis 14:13;14:24;18:1;23:17;23:19;25:9 ….
4.Genesis 12:8 (http://www.htmlbible.com/kjv30/B01C012.htm ) ; Genesis 13:3; 28:19; 31:13; 35:3; 35:6 ….
• Euphrates is the Greek pronunciation of the Syriac originating word Perâth.
5.Genesis 2:14 (http://www.htmlbible.com/kjv30/B01C002.htm ) ; Genesis 15:18, ….
6.Refer to « Paradise and the Surat mountains » one of Al Tajdeed Society research work to be published by 2006 year end.
• Tiger is the Greek pronunciation of the Syriac originating word Hiddekel. (http://en.wikipedia.org/wiki/Tigris )
7.مختار السويفي- أم الحضارات – ص 127
8.http://memri.org/bin/articles.cgi?Page=archives&Area=sd&ID=SP7900
9.Arabic news – Egypt renews denial of Jewish participation in building the Pyramids Egypt, History, 4/14/2001 http://www.arabicnews.com/ansub/Daily/Day/010414/2001041408.html
•The Patriarchs referred to here are Abraham, Ishmael, Isaac, Jacob, Yusuf and Moses.
10.فراس السواح- الحدث التوراتي والشرق الأدنى القديم- ص 198
11.News paper article  » Was Ramses II Moses Pharaoh? » « رمسيس الثاني هل هو فرعون موسى؟ » – جريدة الأيام- العدد 5916- تاريخ 22 مايو 2005- مملكة البحرين
12.Holy Quran: http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=43&nAya=51&t=eng
13.http://www.sacred-texts.com/egy/leg/leg42.htm
ª The letter « S » is usually added by the Greeks to the names hence it should be dropped when reverting the name to its origin pronunciation.
14.The free dictionary http://encyclopedia.thefreedictionary.com/Danaus
15.العلامة المجلسي – بحار الأنوار- ج 2 ، ص 383
16.جمال الدين الزيعلي – نصب الراية- ج 6 ،ص 564
17.الأحمدي الميانجي- مكاتيب الرسول -ج 2، ص 424
18.محمد بن سعد- الطبقات الكبرى- ج 1 ،ص 260
19.المتقي الهندي – كنز العمال – ج 5 ص 759
Research shows that the Muslims didn’t call Egypt by the name Misr because it is biblically or Quranically originated, but rather because the new capital at that time « AL Fustat » (الفسطاط) was considered the main fully equipped trading and ruling center and gradually became the travelers destination. Distention in Arabic language is coincidently pronounced and written as « Misr’. Therefore, the Muslims called the Fustat (الفسطاط) city the « Destination » i.e. The Misr. This is how gradually the name Misr originated and spread though out the valley. Refer to the below reference.
20.جمعية التجديد، مملكة البحرين – نداء السراة – اختطاف جغرافيا الأنبياء – ص 110
21.Salibi, Kamal, The Bible Came from Arabia, London, Jonathan, 1985
22.كمال الصليبي – البحث عن يسوع –ص 31
¨ There are other 4 verses which also mention Misr as the homeland of Musa.
23.The Septuagint online: http://www.kalvesmaki.com/LXX/Texts.htm
24.المسعودي – التنبيه والإشراف- ص 182
25.Paleo-Hebrew (Before 585 B.C.)، Genesis 21:21 http://www.hebrewoldtestament.com/index2.htm
26.جمال الدين الأتابكي- النجوم الزاهرة- ج 1 ،ص 61
27.ابن خلدون- تاريخ ابن خلدون -ج 2 ، ص 74
28.This site contains the Pyramid Texts pronounced in Gipti language. The word Pharaoh doesn’t exit anywhere in the hundreds of preserved manuscripts: http://www.pyramidtexts.com/
29.Royal Titles for Kings of Egypt By Marie Parsons: http://www.touregypt.net/featurestories/titles.htm
30.Quranic Accuracy Vs. Biblical Error: The Kings & Pharaohs Of Egypt ,M S M Saifullah, Abdullah David & Elias Karim http://www.islamic-awareness.org/Quran/Contrad/External/josephdetail.html
31.PHARAOHS and CAMELS; Only in Arabia!: http://www.biblemysteries.com/lectures/pharaohscamels.htm
32.فَرْعُ كلّ شيء: أَعْلاه لسان العرب ج8 ص 246
33.تاريخ دمشق –ابن عساكر ج 61 ص 20
34.البداية والنهاية- ابن كثير ج1 ص 276
35.بحار الأنوار-المجلسي ج13 ص 51
36.علل الشرائع – الشيخ الصدوق ج 1 ص 67
37.لسان العرب – ابن منظور ج 31 ص 323
38.الصحاح – الجوهري ج 6 ص 2177
39.معجم البلدان – الحموي ج 5 ص 140
40.تاريخ العرب قبل الإسلام – الدكتور أحمد أمين سليم ص 121
41.الكامل في التاريخ – الشيباني -ج1 ص112
· Wahab is a Jewish scholar. He converted to Islam shortly after the prophet Mohamed death.
¨The people of the book is a Quranic expression refereeing to Jews and Christians.
42.تفسير القرطبي-القرطبي ج1 ص 383
43.فتح القدير-الشوكاني ج1 ص 82
44.الرحاب الندية في مذهب النصرانية و اليهودية- السيد محمد الموسوي –ص 282
45.علل الشرائع – الشيخ الصدوق ج 1 ص 67
46.معاني الأخبار- الشيخ الصدوق ص 50
47.شرح أصول الكافي – مولي محمد صالح المازندراني ج 9 ص 220
48.وسائل الشيعة (الإسلامية) – الحر العاملي ج 11 ص 373
49.الصراط المستقيم – علي بن يونس العاملي ج 2 ص 45
50.بحار الأنوار – العلامة المجلسي ج 31 ص 15
51.شرح نهج البلاغة – ابن أبي الحديد ج 01 ص 94
52.فيض القدير شرح الجامع الصغير – المناوي ج 3 ص 121
53.التبيان – الشيخ الطوسي ج 1 ص 220
54.تفسير مجمع البيان – الشيخ الطبرسي ج 1 ص 203
55.التفسير الصافي – الفيض الكاشاني ج 2 ص 223
56.التفسير الأصفى – الفيض الكاشاني ج 2 ص 760
57.تفسير نور الثقلين – الشيخ الحويزي ج 3 ص 380
58.تفسير الميزان – السيد الطباطبائي ج 41 ص 161
59.جامع البيان – إبن جرير الطبري ج 1 ص 385
60.زاد المسير – ابن الجوزي ج 1 ص 65
61.تفسير القرطبي – القرطبي ج 1 ص 383
62.تفسير ابن كثير – ابن كثير ج 1 ص 94
63.ئفسير الثعالبي – الثعالبي ج 1 ص 235
64.فتح القدير – الشوكاني ج 1 ص 82
65.الأخبار الطوال- الدينوري ص 4
66.معجم البلدان – الحموي ج 5 ص 140
67.كتاب المحبر- محمد بن حبيب البغدادي ص 467
68.تاريخ اليعقوبي – اليعقوبي ج 1 ص 186
69.تاريخ الطبري – الطبري ج 1 ص 272
70.أخبار الزمان- المسعودي ص 269
71.الشفا بتعريف حقوق المصطفى – القاضي عياض ج 1 ص 98
72.قصص الأنبياء- الجزائري ص 259
73.الصحاح – الجوهري ج 6 ص 2177
74.لسان العرب – ابن منظور ج 31 ص 323
75.مختار الصحاح- محمد بن عبد القادر ص 259
76.القاموس المحيط – الفيروز آبادى ج 4 ص 255
77.مجمع البحرين – الشيخ الطريحي ج 3 ص 391
78.تاج العروس – الزبيدي ج 7 ص 25
79.شذرات الذهب- المقدسي ج2 ص 65
80.مرآة الجنان-اليافعي ج2 ص 96
81.الكامل في التاريخ –الشيباني ج1 ص 130
82.المنتظم- أبو الفرج ج1 ص 332
83.الإنس الجليل – العليمي ج1 ص 74
84.النجوم الزاهرة- بردي ج 1 ص 58
85.فتوح مصر وأخبارها- ابن اعين ج1 ص 76
86.تلقيح فهوم أهل الأثر- ابن الجوزي ج1 ص 332
87.فيض القدير-المناوي ج3 ص 93
88.عمدة القارئ – العيني ج2 ص 59
89.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=2&nAya=127&t=eng
· Unlike the Greek Torah, the Quran confirms that Ishmael and not Isaac was the one offered for sacrifice.
90.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=37&nAya=102&t=eng
91.الكافي – الشيخ الكليني ج 4 ص 207 :
92.الحدائق الناضرة – المحقق البحراني ج 61 ص 350
93.فقه الصادق (ع) – السيد محمد صادق الروحاني ج 11 ص 357 :
¨ (al ‘iber) means the transient borders.
ª The Euphrates river mentioned in the above quote is located in Arabia south of Makkah and has nothing to do with the river in Iraq named after this Arabian genuine river.
94.معجم ما استعجم – البكري الأندلسي ج 1 ص 10
· Note that it is believed that the revir valley is continuous all the way from the top of the Surat mountains to north Iraq via the Hafr Albatun valley, therefore authors added a connection green line to the valley.
95.Genesis 17:5 : http://www.htmlbible.com/kjv30/B02C021.htm
96.Exodus 21:2 http://www.htmlbible.com/kjv30/B02C021.htm
97.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=19&nAya=48&t=eng
98.الهداية الكبرى- الحسين بن حمدان الخصيبي ص 98
99.بحار الأنور-المجلسي ج21 ص40
100.الفضائل لشاذان- بن جبرئيل القمي ص126
101.مدينة المعاجز – السيد هاشم البحراني ج 1 ص 52
§ Najaf نجفis a now a well known city in south Iraq. The word consists of two parts « Ny » (ني) and « Jaf » (جف) which latterly means as per the Arabic Akkadia dialect « Dry sea » refer to:
102.نداء السراة-اختطاف جغرافيا الانبياء –جمعية التجديد الثقافية -2006، الجنة تحت اقدام السراة- جمعية التجديد الثقافية
103.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=37&nAya=99&t=eng
104.http://quran.muslim-web.com/sura.htm?aya=022026
105.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=14&nAya=37&t=eng
106.Genesis 21:14 http://www.htmlbible.com/kjv30/B01C021.htm
· Paran motioned in the Torah is defiantly Makkah as will be revealed later.
107.Genesis 21:19; Same as above
ª Beer is an Arabic word which means water well.
108.Genesis 21:30-31 Same above source
109.المحقق البحراني – الحدائق الناضرة – ج 17 ص341
110.جعفر كاشف الغطاء – كشف الغطاء – ج 1 ص 114
111.محمد الريشهري – الحج والعمرة في الكتاب والسنة –ص 114
112.الشيخ الصدوق- الخصال- 454
113.الحر العاملي – وسائل الشيعة (آل البيت) – ج 13 -ص 246
114.العلامة المجلسي- بحار الأنوار – ج 96 ص243
115.السيد البروجردي – جامع أحاديث الشيعة – ج 10 – ص 39
116.لسان العرب- ابن منظور- ج 8 ص 171
117.الشعراني- العهود المحمدية ص243
118.جار الله الزمخشري- الفايق في غريب الحديث -ج2 ص 180
119.الطبراني- المعجم الكبير- ج10 ص 271
120.ابن أبي شيبة الكوفي- المصنف-ج4 ص 358
121.عبد الرزاق الصنعاني- المصنف-ج5 ص 117
122.الهيثمي- مجمع الزوائد-ج 3 ص 286
123.الدر المنثور- جلال الدين السيوطي – ج 3 ص 222
124.سبل الهدى والرشاد- الصالحي الشامي-ج1 ص 182
125.معجم البلدان-الحموي- ج3 ص 317
126.النهاية في غريب الحديث- ابن الأثير- ج2 ص 441
127.Genesis 16:15: http://www.htmlbible.com/kjv30/B01C016.htm
128.Navigating the Bible: http://bible.ort.org/books/pentd2.asp?ACTION=displaypage&BOOK=1&CHAPTER=16
129.Genesis 21:21 http://www.htmlbible.com/kjv30/B01C021.htm
130.صفة جزيرة العرب- الهمداني -ص86
131.لسان العرب – ابن منظور -ج5- ص43
132.النهاية في غريب الأثر ج3/ص405
133.معجم البلدان ج4/ص225
134.البداية والنهاية – ابن كثير ج 2 ص 231 :
135.هداية الحيارى في أجوبة اليهود والنصارى- ابن قيم الجوزية 48
136.تفسير ابن كثير ج4- ص15
137.Genesis 12:6 http://www.htmlbible.com/kjv30/B01C012.htm
138.الأقطاب الفقهية- ابن أبي جمهور ص 66
139.العرب والساميون والعبرانيون وبنو إسرائيل و اليهود-أحمد داوود ص184
140.التنبيه والأشراف- المسعودي ص 95
141.معجم البلدان – الحموي ج 3 ص 147
142.أخبار مكة للفاكهي -ج2- ص267
143.حلية الأولياء للاصبهاني ص298
144.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=20&nAya=12&t=eng
145.أخبار مكة للفاكهي ج2/ص257
146.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=11&nAya=69&t=eng
147.مصباح المتهجد- الشيخ الطوسي ص 418
148.بحار الأنوار – العلامة المجلسي ج 78 ص 99
149.Genesis 13:7 http://www.htmlbible.com/kjv30/B01C013.htm
150.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=37&nAya=133&t=eng
151.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=29&nAya=35&t=eng
152.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=2&nAya=61&t=eng
· It is proposed here that the authors of the Septuagint missed this word from the systematic process of replacing Misr with Egypt.
153.http://www.htmlbible.com/kjv30/B05C010.htm
154.تاريخ اليعقوبي ج: 2 ص: 154
155.http://nabataea.net/trader.html
156.http://www.christiananswers.net/dictionary/mosera.html
157.الكامل في التاريخ –الشيباني ج1/ص77
158.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=12&nAya=10&t=eng
159.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=12&nAya=20&t=eng
160.تاريخ الطبري – الطبري ج 1 ص 255
161.بحار الأنوار – العلامة المجلسي ج 21 ص 282
162.البداية والنهاية – ابن كثير ج 1 ص 239
163.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=10&nAya=83&t=eng
164.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=26&nAya=58&t=eng
165.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=44&nAya=28&t=eng
166.http://www.htmlbible.com/kjv30/B04C013.htm
167.المواعظ والاعتبار- المقريزي- ص 268
168.الروض المعطار في خبر الأقطار-الحميري-ص149
169.المواعظ والاعتبار-المقريزي-ص 1242
170.http://www.sacred-texts.com/bib/ebd/ebd215.htm
171.معجم ما استعجم – البكري الأندلسي ج 1 ص 270
172.سبل الهدى والرشاد – الصالحي الشامي ج 1 ص 170
173.المجموع – محيى الدين النووي ج 8 ص 3
174.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=2&nAya=79&t=eng
· Al-Buraq is a legendary flying creature some report it looks like a woman headed flying horse others report it is more of a mix bread between a horse and a mule with 2 wings. All descriptions of this flying creature are originating from Jewish ancient tales.
175.تفسير ابن كثير ج4/ص15
176.لروض الأنف- السهيلي ص55
177.http://quran.al-islam.com/Targama/DispTargam.asp?nType=1&nSeg=0&l=eng&nSora=3&nAya=78&t=eng
178.مسخ الصورة- جمعية التجديد الثقافية – مملكة البحرين -: http://www.Tajdeed.org
179.http://www.palestine-info.co.uk/am/publish/article_9.shtml


122 réflexions au sujet de “Document Exclusif !!! « Al ­Hijaz, Terre d’origine d’Abraham et des Prophètes Israélites »”

  1. Paix et Benedictions,

    Tony salutations et paix ainsi que la miséricorde de Dieu et Ses bénédictions.Souhaitant vivement te remercier pour ton travail de recherche et de transmission.

    Avec mes plus Sinceres remerciements.

    Meilleurs salutations.

    Aimé par 2 personnes

  2. @ Cid, aleyk salam wa rahmatu Allah wa barakatu,

    Amin et à toi aussi pour tes lectures attentives et ta participation, on se sent un peu moins seuls depuis que tu es là 🙂 et à vrai dire je n’ai pas de mérite si ce n’est de faire partager ce que nous estimons être la vérité.

    Ce document m’a été remis par un frère « anonyme » , je l’avais dans mes tiroirs depuis des années et j’ai longuement cherché cette personne pour avoir son autorisation afin de le publier. Comble de l’ironie ou Mektoub de Dieu, ce frère était tout près de moi…:) Gloire à Allah swt.

    Il a fait un gros travail de traduction et puisse Allah swt l’en récompenser , une personne brillante et humble qui m’a beaucoup appris sur ce sujet. Que la paix et la baraka l’accompagne.

    Merci également à Sherazad pour la mise en forme et la publication.

    Qu’Allah swt vous couvre de sa Miséricorde wa salam aleykoum.

    Aimé par 1 personne

    1. Salam et Bonjour à tous

      @Cid

      Et que la Paix et les Bénédictions de Dieu swt soient sur toi , tu es le genre d’intervenant que j’apprécie pour ton humilité, ta courtoisie, ta sagesse, j’ai énormément de respect pour toi …
      Alors du fond du coeur 🙂 un grand Merci à toi pour ta présence parmi nous, ta fidélité et tes très enrichissantes contributions , nous apprenons tous des uns des autres …

      @Tony

      Wa Aleyk Salam , merci mais le mérite revient à ceux qui ont participé aux recherches, à l’élaboration et la traduction de ce document ,qu’Allah swt leur accorde Tous Ses Bienfaits, Amin…

      Tu dis : « et à vrai dire je n’ai pas de mérite si ce n’est de faire partager ce que nous estimons être la vérité. »
      Tout à fait Tony , la transmission de la Vérité étant le devoir de chaque croyant , c’est pourquoi j’insiste auprès des lecteurs pour faire connaître cette étude autour d’eux et la partager au maximum, merci d’avance … La Vérité l’emportera toujours sur le faux !

      Aussi je me joins à toi pour remercier le frère qui l’a traduit en français , un travail remarquable qu’il en soit Récompensé par Allah swt, que Sa Paix et Ses Bénédictions soient sur lui , Amin …

      Aimé par 1 personne

  3. Ayant leurs places sur ce fil , je copie ici certains de mes commentaires suite à mes recherches personnelles que j’avais posté sur l’article « L’Arabie Saoudite est-elle la Terre promise des juifs ? »

    L’Asir , le Hijaz, la Vraie Terre Sainte …

    La Palestine quand à elle est une Terre Bénie car elle fait partie du Bilad Sham…
    Les archéologues n’y ont jamais trouvé une quelconque trace d’un ancien royaume d’Israël, de Salomon, de David , Paix sur eux, tout comme leur incapacité à trouver en Égypte des traces de l’Exode, tout simplement parce qu’ils ne cherchent pas au bon endroit. Kamal Salibi attendait que des fouilles archéologiques en Arabie viennent conforter ces théories, les autorités saoudiennes n’ont pas voulu en entendre parler et ont fini par l’interdire de séjour, pourquoi donc ? Qu’est ce qui les dérange ?

    Prouver au monde entier que les événements bibliques se sont tous produits dans la péninsule Arabique aurait du les ravir, mais non interdiction formelle d’entreprendre la moindre fouille, 3000 ans que ça complote, on va pas tout gâcher…. quand même ! 😉

    Les Banou Israël sont originaire d’ Arabie et du Yémen que les Al Saoud sont aussi en train de détruire et non de la Palestine, pourquoi ces crypto-juifs détruisent tout le patrimoine historique de l’Islam ? Ils effacent toutes les preuves de Vérité parce qu’ils ne peuvent corrompre le Coran car Allah swt en est LE Gardien!!!

    Les Israélites ne sont jamais partis d’Égypte car ils n’y ont jamais mis les pieds, tout c’est déroulé, l’Exode aussi, dans la péninsule Arabique y compris le Yémen, Allah swt nous donne de nombreuses informations dans Son livre, pourquoi nous parle t’Il autant des Banou Israël et de Moïse (as), cité plus de 130 fois dans le Coran ! C’est pour nous exhorter à réfléchir, et ne pas tomber dans les mensonges des faussaires de l’histoire et des Saintes Écritures…

    A l’époque de Muhammad saws, l’Égypte était nommée « Al Gypt » et non « Misr »…
    Misr en hébreu ancien = Misraïm, pourquoi pendant le processus de traduction par les scribes juifs à Alexandrie, le nom de Misr s’est-il transformé en Égypte ?

    La falsification a débuté lors de la traduction en grec de tout les livres israélites, la fameuse Septante environ au 2ème siècle après J-C à Alexandrie par 70 scribes juifs venus de Palestine, Alexandrie célèbre pour sa fameuse bibliothèque partie en fumée, des preuves de leurs falsifications devaient s’y trouver, on devine qui a allumé le feu …

    Ces rabbins qui compilèrent et traduisirent les textes étaient tous des fervents opposant de Jésus (as) , tant qu’à faire autant profiter de l’aubaine pour manipuler les chrétiens, de coupables ils sont passés victimes, ils ont transposé l’histoire véritable de Moise et de l’Exode d’Arabie en Égypte, passant d’une localité en Arabie nommée Misr à la grande Égypte antique pour plus de prestige, de tueurs de prophètes ils sont passé à un peuple prisonnier des Rois d’Égypte qui aurait construit les monuments égyptiens, version de Cécil B de Mille, pyramides qu’ils auraient soi-disant construites dixit le terroriste khazar Menahem Begin. Ils n’ont construits que des pyramides de mensonges !!!

    En falsifiant les Saintes Écritures et la véritable histoire des Prophètes de Dieu swt, ils ont trouvé le moyen de faire croire aux autres communautés qu’ils étaient un peuple que Dieu aurait déclaré supérieur aux autres, s’en glorifiant (encore et toujours) pour s’approprier la reconnaissance et la protection des grecs gouvernants de cette époque « Dieu nous a élu et votre devoir est de nous protéger et de nous servir afin d’être sauvé » …

    Alors que Dieu swt les a non pas élu comme un peuple supérieur aux autres mais les a CHOISI pour répandre Sa Parole et non pour la falsifier, ils ont changé les noms des lieux saints, les noms des Prophètes (as) qu’ils ont pour la plupart assassinés, faussés les Paroles Divines, un peuple à la nuque raide, des transgresseurs qui furent maudits et par Moïse (as) lui-même et par le Tout Puissant swt !!!

    L’Égypte ancienne n’a jamais eu de « Pharaons » mais des Rois , ni d’esclaves israélites, les archéologues n’ont trouvé aucunes traces d’un Moïse et d’un peuple juif ,d’après leurs fables, composé de 3 millions d’esclaves…

    – Il n’y a aucune mention de pyramides dans l’Ancien Testament

    – Il n’y a aucune mention hiéroglyphique de Moïse ou Israélites en Égypte.

    – Le mot «Misr» dans le Coran et la Torah en hébreu ne signifie pas l’Égypte. c’est un nom propre qui n’aurait jamais du être traduit par Égypte, comme je l’ai précisé plus haut, à l’époque de la Révélation, l’Égypte était nommée « Al Gypt » (pays des Coptes) et non « Misr »…

    – Il n’y a aucune preuve archéologique en Égypte qui prouve que ses anciens dirigeants ont été appelés « Pharaons ».

    Dans la sourate 12 :
    Youssef (as), Joseph), il est fait mention d’un Roi ( Malek) et non d’un Pharaon alors qu’il est fait mention d’un Pharaon ( Fir’aoun )à l’époque de Moïse (as), pourquoi , pour désigner celui qui acheta Youssef ainsi que sa femme, Allah swt nous donne t’il des prénoms arabes, Al-Azize et Zulikha, si ce n’est pour raisonner ?!

    Pharaon vient de Fir’aoun , lui aussi des Banou Israel était le tyran de Misr, une ville fortifiée faite d’argile qui se situait entre le Hijaz et l’ Asir en Arabie où vivait Moïse et c’est là ou tout s’est accompli, de même pour le récit de Youssef (as)…

    Concernant la Mer rouge, jamais dans le Coran ce terme est employé, Allah nous parle de Bahr, et d’après mes recherches, ça peut aussi signifié un fleuve gonflé par des pluies abondantes , donc Moïse a très bien pu traversé avec ceux de son peuple à l’avoir suivi , fort peu nombreux d’ailleurs, un grand fleuve en crue entre le Yémen et l’ Arabie, la région de l’Asir …

    Il faut aussi comprendre ce que la Khazar Connection est allée chercher en Irak ancienne Babylone, pas que du pétrole à l’œil, pourquoi ont-ils pillés tout les musées, assassinés plusieurs chercheurs Irakiens ?! Depuis quand les musées et bibliothèques sont-ils des objectifs militaires ???!!!

    Ces falsificateurs sont simplement aller récupérer les dernières preuves de leur imposture afin soit de les retoucher à leur avantage, soit de les détruire !

    Les Banou Israël sont originaire d’ Arabie et non de la Palestine, durant leur captivité à Babylone, ils ont laissé des écrits contredisant l’Ancien Testament que nous connaissons aujourd’hui dont le récit de l’Exode. Pourquoi juste après la création de l’état usurpateur, ces faussaires criminels se sont -ils empressés de « rapatrier » la quasi-totalité des juifs Yéménites en 1949 par une opération clandestine nommée « Tapis Volant » s’en suivit l’opération « Ezra et Néhémie » en 1950 pour les juifs d’Irak ?

    Parce que ces authentiques descendants des Hébreux d’Arabie avaient connaissance par tradition orale de leur véritable histoire. Il fallait à tout prix les enlever et leur laver le cerveau. Effacer toutes les preuves car tout est forfaiture depuis le début !

    C’est en 1924, lorsque cette tribu du najd , les saoud , issue des Banou Israël sponsorisée par la perfide Albion est devenue « gardienne » des lieux saints faisant de la vraie Terre Sainte leur propriété, ensuite ils ont contribué à la création de l’état usurpateur 23 ans plus tard, l’état d’Israël a été fondé sur un des plus grand mensonge de l’Histoire de l’Humanité.
    On comprend mieux pourquoi daesh qui n’a jamais attaqué Israël détruit les sites antiques comme les saoud crypto-juifs tout le patrimoine historique de l’Islam en Arabie et au Yémen …Tout est lié à cette imposture …

    Et Dieu est infiniment Le plus Savant…

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  4. Le Mont Horeb de la Torah n’est pas le Mont Sinaï en Égypte !

    Dans l’Ancien Testament, jamais ce nom, Sinaï, n’a été cité, le nom de la Montagne Sacrée qui y figure est Horeb, c’est Hélène , la mère de l’empereur Constantin, celui du concile de Nicée, qui décida, comme ça , de désigner l’emplacement du Buisson Ardent au Mont Sinaï comme étant la montagne sacrée où Dieu Swt parla à Moïse (as).

    Dans la Bible , il est bien écrit que Paul de Tarse s’absenta 3 années, ni Sinaï, ni Égypte, mais il parti pour l’Arabie…

    Regardez de près la péninsule du Sinaï, c’est une terre de roche volcanique et de granit , aucune végétation, à l’époque de Moïse, c’était une province égyptienne avec de nombreuses garnisons de soldats, car il y avait de nombreuses mines de cuivre et autre riche minerai à protéger …

    Je vois mal Moïse et soi-disant jusqu’à trois millions d’esclaves israélites fuyant la colère de Pharaon prendre le risque de traverser une terre de roches, donc sans nourriture pour leur bétail et surveillée comme le lait sur le feu par les soldats du Tyran…

    Moïse n’a pas pu faire sortir les Hébreux d’Égypte et les conduire vers la Palestine pour la bonne raison qu’à l’époque celle-ci. était aux mains des Égyptiens comme le prouve les lettres d’Armana, des tablettes d’argile d’ordre diplomatique découvertes vers 1887, c’est pas de bol pour les scribes rabbins d’Alexandrie, ils ne l’avaient pas prévue celle-là 😉 … «  Oy vaï !!! (Ô malheur en hébreu) on a oublié qu’ils écrivaient aussi sur les pierres » :))

    « La plus importante partie du corpus des lettres d’el Amarna concerne la correspondance entre la cour égyptienne et ses vassaux de Palestine et de Syrie. Les principaux sont les royaumes de Gaza, Jérusalem, Lakish, Sidon, Tyr, Byblos (Gubla), l’Amurru, Ugarit, Qadesh, Qatna. »

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Lettres_d'Amarna

    On ne trouve d’ailleurs aucune trace d’une révolte d’esclaves dans l’empire des Pharaons, ni d’une conquête rapide du pays de Canaan par un élément étranger, pourquoi ? Parce qu’ils ne cherchent toujours pas au bon endroit ….

    La fameuse Terre de Canaan et Abraham (as) , ce nom est répété sans fin dans l’ancien testament était en fait le territoire de la tribu arabe des Banu Kinanah , les ancêtres des Qureish , Kinanah est devenu Canaan lors du processus de traduction en grec, l’arabe et l’hébreu sont des langues similaires , des langues consonantiques, l’écriture autrefois se faisait sans voyelles, Kinanah KNN en arabe et Canaan KNN en hébreu,

    Regardez bien cette carte, juste en dessous de Taïf et pas loin de la Mecque, se trouve la Terre des Kinanah , aussi comment ne pas méditer sur le nom de la ville de Jeddah , ce n’est pas la ville de la grand-mère (jeddah en arabe) Ève Paix sur elle, une faribole de plus, non le nom est très intriguant parce qu’il ressemble étrangement à Judah …

    Le Mont Horeb de la Torah n’est pas celui qu’on croit, la véritable montagne sacrée est le Mont Tor et il se trouve en Arabie, dans la vallée de Tuwa , peut-être pas très loin de Madyan , là où Moïse (as) a fui, épousé une bédouine et y a demeuré dix années….

    Le Mont Tor jouera un rôle à la Fin des Temps, car c’est là que se réfugiera Jésus fils de Marie (as) avec ses compagnons poursuivis par les Gog et Magog …

    Pourquoi croyez-vous qu’on interdit toutes fouilles archéologiques et efface toutes les traces du patrimoine historique en Arabie et au Yémen ? Parce que la Vérité à fait surface !

    Et a qui donc profite le crime ?

    Je reviens plus tard insha Allah poster sur Abraham (as) et Yousseph (as)…

    Paix sur vous tous …

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  5. Je me suis toujours demandée pourquoi Allah swt nous dit dans le Saint Coran « Abraham (as) n’était ni Juif, ni Chrétien, mais Musulman »… Je pensais que cela voulait peut-être dire qu’il n’a jamais vécu en terre Judéo- Chrétienne, mais en terre d’Islam et avec TOUTE sa famille, aux alentours de la Mecque ce qui faisait d’elle, la Terre Sainte.. 

    Le fait qui m’a poussé à entamer mes propres recherches il y a quelque temps déjà est que je ne pouvais admettre qu’Abraham (as), devenu père à un age fort avancé, nommé par Dieu swt lui meme Son Ami Intime, aurait pu laisser son fils ainé avec son épouse seuls en plein désert à plus de 2500 km de la Palestine, jamais Abraham n’a abandonné des membres de sa famille suivant la version remixée de l’Ancien Testament et relayée par un grand nombre de Musulmans, un tel comportement est inconcevable de la part d’un Prophète ! Comment consentir qu’un vieillard puisse faire plusieurs allers-retours à pied sur une distance de 2500 km entre la Palestine et la Mecque pour leur rendre visite, c’est impossible mais tout le monde y a cru et y croit encore !!!

    Le très brillant Tarik Ahmed nous le dit aussi : Une mission impossible !!!

    « Ibn Kathir ajoute aussi une autre information importante dans la citation suivante qui révèle combien Maméra, où se trouve la maison de Sarah, est proche de la vallée sacrée de Bir Sheba: “… Et Abraham avait l’habitude de fréquemment s’assurer du bien-­‐être de sa famille à Pharan…” (135) Sachant qu’Abraham était très vieux quand il eut son premier fils Ismaël, on a du mal à imaginer le Patriarche effectuer des aller-­retours de 2 500 km entre la Mecque et la Palestine, car d’un point de vue archéologique, c’est là une “mission impossible”. »

    La Vérité est qu’Abraham ainsi que les Prophètes des Banou Israël Aleyhoum Salam vécurent en Arabie et non en Palestine, les preuves se trouvent dans le Saint Coran depuis plus de 1400 ans . Voici pour ma part celles que j’ai trouvées concernant les Prophètes Abraham (as) et Lot (as) :

    Dans la Sourate21 / le verset 71 nous informe de l’endroit où Abraham et Lot furent envoyés après avoir été sauvés par Allah swt …

    Sourate 21
    AL-ANBIYA (LES PROPHÈTES)

    « Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.

    69.Nous dîmes : « Ô feu, sois pour Abraham une fraîcheur salutaire ».
    70.Ils voulaient ruser contre lui, mais ce sont eux que Nous rendîmes les plus grands perdants.
    71.Et Nous le sauvâmes, ainsi que Lot, vers une terre que Nous avions bénie pour tout l’univers.
    72.Et Nous lui donnâmes Isaac et, de surcroît Jacob, desquels Nous fîmes des gens de bien.
    73.Nous les fîmes des dirigeants qui guidaient par Notre ordre. Et Nous leur révélâmes de faire le bien, d’accomplir la prière et d’acquitter la Zakat. Et ils étaient Nos adorateurs.
    74.Et Lot! Nous lui avons apporté la capacité de juger et le savoir, et Nous l’avons sauvé de la cité où se commettaient les vices; ces gens étaient vraiment des gens du mal, des pervers.
    75.Et Nous l’avons fait entrer en Notre miséricorde. Il était vraiment du nombre des gens du bien. »

    71.Et Nous le sauvâmes, ainsi que Lot, vers une terre que Nous avions bénie pour tout l’univers.

    Et quelle est la Terre qui a été bénie pour tout l’Univers ?

    Nous avons son nom dans la Sourate 3 : La Famille d’Imran

     « Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
    96. La première Maison qui a été édifiée pour les gens, c’est bien celle de Bakka (la Mecque) bénie et une bonne direction pour l’univers. »

    La Terre Bénie citée dans le verset 71 ne peut être que la Mecque !!! Bénie et une bonne direction pour l’ Univers…

    Allah swt nous informe que Lot (as) était en compagnie d’Abraham (as) lorsque celui-ci fut sauvé du bûcher et furent envoyés tout deux vers cette terre bénie pour tout l’Univers, la Mecque…Ce qui veut dire qu’ Abraham et Lot vécurent sur cette Terre bénie bien avant la reconstruction de la Kaaba par Ismaël (as) et son père, donc j’en viens à la ville de Sodome que les archéologues localisent sur les bords de la Mer Morte alors qu’il n’y a jamais eu d’activités volcaniques là-bas!

    Voici un verset qui annihile la version Mer Morte et qui confirme que Lot qui vivait dans cette ville en perdition se situait près de la Mecque , les versets 137,138 précisent bien que les Mecquois passaient le matin et la nuit près de la ville détruite par le châtiment de Dieu …

    Sourate 37 : Les Rangées
    « Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
    133. Et Lot. était, certes, du nombre des Messagers.
    134. Quand Nous le sauvâmes, lui et sa famille, tout entière,
    135. sauf une vieille femme qui devait disparaître avec les autres,
    136. Et Nous détruisîmes les autres
    137. Et vous passez certainement auprès d’eux le matin
    138. et la nuit.
    Ne raisonnez-vous donc pas? »

    Combien de fois dans Son Livre Allah swt nous exhorte t-IL de raisonner par nous-même!

    Juste une remarque au passage, puisque les Mecquois y passaient matin et soir, ce qui fait donc une journée de marche maximum, on a là une information très importante , une journée de marche correspond environ à 40km , ce qui localiserait Sodome sur un périmètre de 40km autour de la Mecque… Dieu sait mieux …

    Ensuite lorsque les trois Anges émissaires (as) se rendirent auprès d’Abraham (as) afin de lui annoncer la naissance prochaine d’Isaac (as) et de la destruction de la ville de Lot (as), les Anges nomment Abraham et son épouse Sarah après les avoir salués et bénis… « Gens de cette Maison » Sourate 11 :Verset 73… En phonétique …Ahla Albayti ..Bayt… En hébreu ancien le Temple était nommé Bayt…

    73. Qaloo ata’jabeena min amri Allahi rahmatu Allahi wabarakatuhu ‘alaykum ahla albayti innahu hameedun majeedun

    Sourate 11 : HUD

    « Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.

    69. Et Nos émissaires sont, certes, venus à Abraham avec la bonne nouvelle, en disant : « Salam! « . Il dit : » Salam! « , et il ne tarda pas à apporter un veau rôti .
    70. Puis, lorsqu’il vit que leurs mains ne l’approchaient pas, il fut pris de suspicion à leur égard et ressentit de la peur vis-à-vis d’eux. Ils dirent : « N’aie pas peur, nous sommes envoyés au peuple de Lot ».
    71. Sa femme était debout, et elle rit alors; Nous lui annonçâmes donc (la naissance d’) Isaac, et après Isaac, Jacob .
    72. Elle dit : « Malheur à moi! Vais-je enfanter alors que je suis veille et que mon mari, que voici, est un vieillard? C’est là vraiment une chose étrange! »
    73. Ils dirent : « T’étonnes-tu de l’ordre d’Allah? Que la miséricorde d’Allah et Ses bénédictions soient sur vous, gens de cette maison! Il est vraiment digne de louange et de glorification! »
    74. Lorsque l’effroi eut quitté Abraham et que la bonne nouvelle l’eut atteint voilà qu’il discuta avec Nous (en faveur) du peuple de Lot,
    75. Abraham était, certes, longanime, très implorant et repentant.
    76. Ô Abraham, renonce à cela; car l’ordre de Ton Seigneur est déjà venu, et un châtiment irrévocable va leur arriver ».
    77. Et quand Nos émissaires (Anges) vinrent à Lot, il fut chagriné pour eux, et en éprouva une grande gêne. Et il dit : « Voici un jour terrible »

    Pourquoi les Anges émissaires les nomment-ils ainsi, « Gens de cette Maison » ?

    C’est bien qu’il y a encore là une information importante à retenir … On revient sur le verset 96 sourate 3 cité plus haut…
    « 3:96. La première Maison qui a été édifiée pour les gens, c’est bien celle de Bakka (la Mecque)… »

    Abraham et sa famille, nommés par les Anges « Gens de cette Maison » vivaient donc près de cette Maison qui est tout simplement la Kaaba ! …Ce verset 73 : S11 prouve qu’Abraham et Toute sa famille vivaient près de la Mecque et non en Palestine !

    Wa Allahou ‘Alam, Dieu est plus savant…

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    1. @ Sherazad, salam,

      Je ne sais pas si tu te rends compte de toutes ces révélation plus que fracassantes que tu nous livre ? 🙂 et preuves à l’appui ! Superbe démonstration et pour moi une excellente synthèse , ayant le privilège de connaitre tes travaux et depuis des années maintenant. Et puis un beau jour béni je t’ai envoyé un PDF , cet article en l’occurrence …et oui tu avais raison comme à ton habitude, Allahi hafdek.

      Juste un point de désaccord , un détail je te rassure mais qui a son importance et qui permet de garder une certaine logique relative à nos travaux, c’est quand tu dis ;

      « La Palestine quand à elle est une Terre Bénie car elle fait partie du Bilad Sham…
      Les archéologues n’y ont jamais trouvé une quelconque trace d’un ancien royaume d’Israël, de Salomon, de David , Paix sur eux, »

      L’empire de Suleyman (as) était mondial , rien ne nous empêche donc d’imaginer une résidence secondaire en Palestine et même ailleurs, je te renvois à la partie 3 en préparation ;).

      Second argument, le prophète (saws) a fait son ascension nocturne avec Jibril (as) depuis Al Qods et non depuis la Mecque ou Médine.

      Troisième argument, le Dajjal doit siéger sur l’esplanade des mosquées justement à Al Qods et pas ailleurs…cf le 3ème temple des millénaristes talmudo-juifs.

      Quatrième arguments ( le relou :)), les templiers lors des croisades ont trouvés ce que tu sais en Palestine…sous le palais de Salomon (as)…

      Ok je pinaille car Suleyman alias Dhul Qarnayn est hors catégorie de par son pouvoir unique, ici il n’est pas encore question de mondialisme mais de la région des origines et j’adhère à 100% à tes écrits, tu le sais et il y’a encore beaucoup à dire…Nous y reviendrons insha Allah.

      Qu’Allah swt te récompense pour ton travail, la paix sur toi.

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    2. Assalam Alaykem Sherazad,

      Ibrahim a bien envoyé sa femme et son fils dans le désert après qu’Allah lui a demandé de le faire. Il s’agit là d’un acte, que seul les soumis total au Créateur de l’Univers peuvent accomplir. Mais Ibrahim vivait au Canaan.

      La sourate les Prophètes et les versets de 51 à 70 parlent comment Ibrahim fut châtié par les habitants parce qu’il était soumis (musulman) au Créateur de l’Univers, donc c’est pour ça qu’il est musulman. L’autre acte de soumission c’est, quand il a voulue sacrifier Ismael pour Allah.

      Salam

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  6. Paix et benedictions,

    Le nom Yahoudiyeh a pour origine le peuplement « juif  » de la ville. Son origine est plus ancienne que celle de Jay. Certaines sources disent que la ville aurait été fondée par une reine sassanide qui y aurait installé des familles juives. D’après d’autres sources, la colonie juive daterait du temps de Nabuchodonozzor quand des Juifs se seraient installés dans un endroit appelé Ashkahan,Ashkahan qui est toujours le nom d’un des quartiers du vieil Ispahan. Il est également très probable que l’empereur sassanide Shapur Ier ait déporté plusieurs milliers de familles juives depuis l’Arménie jusqu’à Ispahan vers 386 de notre ère, afin de pouvoir asseoir son pouvoir sur l’Arménie.

    Qui sont les « deportes » d’Armenie?sont ils vraiments Juifs aux sens religieux et ethniques? … cherchons enssemble 😕 une hypothese de piste dans l’histoire.

    Le royaume d’Arménie ou Grande-Arménie (par rapport à l’Arménie Mineure) est fondé en 190 av. J.-C. par Artaxias Ier, fondateur de la dynastie artaxiade. Connaissant son apogée sous le règne de Tigrane le Grand, il devient ensuite un enjeu entre Romains et Parthes, puis entre Romains et Sassanides. Au ier siècle, son trône passe aux Arsacides, qui le conservent jusqu’en 428, date de l’abolition de la monarchie et du début du marzpanat.

    Naissance du royaume d’Arménie
    Ancienne satrapie de « l’Empire perse » achéménide (vie – ive siècles av. J.-C.),
    Les grandes puissances qui contrôlent ces régions menacées ont en revanche de grandes difficultés à pénétrer en Arménie, et encore plus à s’y maintenir de façon durable. C’est pourquoi, sans chercher à annexer directement ce royaume, elles s’efforcent pendant toute l’Antiquité de le neutraliser en contrôlant son aristocratie et surtout son roi. Cette aristocratie, en grande partie « d’origine iranienne ou iranisée » (un héritage de l’Empire achéménide), a des liens naturels avec celle de l’Empire parthe.
    Après avoir, en 224, renversé en Iran et en Mésopotamie le dernier roi des rois arsacide, le roi perse sassanide Ardachîr Ier cherche à exterminer tous les membres de la dynastie vaincue, tâche qui est poursuivie par son fils Shapur Ier. Le roi d’Arménie Tiridate II, un Arsacide, se retrouve donc le dernier de la dynastie et résiste victorieusement aux Perses, laissant même les Romains utiliser son territoire comme base d’attaques dévastatrices contre la Médie (région de Hamadan, en Iran) en 232-233.
    L’Arménie n’est désormais plus neutre. Non seulement elle accueille ouvertement des troupes romaines sur son territoire, ce qui représente une menace inacceptable pour l’Iran occidental, mais de plus son roi arsacide Tiridate est devenu par la force des choses l’unique prétendant légitime au trône du roi des rois. En effet de nombreux seigneurs parthes, vassaux des Arsacides, ont refusé tout net de faire allégeance aux Sassanides qu’ils regardent comme des usurpateurs, et se sont ralliés à Tiridate dans le but évident de restaurer la dynastie déchue.
    Le sort de l’Arménie et de son roi est scellé en 244 quand, à l’issue d’une nouvelle guerre perso-romaine, l’empereur romain Philippe l’Arabe conclut la paix avec Shapur Ier : le Sassanide aurait désormais les mains libres en Arménie, Rome s’engageant à ne plus soutenir Tiridate. En 251 ou 252, à la mort de Tiridate, Shapur Ier fait aussitôt occuper le royaume, obtient le ralliement de la quasi-totalité de l’aristocratie locale, et place son fils Hormizd sur le trône d’Arménie. Dans la logique de Shapur (et peut-être de la paix de 244), c’est un retour à l’équilibre traditionnel : le roi d’Arménie doit être issu de la dynastie du roi des rois, autrefois les Parthes arsacides, maintenant les Perses sassanides.

    Géographiquement localisé au Kurdistan, littéralement « pays des kurdes », et dans le Caucase (Arménie, Géorgie), le yézidisme est l’une des plus vieilles religions monothéiste et est considéré comme la troisième confession kurde. Les Yézidis parlent un dialecte kurde, le kurmandji, qui est une langue iranienne.

    Armenie religion peut connu.
    Le yézidisme, ou religion des sept anges, est une religion Kurde qui est présentée par ses pratiquants (les Yézidis ou Yazidis ou Jésides – Êzidîtî ou Êzidî en kurde) comme plongeant ses racines dans l’Iran antique.
    Les Yézidis forment une minorité confessionnelle. Les Yézidis sont adeptes d’un monothéisme issu d’anciennes croyances kurdes. On retrouve en effet de nombreuses similitudes entre le yézidisme actuel et les religions de l’Iran ancien. Ainsi le yézidisme est-il considéré par ses pratiquants comme une survivance du mithraïsme iranien authentique qui s’est adapté à un environnement hostile en absorbant des éléments exogènes.L’origine du nom même de yézidi est débattue. Le terme yézidi fait l’objet d’un double emploi. Il s’utilise aussi bien pour parler d’un individu appartenant à la tribu des Yézidis, que pour parler d’un pratiquant du yézidisme.Les Yézidis honorent l’archange Taous Malek (Tawûs veut dire paon). Le nom de yazidi provient du proto-iranien yazatah qui veut dire ange ou être suprême.Les lettres « YZD » en écriture cunéiforme, trouvées sur une tablette mésopotamienne, confirment l’existence ancienne de leur croyance.

    Aspect demographique.
    Il est difficile de connaître le nombre exact de Yézidis : une estimation donne un total de 800 000. Ils ont pu être 600 000 en Irak (essentiellement dans la région du Kurdistan autonome, qui est leur berceau historique) et 180 000 dans les anciennes républiques de l’URSS (Russie, Géorgie, Arménie). Il existe également des communautés importantes en Europe (notamment en Allemagne où ils sont environ 50 000), mais aussi aux États-Unis et au Canada. L’estimation du nombre de Yézidis a toujours été très difficile. Les raisons de cette incertitude sont variables selon les époques, les pays mais aussi la source des estimations. La difficulté d’accès à leur zone d’habitation est un élément majeur. C’est en grande partie les persécutions physiques qui poussent les Yézidis à rejoindre ces zones difficiles d’accès. Ce peuple se trouve de plus au cœur de nombreux enjeux politiques ce qui contribue aussi à la difficulté d’estimations chiffrées ; mise en place de quotas par exemple.

    Amicalement.

    J’aime

    1. Et que la Paix et les Bénédictions soient sur toi Cid

      Je te remercie pour ton effort de recherches, je voudrais ajouter un point important sur « Yahoudiyeh » au point de vue eschatologique et ensuite quelques informations concernant les croyances des Yezidis , recherches à ce sujet que je t‘invite à approfondir car désolée mais je suis en total désaccord sur leur supposé « Monothéisme » qui pour moi n’est que du satanisme déguisé …

      Des informations sur la ville d’Ispahan à l’époque préislamique sont données par des historiens et géographes arabes des débuts de la période islamique. Ispahan consistait alors en deux sites peu éloignés l’un de l’autre : Jay ou Jayy qui fut le siège des gouverneurs sassanides, et Yahoudiyeh, la ville juive… Voici le schéma de la ville d’Ispahan à la fin du 6ème siècle …

      « Yahoudiyeh » est tout simplement le quartier juif d’où sortira le Dajjal d’après des hadiths authentiques :
      Ibn Kathir (ra) a dit :  » Ainsi, son apparition débutera à Ispahan d’un quartier que l’on nomme : la juive » : Voir al Nihaya / al Fitan wal Malahim t.1, p.128)

      « Le faux messie sortira du quartier juif d’Ispahan, il y aura avec lui 70 000 juifs » : Voir al fath al rabbani tartib musnad ahmad t24 p 73

      « Le faux messie sortira d’un territoire en Orient que l’on appelle Khurasan » : Al-tirmidhi, t6 p 495

      Second Point : Les Yezidis

      « Les Yézidis honorent l’archange Taous Malek (Tawûs veut dire paon). Le nom de yazidi provient du proto-iranien yazatah qui veut dire ange ou être suprême.Les lettres « YZD » en écriture cunéiforme, trouvées sur une tablette mésopotamienne, confirment l’existence ancienne de leur croyance. »

      Il y a beaucoup d’autres choses à ajouter à cela , tout d’abord leurs prières se font en direction du soleil , le culte païen par excellence dont celui de Mithra , je pense que tu sais à qui le soleil fait référence. D’ailleurs, l’anniversaire de la naissance de Taous Malek est fêté à la mi-décembre, ce qui rappelle la fête du Sol invictus de Mithra et des autres grandes figures divines solaires au solstice d’hiver, comme pour le J-Zeus Christ. …Voici le drapeau Yézidi :

      Qui est donc Taous Malek ?

      Voyons dans leurs « saintes » écritures … Les Yézidis possèdent deux livres sacrés : le Kitêba Cilwe, le Livre des Révélations, et le Mishefa Reş, le Livre noir.

       Qu’ret al-Yezid ou Révélation de Melek Taus

      « C’est pourquoi, il est vrai que Ma connaissance dépasse la Vérité de tout ce qui est,
      Et Ma sagesse n’est pas séparée de Mon cœur,
      Et la Manifestation de Ma descendance est claire pour vous,
      Et lorsque cela sera révélé aux Enfants d’Adam, alors l’on verra […]
      Et beaucoup trembleront alors.
      Toutes les habitations et les espaces désertiques sont en réalité Ma création,
      Et qui sont en Mon pouvoir, non en celui des faux dieux ;
      C’est pourquoi, Je suis Celui vers Qui les hommes viennent afin de m’adorer justement,
      Et non les faux dieux de leurs livres, écrits faussement ;
      Mais ils viennent à Moi, un Paon de bronze et d’or,
      Les ailes déployées sur la Ka’aba et le Temple et l’Eglise.
      Et dans le lieu secret de Ma sagesse, il est connu qu’il n’y a d’autre Dieu que Moi-même, l’Archange qui dirige les Anges, Melek Taus.

      Sachant cela, qui ose nier ?
      Sachant cela, qui ose ne pas M’adorer ?
      Sachant cela, qui ose adorer les faux dieux du Coran et de la Bible ?
      Sache que celui qui Me connaît sera envoyé en Mon jardin paradisiaque !
      Mais les Yezidis qui ne me connaissent pas seront plongés dans l’affliction.
      Dis alors que Je suis l’unique et exalté Archange ;
      Et Je rendrai prospère Ceux que Je désire rendre prospères.
      Dis que Je suis Le seul à devoir être adoré dans les Tours de Lalish,

      Et des Monts Ararat à la Mer de l’Ouest. »

      Tu as bien lu Cid « Sachant cela, qui ose adorer les faux dieux du Coran et de la Bible ? »

      Meshaf Resh ou Livre Noir

      « Au commencement, Dieu créa la Perle Blanche à partir de Sa Précieuse Essence ; et Il créa un oiseau appelé Anfar. Et Il plaça la Perle sur Son dos, et y reposa durant quarante mille ans.
      Au premier jour, le dimanche, Il créa un Ange appelé Azazil, qui est Taus Melek (l’Ange Paon), le chef de tous.
      Lundi, Il créa Darda’il, qui est Sheikh Hassan.
      Mardi, Il créa Israfil qui est Sheikh Shams.
      Mercredi, Il créa Jibra’il (Gabriel) qui est Sheikh Abu Beikr.
      Jeudi, Il créa Azra’il qui est Sajadin.
      Vendredi, Il créa l’Ange nommé Shemna’il qui est Nasiru’d-Din.
      Samedi, Il créa l’Ange Nura’il qui est […]
      Il fit de Melek Taus le chef de tous.

      Ensuite, Il créa la forme des Sept Cieux, et la Terre, et le Soleil, et le Lune […]
      Il créa l’humanité, les animaux, les oiseaux, les bêtes et les plaça dans les plis de Son Manteau, et Il s’éleva de la Perle accompagné par les Anges.
      Ensuite Il projeta un grand cri sur la Perle qui se brisa en tombant en quatre pièces, et l’eau sorti d’elle et devint la mer […]
      Ensuite, Il créa Gabriel sous la forme d’un oiseau et Il remit en ses mains les quatre directions. Ensuite, Il créa un bateau et navigua dessus durant trente milles ans, après quoi Il vint s’établir à Lalish […]

      Il commanda ensuite à Gabriel de prendre deux morceaux de la Perle Blanche, une qu’il plaça sous la terre alors que l’autre fut placée à la Porte des Cieux. Il plaça alors à l’intérieur de ces morceaux, le soleil et la lune. Et Il créa les étoiles à partir des débris de la Perle […]
      Ensuite, Il dit : « O Anges, Je vais créer Adam et Eve, et en ferai des êtres humains, et d’eux, deux naîtront, Shehr ibn Jebr, et de lui naîtra le peuple de Azazel sur la terre, la descendance de Taus Melek, qui est le peuple Yezidis. Ensuite j’enverrai Sheikh Adi ben Mustapha du pays de la Syrie, et Je le ferai résider à Lalish ».

      Ensuite, le Seigneur descendit sur la Terre Sainte et commanda à Gabriel de prendre la terre des quatre directions du monde : l’air, la terre, le feu et l’eau. Il fit l’homme et y fixa une âme par Son pouvoir. Ensuite, Il commanda à Gabriel de placer Adam dans le Paradis, où il pourrait manger des tous les fruits des arbres, sauf d’un seul.

      Après cent ans, Taus Melek dit à Dieu : « Comment Adam pourra-t-il s’accroître et où est sa descendance ? » Dieu lui dit « A toi ai-je donné autorité et administration ». Alors il alla vers Adam et lui dit : « As-tu mangé du fruit ? » Il répondit « Non , car Dieu m’a interdit de le faire et m’a dit de ne point en manger ». Melek Taus lui dit alors « Si tu en manges tout ira mieux pour toi ». Mais après qu’il en ait mangé, son estomac grossi et Taus Melek le fit sortir du Paradis et reparti vers les Cieux. Alors Adam souffrit de son estomac distendu mais Dieu lui envoya un oiseau, qui l’aida et le soigna. Gabriel resta absent encore cent ans et Dieu commanda à Gabriel d’aller vers Adam et de créer Eve à partir de la côte gauche d’Adam. »

      Cid , je pense que tu as compris qui est réellement Taous Malek l’ange Paon «  Au premier jour, le dimanche, Il créa un Ange appelé Azazil, qui est Taus Melek (l’Ange Paon), le chef de tous. »
      Azazel est Iblis , le dimanche est le Sun-Day , jour du Soleil , je te laisse le lien ou tu trouveras d’autres extraits de leurs livres « saints » …
      https://www.esoblogs.net/3037/le-livre-noir-des-yezidis/

      Extrait d’un pdf :LE PAON, LA MYTHOLOGIE , LES RELIGIONS

      « Selon Ibn’Abbâs (618-687), le premier à interpréter les paroles du Prophète , le paon aurait été considéré très tôt comme le favori de l’ange déchu, Iblis/Satan. Une légende ancienne très populaire raconte comment le paon s’est vu involontairement associé au démon. Pour avoir refusé de s’incliner devant Adam, Dieu signifie à Iblis son exil du jardin d’Eden. Iblis lui annonce qu’il tentera les descendants de son ennemi Adam l’Homme, afin d’éprouver leur foi. Dieu lui accorde cette requête, et promet l’Enfer à ceux qui écouteront ses conseils en se détournant de la parole de Dieu. Iblis s’attacha à réaliser son voeu. Il attendait une occasion pour pouvoir pénétrer au Paradis. Il en vit tout à coup sortir le paon. Connaissant le secret du paon mangeur de serpents, il se transforma en serpent et , en lui tenant à peu près le même langage que le Renard tînt au Corbeau pour lui faire lâcher son fromage, pour se faire avaler. Il alla alors se présenter à Adam et Eve et on connaît la suite… » 

      Cliquer pour accéder à paon_et_mythologie.pdf

      Et pour terminer, je te laisserai lire cet article sur les « sept tours du diable », d’après René Guénon l’une de ces tours serait située chez les Yézidis …Tu peux aussi t’ intéresser à l’architecture symbolique de leurs temples, structure pyramidale avec toujours un serpent noir sculpté à l’entrée…
      http://esprit-universel.over-blog.com/2014/08/rene-guenon-les-sept-tours-du-diable.html

      J’espère t’avoir prouvé que les croyances des Yézidis sont très loin du Monothéisme…
      Le Tawhid Cid , le Tawhid !!! Il n’y a de Dieu qu’Allah swt et rien, ni personne, aucune créature ne doit lui être associé ni adorée, c’est le plus grand des péché !!! A Lui seul La Royauté et l’Adoration !!!

      Mes meilleures salutations… Bien à toi Cid …

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  7. Bonjour et que la Paix de Dieu soit sur tous !

    Très sincèrement, félicitations à tous pour cet article et aussi à tous les autres pour leur contribution dans les posts, ce blog est génial, pas de polémique, pas de règlement de compte, chacun ses points de vues et le respect, l’écoute et le partage des informations.

    Ainsi pas à pas la Vérité jaillit par la grâce de Dieu Tout-puissant, puisse t-Il récompenser tous ceux qui oeuvrent pour la propager……..amin !

    C’est vrai moi aussi je me suis toujours demandé pourquoi le récit d’Ibrahim -paix sur lui- lorsqu’il reçoit les anges revenait souvent dans la dernière révélation de Dieu (Coran), je crois 2 ou 3 fois minimum, bien entendu parce que Lot -paix sur lui- vivait non lui de là donc en Arabie, on comprend mieux à présent.

    A part vous brossez les godasses, moi aussi j’ai une modeste contribution qui pourrait peut-être vous plaire à moins que vous ne soyez au courant.

    Les fameux fils d’Israel ….sont-ils les fils de Jacob ?
    Un verset qui nous dit le contraire, le troisième de la sourate Al isra- le voyage nocturne

    Au nom d’Allah le tout miséricordieux, le très miséricordieux.
    1 Gloire et Pureté à Celui qui de nuit, fit voyager Son serviteur [Muhammad], de la Mosquée al-Haram à la Mosquée al-Aqsa dont Nous avons béni l’alentour, afin de lui faire voir certaines de Nos merveilles. C’est Lui, vraiment, qui est l’Audient, le Clairvoyant.
    2 Et Nous avions donné à Musa (Moïse) le Livre dont Nous avions fait un guide pour les enfants d’Israʾil (Israël): « Ne prenez pas de protecteur en dehors de Moi.
    3 [Ô vous], les descendants de ceux que Nous avons transportés dans l’arche avec Nuh (Noé). Celui-ci était vraiment un serviteur fort reconnaissant.

    Je vous propose l’effort intellectuel d’une personne sur un forum ci dessous:
    http://causeries-islamo-chr.forumsmaroc.com/t99-qui-est-israel-selon-le-coran

    Et seul Dieu sait !

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  8. @ Sherazad, Cid, Complotiste , Shakur et tous , salam aleykum wa rahamatu Allahi wa barakatu.

    Complotiste merci pour ton lien très instructif et qu’Allah swt récompense le frère Bassir pour son Itjihad, je connais ce salon de causerie , à recommander merci.

    Je reviens sur le Hijaz pour remonter encore plus loin dans l’histoire de l’Homme et à sa véritable origine , accrochez vous bien , voici ce que le torchon le point nous révèle en 2012 ;

    Civilisation : nous sommes tous des Arabes !

    Tous les hommes descendraient d’ancêtres communs ayant peuplé la péninsule arabique, selon les généticiens.

    Nous sommes tous des Arabes ! Telle est la dernière révélation fracassante des généticiens. Que cela plaise ou non à Marine Le Pen et à Claude Guéant, tous autant que nous sommes, Français, Américains, Esquimaux, Chinois ou Papous, nous descendons d’ancêtres communs ayant peuplé la péninsule arabique !

    http://www.lepoint.fr/actu-science/histoire-de-l-homme-nous-sommes-tous-des-arabes-27-01-2012-1424481_59.php

    Si on zappe les bobards sur l’Afrique c’est du lourd.

    Se pose alors la question légitime de savoir à quel endroit Adam et Eve sont descendus , la réponse est dans la Tradition Islamique ;

    Le Coran parle de l’expulsion d’Adam et Ève (as) du Paradis après qu’ils eurent mangé le fruit de l’arbre défendu. Mais il ne dit pas à quel endroit de la Terre le couple est apparu.

    Sherazad a parlé de Djeddah dans son commentaire plus haut , Djeddah qui veut dire grand mère en arabe et fait référence à Eve.

    La tradition arabe place Adam dans la ville sainte de La Mecque, à 70 km à l’est de Djeddah, là où Dieu lui a ordonné de construire la Kaaba.

    Puis Dieu a dit à Adam de monter sur une colline de La Mecque dans le but de se repentir de ses péchés. C’est après qu’il l’a fait que Dieu lui a envoyé Ève, et que la colline a pris le nom de mont Arafat, du mot arabe signifiant savoir, ajoute-t-il. Cette histoire situe Ève, Haoua en arabe, dans les environs de Djeddah, le point d’accès à La Mecque pour les pèlerins. Elle pourrait expliquer l’origine de la légende qui entoure l’enterrement de la «mère du genre humain».

    D’après d’autres traditions, il apparaît que ce furent les anges qui bâtirent les premiers la Kaâba, à l’image de « Baït Al Maâmour » (la Maison visitée ou pleine) qui se trouve au septième ciel, et autour duquel les anges faisaient le Tawaf. Cette Maison bâtie par les anges resta à l’abandon et ce fut Adam qui, beaucoup plus tard, reçut l’ordre de la rénover. Cette construction resta intacte jusqu’à l’époque de Nouh (Noé), puis au moment du Déluge, elle fut élevée au ciel. L’endroit où elle était située fut ainsi perdu et ce fut Ibrahim qui eut l’honneur, après que l’emplacement exact lui fut montré, de bâtir à nouveau la Maison.

    Allah qu’Il soit Exalté dit: « La première Maison qui ait été édifiée pour les gens, c’est bien celle de Bakka (la Mecque) bénie et une bonne direction pour l’univers.(s3/v96) »

    http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/afrique/200811/28/01-805333-la-tombe-deve-entre-legende-et-mythe.php

    Le berceau de l’humanité et des civilisations est la péninsule arabique et la plupart des récits bibliques se passent dans cette région, c’est un fait établi aujourd’hui, malgré la censure et le black out des pères de l’église, des rabbins et des néo pharisiens.

    Comme tu le soulignes Sherazad, Paul de Tarse n’en avait rien à faire de Jérusalem ou il a fait un rapide crochet de 15 jours et à contrario il a passé 3 ans en Arabie avec des allés retours fréquents à Damas 🙂 Oui la ville ou apparaitra Issa fils de Maryam la paix et le salut sur eux.

    Je cite ;

    Galates 1, 13-18

    Vous avez certes entendu parler de ma conduite jadis dans le judaïsme, de la persécution effrénée que je menais contre l’Eglise de Dieu et des ravages que je lui causais, et de mes progrès dans le Judaïsme, où je surpassais bien des compatriotes de mon âge, en partisan acharné des traditions de mes pères.

    Mais quand Celui qui dès le sein maternel m’a mis à part et appelé par sa grâce daigna révéler en moi son Fils pour que je l’annonce parmi les païens, aussitôt, sans consulter la chair et le sang, sans monter à Jérusalem trouver les apôtres mes prédécesseurs, je m’en allai en Arabie, puis je revins encore à Damas.

    Ensuite, après trois ans, je montai à Jérusalem rendre visite à Céphas et demeurai auprès de lui quinze jours :

    Le gars était bien informé et il ne s’est pas gouré dans la destination…

    La paix sur vous.

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    1. Assalam Alaykem tony,

      La famille du prophète descend des Hachemites, qui eux sont d’origine du Yémen. Donc ce fût un croisement entre Cannaaën (la famille d’Ibrahim) et Hachemites (caravaniers venu du Yémen et s’installa là ou il y a l’eau du zem zem) ce qui donna la naissance des Arabes.

      Et tu sais très bien qu’Allah Avait Demandé au prophète à ce que les prières soient tournés vers Jérusalem et ce n’est qu’après la demande du prophète que les prières sont tournés vers la Kaaba.

      Salam

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    2. @ Shakur,

      Je sais que tu portes Jérusalem dans ton coeur et tu as raison car c’est le 3ème lieu saint de l’Islam, une place bénie et convoitée et à ce titre je te le redis le Dajjal occupera Al Qods et il n’y a que La Mecque et Medine ou il ne pourra pas rentrer, je t’ai demandé si tu t’en rappelles de me fournir une source sur Al Qods interdite au Dajjal , pourrais tu nous en faire part aujourd’hui ?

      Concernant le changement de Qibla oui le prophète saws a prié 16 ou 17 moins en direction d’Al Qods puis Allah swt a fait descendre ce verset que je t’invite à méditer longuement ;

      Le prophète saws reçut l’ordre de s’orienter vers la Ka’aba (la Maison sacrée).

      « Certes nous te voyons tourner le visage en tous sens dans le ciel. Nous te faisons donc orienter vers une direction qui te plaît. Tourne donc ton visage vers la Mosquée sacrée. Où que vous soyez, tournez-y vos visages. Certes, ceux à qui le Livre a été donné savent bien que c’ est la vérité venue de leur Seigneur. Et Allah n’est pas inattentif à ce qu’ ils font. » (Coran,2 :144).

      Tournez-y vos visages. Certes, ceux à qui le Livre a été donné savent bien que c’ est la vérité venue de leur Seigneur.

      Donc les chrétiens, les juifs et tous les monothéistes qui précédent connaissaient la Qibla en direction de la Kaaba. CQFD.

      Salam.

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  9. la Bible contient toujours le mot de Baca préservé dans ses textes (voir ci-dessous). Le mot Baca semble avoir échappé à l’attention de ceux qui ont honteusement réécrit le Texte Saint dans le but de supprimer ou de fausser l’ensemble de ce qui précède. Peut-être était-ce Allah le Très- Haut qui a Lui-même fait qu’ils outrepassent ce mot. Il est très clair que l’intention Divine de revenir dans le Coran à l’ancien mot de Bakkah était de diriger l’attention vers la preuve de la vérité à ce jour préservée dans la Bible néanmoins corrompue, et d’ainsi exposer le texte :

    Psaume 84 ;

    (Les commentaires entre parenthèses sont la traduction de la nouvelle version internationale)

    1. Combien sont aimables tes demeures, Ô SEIGNEUR des armées !

    2. Mon âme désire ardemment, oui, même elle soupire après les cours du SEIGNEUR ; mon cœur et ma chair crient vers le Dieu vivant.

    3. Oui, le passereau a trouvé une maison, et l’hirondelle son nid où elle a mis ses petits, c’est-à-dire tes autels, ô SEIGNEUR des armées, mon Roi et mon Dieu.

    4. Bénis sont ceux qui demeurent dans ta maison ; ils te loueront encore. Selah.

    5. Béni est l’homme dont la vigueur en toi, et ceux au cœur desquels sont les chemins (pèlerinage).

    6. Qui passant par LA VALLEE DE BACCA en font un puits ; la pluie aussi remplit les mares.

    Il y a une preuve manifeste dans les mots ci-dessus « Vallée de Baca », « Puits », « pèlerinage », « ta maison », et « tes demeures », en référence à la Kaaba ou Baytullah (La maison d’Allah) à Mekkah (la Mecque) et à Zam Zam, le puits d’eau à la Mecque qui a jaillit lorsque Hajjar cherchait de l’eau pour Ismaël (AS).

    http://islametreligions.forumactif.com/t581-la-bible-contient-toujours-le-mot-de-baca-la-mecque-preserve-dans-ses-textes

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    1. Assalam Alaykem tony,

      Jusqu’à présent j’ai pas réussit à retrouver la source ou il est dis que le Dajjal ne pourra pas rentrer à Jérusalem. Honnêtement, je pense que certaines informations ont été supprimé du net pour cacher la vérité, c’est pour ça que j’appelle à méditer soi même pour ce qui concerne cette histoire.

      Moi je fonctionne comme ça, enfin là logique me pousse à réfléchir ainsi:

      1. Jérusalem est cité dans le coran et Allah dis qu’il a béni ce lieu et ses alentours, ce qui fait de lui un lieu saint.

      Je ne peux pas croire qu’ Allah autorisera au Borgne de pénétrer dans l’enceinte de Jérusalem si Allah Là Béni…et qu’il est le 3 lieu saint de l’Islam.

      2. Au début les prières se sont dirigés vers Jérusalem.

      3. C’est de là Mosquée Al-Aqsa à Jérusalem que le prophète Muhammad (sallallahou alayie wa salam) qu’il a fait le voyage nocturne et a ensuite guidé la prière de la nuit en présence de tout les prophètes.

      Salam

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    2. @ Shakur, aleyk salam,

      Merci pour ta franchise car au delà du net je n’ai jamais lu une chose pareille et dans aucun livre et chez aucun rapporteur, impossible donc de valider cette hypothèse.

      Après je suis d’accord avec toi sur le fait qu’il faut faire attention aux écrits trafiqués mais pour se faire il faut des bases scriptuelles et nombreux sont les hadiths qui parlent des « juifs » qui occuperont Jérusalem à la fin des temps , pour preuve ils préparent le 3 ème temple dédié à leur machiah borgne et il siègera bien à Jérusalem. Tout est écrit Shakur et on ne va pas commencer à inventer des nouvelles histoires sinon on ne s’en sort plus…Jésus ( Issa as) tuera le Dajjal à la porte de LOD en Palestine occupée fuyant Jerusalem…

      https://www.google.fr/maps/place/Lod,+Isra%C3%ABl/@31.9535707,34.7542903,11z/data=!4m5!3m4!1s0x1502ca5c5ad106a1:0xacee445e07ca811a!8m2!3d31.951014!4d34.888075

      Pour en revenir à l’article, t’en penses quoi de toutes ces preuves qui démontrent que les prophètes cités dans la Bible et le Coran viennent du Hijaz et non de Palestine ?

      C’est de ça dont il s’agit et pour rester dans le sujet.

      Salam.

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    3. Wa aleyk Salam Tony 😉

      Que ceux comme Shakur qui sont encore sous l’effet Septantique des falsificateurs des Saintes Écritures m’expliquent cette photo !

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    4. @ Sherazad, aleyk salam,

      On the target ! 🙂 Shakur nous met en garde contre les bêtises d’Internet alors qu’on lui présente un travail de haut niveau et un document exclusif sur la toile…SubhanAllah…

      Que veux tu faire de plus ?…

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  10. Assalam Alaykem tony,

    Comme j’ai dis plus haut, Ibrahim vivait dans le Cannaan/Palestine, tout comme le reste des prophètes à part Muhammad (sallallahou alayie wa salam). Toujours dans mon commentaire plus haut j’ai dis que, les arabes c’est le croisement entre les hachémites et Cannaaëns.

    Salam

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  11. @Shakur

    Wa Aleyk Salam Shakur

    Tu me dis « Ibrahim a bien envoyé sa femme et son fils dans le désert après qu’Allah lui a demandé de le faire. »

    M’enfin Sakur je n’ai jamais dit le contraire !!!

    Apparemment tu as mal interprété mon commentaire sur le fait qu’Abraham (as) et toute sa famille vivaient près de la Mecque , ce que j’ai écris au début était le questionnement qui m’a poussée à entamer mes propres investigations , ensuite j’ai fourni les preuves coraniques , versets qu’aussi tu as mal compris.. Relis moi bien , c’est la version de l’Ancien Testament que je réfute totalement !!!
    J’ai écrit ceci en préambule :

    « Le fait qui m’a poussé à entamer mes propres recherches il y a quelque temps déjà est que je ne pouvais admettre qu’Abraham (as), devenu père à un age fort avancé, nommé par Dieu swt lui meme Son Ami Intime, aurait pu laisser son fils ainé avec son épouse seuls en plein désert à plus de 2500 km de la Palestine, jamais Abraham n’a abandonné des membres de sa famille suivant la version remixée de l’Ancien Testament et relayée par un grand nombre de Musulmans, » 

    Un exemple avec un extrait de l’ouvrage de Muhammad Asad :

    « Aux temps préislamiques déjà, Abraham occupait certainement une place éminente dans les généalogies des Arabes comme ancêtre, par Ismaël fils d’Agar, du groupe « nordique » qui comprend aujourd’hui plus de la moitié de la nation arabe prise dans son ensemble et auquel appartenait la tribu même de Muhammad, celle des Quraysh. Seul le début de l’histoire d’Ismaël et de sa mère figure dans l’Ancien Testament, car ses développements ultérieurs ne concernent pas directement les destinées du peuple hébreu, auxquels le livre est principalement consacré. Mais la tradition arabe préislamique a beaucoup plus à dire sur ce sujet.

    Selon cette tradition, Agar et Ismaël furent abandonnés par Abraham à l’endroit où la Mecque est aujourd’hui située, ce qui ne paraît aucunement impossible si l’on se souvient que, pour un nomade à dos de chameau, un voyage de trente jours ou davantage n’avait, et n’a toujours rien d’extraordinaire. En tous cas, la tradition arabe dit que ce fut dans cette vallée qu’Abraham conduisit Agar et leur enfant, dans cette gorge entre des collines rocheuses, nue et aride sous le soleil d’Arabie, balayée par les vents brûlants du désert et qu’évitent même les oiseaux de proie. Aujourd’hui encore, bien que la vallée de la Mecque soit couverte de maisons avec des rues où se croisent des gens de langues et de races multiples, le désert proclame sa solitude du haut des pentes stériles tout autour et, au-dessus des foules des pèlerins qui se prosternent devant la Kaaba, planent les fantômes de ces millénaires durant lesquels le silence, ininterrompu et dépourvu de toute vie, dominait la vallée vide.

    Au désespoir de cette esclave égyptienne qui avait donné un fils à son maître et, de la sorte, s’était attirée la haine de l’épouse de ce maître, elle devait être rejetée avec son fils Ismaël. Le patriarche dut être affligé lorsqu’il accomplit cette action pour apaiser son implacable épouse, mais il faut se souvenir que lui, qui était si proche de Dieu, était convaincu que Sa miséricorde était sans limite. Le livre de la Genèse nous dit que Dieu le réconforta en lui disant : « Que cela ne déplaise pas à tes yeux, à cause de l’enfant et de la servante… du fils de la servante je ferai aussi une nation, parce qu’il est né de toi » [Genèse 21/13]. Ainsi Abraham abandonna la femme en pleurs et l’enfant dans la vallée, leur laissant une outre remplie d’eau et une autre de dattes. Puis il partit vers le nord par Midian jusqu’au pays de Canaan. »

    Jamais Abraham (as) n’a abandonné Hagar et Ismael (as) pour obéir à Sarah et Hagar n’a jamais été son esclave mais bien la seconde épouse du Prophète et elle était la fille d’un grand chef d’une tribu Yéménite , Abraham n’obéissait qu’à Dieu swt je suis d’accord avec toi bien sur, le verset ci -dessous nous informe bien qu’il les a ÉTABLI donc installé et non abandonné près de la Kaaba …

    Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. 

    14 :37. « Ô notre Seigneur, j’ai établi une partie de ma descendance dans une vallée sans agriculture, près de Ta Maison sacrée [la Ka˒ba], – ô notre Seigneur – afin qu’ils accomplissent la Ṣalāt. Fais donc que se penchent vers eux les cœurs d’une partie des gens. Et nourris-les de fruits. Peut-être seront-ils reconnaissants? »

    Hagar et Ismael vivaient à la Mecque, à moins de 20 km de là Abraham, Sarah et Isaac étaient établi à Namera près du Mont Arafat donc il pouvait facilement leur rendre visite: Aleyhoum Salam, que la Paix soit sur eux …

    Voici une carte avec les distances :

    Les versets que j’ai cité dans mon post précédent prouvent que toute sa Famille , Sarah, Hagar,ainsi que son neveu Lot vivaient dans les alentours de la Mecque avant la naissance d’Isaac (as) car les 3 Anges émissaires sont venus annoncer la future naissance d’Isaac(as) et la destruction de Sodome, ville en perdition située aussi non loin de la Mecque, preuves coraniques à l’appui !

    De nombreux savants se sont penchés et le sont encore sur « Ismaël et Hagar ont-ils été envoyés à la Mecque avant ou après la naissance d’Isaac ? » , certains ont affirmé avant Isaac d’autres après , une divergence qui n’a pas eu lieu d’etre car Allah swt nous a fourni la preuve qui est là depuis plus de 1400 ans sous leurs yeux : Abraham n’a eu que deux fils, sa descendance se résumait à Ismaël et Isaac :

    « j’ai établi une partie de ma descendance dans une vallée sans agriculture, près de Ta Maison sacrée »  , il dit bien « une partie de ma descendance », ce qui prouve qu’Isaac était déjà né !!!

    Canaan n’a jamais été une terre en Palestine mais celle de la tribu des Banou Kinnanah dans le Hijaz , j’en ai déjà parlé précédemment , tu dis faire preuve de logique concernant Jérusalem interdite au Dajjal , alors montres en aussi avec toutes les preuves qui ont été révélées dans cette étude , je t’invite donc à bien relire ce document exceptionnel, recherches faites par des érudits, théologiens et historiens Arabes, preuves à l’appui et surtout la partie concernant Canaan : « À la recherche des Patriarches en Arabie – Balayer les sables du désert »

    Paix sur toi …

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    1. Bonsoir Sherazad et Tono Tony,
      Je n’ai pas encore lu entièrement votre dernier document (manque de temps malheureusement). Totalement bouleversantes les idées qui s’y dégagent mais je ne peux pas trop en parler car mes connaissances en théologie islamique sont très basique. Cependant, je vais lire cet article entièrement car il capte totalement mon attention.

      Sherazad, au risque de te choquer et j’en suis désolée, mais le fameux cube noir sur le front du juif, le téfilin, me fait penser à un autre cube noir mais géant : la Kaaba.
      J’imagine ta tête.
      Désolée, une fois encore. Je n’ose pas imaginer celle de Tono Tony…
      Ces deux cubes ont toutefois une signification religieuse, n’est-ce pas?
      Je m’arrête ici. J’ai l’impression de blasphémer contre Allah

      Eclairez moi. Et ne m’en veuillez pas s’il vous plaît.

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    2. @ T-RIA, salam,

      Bingo c’et bien ça , la Kaaba…et comme on dit parfois une image vaut mieux que tous les discours…Je tiens à te rassurer tu disposes encore de ton discernement 🙂

      Maintenant pourquoi un juif porte ce symbole sur le front , that is the question…et on y apporte des réponses à commencer par ce fabuleux document que l’on vous présente, alors de grâce lisez le 🙂

      La paix sur toi.

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  12. Assalam Alaykem Sherazad,

    Le fait que tu dise ceci exemple:———> « Le fait qui m’a poussé à entamer mes propres recherches il y a quelque temps déjà est que je ne pouvais admettre qu’Abraham (as), devenu père à un age fort avancé, nommé par Dieu swt lui meme Son Ami Intime, aurait pu laisser son fils ainé avec son épouse seuls en plein désert à plus de 2500 km de la Palestine, jamais Abraham n’a abandonné des membres de sa famille suivant la version remixée de l’Ancien Testament et relayée par un grand nombre de Musulmans, »

    Tu parles biens sur, sur le fait qu’Abraham n’aurai jamais abandonné sa femme et son fils dans le désert.

    Exemple ici de ton préambule:—–>jamais Abraham n’a abandonné des membres de sa famille suivant la version remixée de l’Ancien Testament et relayée par un grand nombre de Musulmans, »Sherazad

    Muhammad Asad a dis: Selon cette tradition, Agar et Ismaël furent abandonnés par Abraham à l’endroit où la Mecque est aujourd’hui située,

    Lorsque Hagar était dans le désert elle a fait 7 fois le tour d’un côté et 7 de l’autre pour trouver de l’eau. Un ange apparu et lui dis de creuser à un endroit bien précis et de l’eau apparu. Plus tard, Ibrahim et Ismaël ont reconstruit ou plutôt redécouvert la Kaaba.

    Sherazad a dis: Que ceux comme Shakur qui sont encore sous l’effet Septantique des falsificateurs des Saintes Écritures m’expliquent cette photo !

    Une recherche rapide de cette photo, m’envoie sur une synagogue de satan.

    Fait-tu de la provocation pour ensuite me bannir?

    Salam

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    1. @ Shakur,

      T’as un grave problème… mais tu vas arrêter net ton charabia et tes provocations à deux balles.

      Si t’es pas content rien ne t’oblige à poster ici je te l’ai déjà dis et je n’ai que faire de tes états d’âmes.

      Dernière sommation.

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    2. Bonsoir Tono Tony,

      Je suis soulagée.Je pensais être dans l’erreur mais dés que j’ai vu cette photo, j’ai vu immédiatement la Kaaba. Une sorte de flash.
      Mais dis-moi, n’y a t-il pas aussi une connotation païenne?
      La Kaaba était un lieu de culte avant la période islamique : un culte envers qui?
      Le téfilin doit avoir une bien réelle signification que celle qu’on veut bien lui donner officiellement, non?

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    3. @ T-RIA,

      Oui la Kaaba a été occupée par les paiens et il en est de même aujourd’hui…Sherazad nous avait offert une vue de l’intérieur de la Kaaba avec des symboles solaires et des ex voto ( offrande faite à un dieu en demande d’une grâce ou en remerciement d’une grâce obtenue.)

      Et quand je parle d’occupation je fais attention au poids des mots car si tu relis l’un des mes comms plus haut j’apporte la preuve depuis l’origine que la Kaaba est un sanctuaire de Dieu , cf l’histoire d’Adam une fois sur terre.

      C’est la bonne direction depuis la nuit des temps , c’est une place qui a toujours été convoitée…je te renvoi sur cet article ultra complet ; c’est tout bonnement le centre énergétique le plus puissant au monde ;

      « Guerre énergétique : Des Ley Lines et obélisques au centre énergétique du Monde…La Kaaba »

      Guerre énergétique : Des Ley Lines et obélisques au centre énergétique du Monde…La Kaaba

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    4. @Shakur

      C’est plutôt toi qui provoque et cherche en plus à polluer cet excellent fil de discussion, tu l’as déjà fait l’an dernier avec de fausses accusations sur moi alors arrête tes délires et me cherche pas encore une fois !!!

      Je prends le temps de te fournir des réponses construites et argumentées et toi tu m’accuses de chercher sournoisement à te bannir ???!!!

      Je n’ai fait aucune provocation avec la publication de cette photo c’était simplement pour vous faire tous réfléchir , et toi tu nous sors  » une synagogue de satan  » encore une fois tu es à coté de la plaque alors que T-ria elle qui avec beaucoup d’humilité affirme de pas avoir beaucoup de connaissances en théologie islamique a compris de suite que c’était une miniature de la Kaaba !

      Une dernière fois je te le redis, ne déforme plus jamais mes propos !!! Tu pourras t’exprimer librement ici tant que tu respecteras la charte , si tu as mal interprété la photo, tu pouvais me demander des explications gentiment et pas m’accuser de sournoiserie !

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    5. @ Sherazad,

      Pour moi il s’agit pas de la Kabaa puisque ce cube que porte ce judaïque, ont vois le cube d’en haut et sur la face du haut il y a 4 lignes, sur la face du bas il y a une branche qui donne 4 petit carré.

      Lorsqu’on regarde la Kaaba ont vois deux faces et ceux qui tournent autour voient 4 faces. De plus, si la Kaaba on là vois noir c’est uniquement parce qu’il y a une couverture noir.

      J’ai cherché l’origne de cette foto et je suis tombé sur ce site que voici —-> https://spark.adobe.com/page/8aPxt/

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  13. @tony,

    Ou est ce que tu vois de la provocation de ma part ?

    C’est bien Sherazad qui m’associe avec cette photo..

    Je crois que j’ai encore le droit de m’exprimer librement sans avoir à être menacé de bannissement de ta part.

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  14. Assalam alaykoum 🙂

    Je viens d’arriver sur le site et voyant que les échanges deviennent plutot tendu ce soir entre shakur et sherazad, j’aimerai ajouter simplement ceci :
    J’ai fait un rève ou vision véridique sur les événements de la fin des temps, et j’ai découvert la trame de ce qui va se passer avec dajjal, mahdi, issa et la malhama (3ème guerre mondiale).
    ça vous intéresse un peu, inchallah ?

    Barakallah oufikoum !

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    1. Wa Aleyk Salam ou Rahma Libre Penseur

      Wa Allahi Barek fik

      Non entre Shakur et nous c’est une longue histoire , faut pas t’inquiéter pour ça , j’en profite pour te souhaiter la bienvenue , j’allais le faire à l’instant sur le fil des plumes , voilà qui est fait …

      Oui bien sur que tu peux poster tes contributions mais dans la rubrique « Fin des Temps » , toujours respecter le sujet de chaque article , donc je t’invite à nous exposer tes analyses suites à tes reves Masha Allah dans un des articles de cette catégorie ici :

      https://eschatologiablog.wordpress.com/category/fin-des-temps/page/2/

      Le dernier en date étant « le retour de Jésus » , tu peux y poster sans problème , bien sur ça m’interesse de connaitre tes rêves véridiques ( et beaucoup de nos lecteurs aussi ), je te dirais pourquoi après insha Allah …

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  15. @T-Ria

    Bonsoir et Salam 🙂

    Je tiens à te féliciter et te rassurer aussi , non tu ne m’as pas choquée, tu m’as fait un énorme plaisir , c’est exactement la réponse que j’attendais, bravo à toi !!!

    Ta question : « Le téfilin doit avoir une bien réelle signification que celle qu’on veut bien lui donner officiellement, non? »

    Tout à fait chère T-Ria , bien vu 😉
    Pourquoi le téfilin (contenant des écritures) sur le front est -il en forme de cube noir, une miniature de la Kaaba ?

    Je te livre ma réponse mais avant je rejoins Tony, lisez bien ce document exceptionnel et exclusif en français que nous avons mis à votre disposition, vous comprendrez mieux par la suite …

    Pour ma part , je pense que ce téfilin fait référence au Saint des Saints , c’est à dire la structure cubique ou était gardée l’Arche d’Alliance dans le Temple de Salomon à Jérusalem selon la version officielle ….

    J’insiste sur le fait que ce n’est que mon avis , l’Arche n’a jamais été à Jérusalem, c’est pourquoi personne ne l’a trouvée là bas, le Saint des Saints est la Kaaba , l’Arche était conservée à l’intérieur , le mystérieux Trésor de la Kaaba c’est ça ! L’Arche d’Alliance !!!

    Ils auront beau creuser et creuser Jérusalem et la Mecque , transformer la Terre en gruyère jamais ils ne la retrouveront, elle est trop bien gardée là ou elle se trouve actuellement , elle reviendra au Mahdi et à Issa fils de Marie , Paix sur eux , les derniers représentants de Dieu swt sur Terre avant la Fin du Monde …Et Dieu est infiniment le plus savant…

    Paix sur toi chère T-ria 🙂

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    1. Barakallah oufik 🙂
      Merci pour ton accueil, masha Allah !
      Ok, je vai aller sur le lien, inchallah.

      Sans vouloir vous impressionner, je risque d’en surprendre plus d’un avec mes découvertes dù à mon rève….je ne suis qu’un porteur de vérité et rien de plus 🙂

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  16. Houd Houd! C’est moi la Huppe! Je viens aux nouvelles!! Il parait qu’il s’en passe des choses par ici!…

    Assalam aleikoum Tono Tony, Sherazade, Cid et Paix a tous les autres!

    Enfin, ENfin ENFIN!!! Quel plaisir de pouvoir enfin trouver cette fameuse etude de Tarik Ahmed traduite en Francais!!! En plus ici sur ce blog! Allah soit loue! Alhamdoulillah!! Qu’Allah vous récompense mes amis Tarik, Tono Tony, Sherazade et tous ceux qui ont permis que ce texte soit disponible dans la langue de Molière!

    Il etait grand temps! Car si vous regardez bien la date de parution du document, vous vous apercevrez qu’il date quand meme de 2006! Qu’il aura donc fallu attendre plus de dix ans pour qu’il passe de l’anglais au français.

    Un texte d’etudes “islamiques” qui passe de l’Anglais au français, finalement ca doit être ca la Francophonie, “Alhamdoulillah!” (j’entends les grincements de dents ici…) 🙂

    A votre avis pourquoi aura t-il fallu attendre dix longues années pour pouvoir le lire en Français? La raison, je vous la donne dans le mille, est très simple: d’abord parce qu’il etait bien planque, rayon “archéologie islamique” des magasins gougueule c’est a dire juste a cote de la sortie de secours, a l’autre bout du magasin du net, quand ca devient justement « pas très net »…

    Ensuite parce qu’il bouscule pas mal d’idees reçues, parce qu’il remet en question un certain nombre de schémas intellectuels bien ancres. Qu’il ne colle pas avec ce qui se dit autour de soi, avec ce qu’on nous appris ici et la, parce qu’il fait appel a notre propre intellect, a notre sens critique. Parce qu’il pose des questions, des vraies questions, et qu’il fallait donc du courage pour le traduire (le texte est très riche, parfois ardu, n’est pas court non plus) et du courage pour le mettre en ligne.

    Et surtout parce que tout ca n’a pu se faire que par la permission d’Allah, Celui qui dispose de tout (Al Wajid)!

    Qu’Allah le Tres Reconnaissant (Al Shakour) les recompense tous donc pour leur courage. Car très peu s’aventureront sur cette piste, surtout s’il est question de dire des choses comme celles qui suivent:

    – Que les pays du Levant (Palestine, Sham) ont toujours été situes a la périphérie de l’histoire et de la géographie des Prophètes. Un fait que la majorité des historiens et géographes “modernes” ont préféré ignorer, ou botter en touche, sauf les plus courageux, que l’on peut compter sur les doigts d’une main. Si vous voulez savoir a quels doigts je fais allusion, faites-moi signe, vous serez surpris!

    – En effet qui aura le courage d’affirmer que le Patriarche Abraham AS et les siens n’ont jamais mis les pieds en terre de Palestine, ou dans la région de Sham?

    – Que Misr c’est pas l’Egypte? Tiens donc! Et que Pharaon n’est pas un personnage Egyptien? Vous oseriez dire ca a un Egyptien? Au guardien du temple, au curé de la paroisse ou a l’imam de la mosquée du quartier? Et s’il vous reste encore un peu de temps, montez a Paris et posez la question aux Directeurs du musée du Louvres, on aimerait bien savoir ce qu’ils en pensent eux aussi!

    – Qui irait enfoncer le clou en avançant l’idee que le personnage de Fir’aoun-Pharaon relève plus du chef de tribu Arabe qu’au sacro-saint personnage holywoodien de Yul Brunner dans les “Dix Commandements” de Cecile B. DeMille! Sherazade a (encore une fois) mille et une fois raison quand elle pose la question simple de savoir “Pourquoi on ne trouve pas de pyramides dans la bible?” Question simple dont vous ne trouverez nulle part de réponse sauf ici, faut dire que les « judeo-Chretiens » préfèrent tout simplement esquiver la question!

    – Qui oserait dire que l’histoire de l’exodus telle qu’on la “visualise” dans son esprit aujourd’hui n’est qu’une légende la encore hollywoodienne et rien d’autre, la belle gueule de Charlton Eston en plein écran servant surtout a mieux faire passer le bobard.. Pas de mer rouge, pas de Nil, pas de delta non plus. Il semblerait bien la aussi qu’ils aient filmé au mauvais endroit!

    Tous les points cités au-dessus sont le résultat de recherches tres sérieuses menées par des historiens, des géographes, des archéologues, des scientifiques, des hommes et femmes de lettres souvent anciennes, autant de travaux qui font surtout appel a la Raison! A la rationnalité de chacun. Et la raison nous dit que le théâtre des événements bibliques n’a pas eu lieu aux pays du Levant, en Syrie, Jordanie, Palestine, Liban, Egypte, mais dans les terres du Hijaz et du Yémen actuel.

    Pourquoi croyez-vous que la coalition des ennemis de l’humanité soit aujourd’hui engagée dans une course contre la montre pour effacer la mémoire du Hijaz et du peuple Yemeni?

    Vous l’aurez donc compris, c’est surtout du courage qu’il fallait a cette équipe pour en arriver la. Et le besoin brulant de faire connaitre cette vérité autour de soi. Mais le rôle du Musulman n’est-il pas précisément de transmettre la connaissance et la Vérité autour de lui? Meme et surtout si elle contredit la doxa dominante voire globale de l’epoque comme on le voit encore aujourd’hui?

    Tarik Ahmed, Tono Tony, Sherazade, et moi meme l’avons fait, en partageant cette étude avec vous. Lisez-la bien, en toute objectivité, d’un oeil critique, car l’enjeu, comme on dit, en vaut le détour. Car il est bien question de détour, imaginez ca: ils voulaient imposer à notre Patriarche Abraham AS un détour de plus de 2000 kms par jour, en plus dans le désert chaud d’Arabie! Fallait vraiment oser! Et personne pour relever cette bizarrerie, ni du cote du Temple, de l’Eglise ou de la Mosquee!

    N’hesitez donc pas a commenter et donc a poser des questions sur le texte du dessus, Tono Tony, Sherazade, d’autres (Cid?) et moi-meme tenterons de vous éclairer de notre mieux insha Allah, en toute objectivité, et surtout en toute sincérité. N’oubliez pas de lire les commentaires, car comme souvent sur ce site, ils sont d’une rare qualité, une véritable mine d’infos!

    Et si cette lecture vous a plu, et bien partagez-la avec votre entourage, vos proches et vos amis car eux aussi ont le droit de savoir. Vous aurez ainsi fait « votre part »: celle de faire connaitre, a votre niveau, la Vérité!

    Et Allah et son Messager (AS) savent le mieux!

    Salaam, Paix a tous!

    La Huppe
    (repartie en mission de reconnaissance en terres Arabo-Anglophones) 🙂

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    1. @ La Huppe, wa aleykoum salam 🙂

      J’avais hâte de te lire ici, et j’en profite avant toute chose pour annoncer ton intégration dans la team et nous sommes honoré de te compter parmi nous mon cher frère, marhaba.

      Merci infiniment La Huppe, tu sais combien je te suis reconnaissant pour nous avoir fourni ce travail très précieux et aussi pour la traduction , un travail titanesque, puisse Allah swt t’en récompenser et te couvrir de sa Miséricorde.

      Nous sommes entrain de nous battre contre 2000 ans de mensonges, comme a dit Sherazad tout n’est que forfaiture…et ce travail satisfera les véritables chercheurs de vérité dégagés de tout esprit hérité, je n’en doute pas un instant, pour les autres il faudra qu’ils changent de paradigme et ce n’est pas chose simple connaissant la nature humaine…

      Pour en revenir à l’article et en citant une partie de ton commentaire ;

      Tous les points cités au-dessus sont le résultat de recherches tres sérieuses menées par des historiens, des géographes, des archéologues, des scientifiques, des hommes et femmes de lettres souvent anciennes, autant de travaux qui font surtout appel a la Raison! A la rationnalité de chacun. Et la raison nous dit que le théâtre des événements bibliques n’a pas eu lieu aux pays du Levant, en Syrie, Jordanie, Palestine, Liban, Egypte, mais dans les terres du Hijaz et du Yémen actuel.

      Bah wé du lourd…et il faudra se lever tôt pour fournir une réfutation académique.

      Concernant l’Egypte ancienne, Je vais citer un Professeur juif qui confirme tes propos ;

      ~Professeur Ze’ev Herzog, chef du département d’archéologie et d’études de l’ancien Proche-Orient à l’université de Tel-Aviv, dans un entretien avec le magazine Ha’aretz le 29 octobre 1999~ ;

      “Après 70 ans d’excavations et de fouilles extensives sur la terre d’Israël, les archéologues ont trouvé que les actions du patriarque sont des histoires de légende ; nous n’avons pas séjourné en Egypte, ni fait un exode, nous n’avons pas conquis la terre. Il n’y a pas non plus de mention de l’empire de David et de Salomon. Ceux qui s’y intéressent savent tout cela depuis des années, mais Israël est un peuple têtu et ne veut pas en entendre parler.”

      Un juif qui dit vrai et qui connait sont sujet…ça c’est pour les arabophobes 🙂

      Il y’a aussi le Docteur Ashraf Ezzat soutenu par une communauté d’universitaires connus et de haut niveau ainsi que par leurs recherches et trouvailles impressionnantes dans le domaine, et qui révèle un des plus grands actes de déception et de tromperie de l’histoire, responsable de la création et du concoctage du mythe des pharaons égyptiens.

      Je cite ;

      « Oui, l’histoire d’une Egypte ayant toujours été dirigée dans les temps anciens par des pharaons n’est rien d’autre qu’un mythe et un mensonge éhonté. En fait, la célèbre histoire de Moïse et du Pharaon ne s’est jamais produite dans l’Egypte antique, l’histoire de l’exode du peuple juif tel qu’elle est narrée dans la bible hébraïque, s’est produite dans un obscur petit village du nom de Misraïm (qui, sur une carte moderne, serait localisé dans le nord du Yémen).

      Ma propre recherche, combinée avec tout un corps d’investigations académiques très sérieuses et soutenue par des trouvailles sur base de preuves, exposera un mensonge qui a tenu de manière incroyable pendant deux mille ans. »

      La suite ;

      De la mythologie au mensonge: L’Egypte antique n’a connu ni pharaons ni Israélites…

      Ce livre permettra au lecteur éclairé de comprendre la géopolitique actuelle…si si tout est lié et une fois l’Histoire la vrai ,rétablie tout est beaucoup plus clair ;

      Au cœur du mensonge historique… L’origine hébraïque du takfirisme ; ( Dr Ashraf Ezzat)

      La (très dangereuse) idée du Takfir (accuser des croyants d’une autre secte ou autre foi d’apostasie punissable de mort brutale) n’est pas (comme nous l’avons exposé) exclusivemt islamique, mais cela remonte très loin dans la culture de l’ancienne Arabie et de ses tribus juives.

      Cette intolérance tribale de toute foi autre que celle qui est acceptée et embrassée par la tribu (qu’elle soit israélite ou islamiste) est ce que nous pourrions identifier comme une des caractéristiques de l’ancienne culture arabe.

      Nous ne sommes une fois de plus pas en train de diffamer quelque religion que ce soit ou leurs croyants, mais nous fouillons toujours plus profond dans les racines culturelles de l’extrêmisme (religieux) et de l’intolérance à la fois dans le judaïsme et dans l’islam. En d’autres termes, nous exposons les origines culturelles et géographiques arabes à la fois de l’Islam et du Judaïsme. Nous le faisons tout en douchant froidement et en toute connaissance de cause les orientalistes occidentaux qui au travers de leur interprétation déformée et biaisée de l’histoire biblique ont égaré des générations de croyants naïfs et trompés. Par croyants, je veux dire les millions qui furent amenés aveuglément à accepter le faux narratif des orientalistes et qui l’acceptent toujours en ce moment très précis.

      Egypt knew no Paharaohs nor Israelites” (disponible en version kindle, en anglais)

      Que la paix t’accompagne.

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  17. L’ancien Yémen est la patrie originelle du judaïsme et des Israélites ( Dr Ashraf Ezzat ) ;

    A quoi sert l’histoire si elle ne nous apprend rien ? et par l’histoire, je ne parle pas des livres déformateurs de celle-ci que vous avez utilisés comme base d’étude à l’école, ni non plus les films hollywoodiens que vous regardiez adolescents, qui ne sont que de la propagande. En fait, la totalité du narratif académique occidental au sujet de l’histoire de l’ancien proche-orient (incluant la soi-disante “histoire biblique”) est tellement éronnée qu’on a besoin d’un changement de paragigme en ce qui concerne sa location géographique même.

    L’histoire de l’ancienne Arabie et du Yémen a longtemps été négligée (et quelque part sous-estimée) par le monde universitaire et académique occidental.

    Mais, à la fin du XIXeme siècle et durant les premières décenneies du XXème, commencèrent quelques ferventes excavations archéologiques au Yémen. Ces expéditions archéologiques augmentèrent leur cadence de travail au Yémen alors que le mouvement sioniste devenait de plus en plus proche de réaliser son rêve politique: d’obtenir une patrie pour les juifs européens. Ce n’est pas que le Yémen fut l’endroit objet des convoitises des sionistes quant à leur patrie, mais parce que les autorités rabbiniques savaient qu’ils avaient besoin de preuves historiques pour justifier de leur prise illégale et de leur usurpation de la Palestine. Les plus anciens du mouvement sioniste savaient pertinemment que seul le Yémen pouvait faire sortir quelques véritables trouvailles archéologiques juives datant des remps anciens. Les juifs yéménites migrèrent vers Israël en 1949-50 dans ce qui fut appelée du nom de code “l’opération tapis volant”.

    Ils avaient creusé au Yémen et c’est au Yémen qu’ils découvrirent des artéfacts juifs très importants. Toutes ces trouvailles archéologiques juives furent alors secrètement transportées du Yémen vers Israël, alors même que 50 000 juifs yéménites étaient secrètement transportés à Tel Aviv en 1949.

    Fadel El Rubaie, l’anthropologue de renom irakien parle de l’île yéménite de Kamran comme étant l’endroit original de la découverte de ce qui fut appelé “les parchemins de la mer morte”. De plus, émanant de son travail de terrain au Yémen, El Rubaie a fréquemment insisté sur le fait que beaucoup de site anciens juifs, comme celui de Or Salem (la Jérusalem yéménite) et la montagne Sion furent pillés dans la première moitié du XXème siècle.

    Dans une opération du Mossad appelée “opération tapis volant”, des milliers de juifs yéménites furent transportés par voie aérienne en Israël au moyen de quelques 380 vols secrets qui furent rendus possibles avec l’aide des avions américains et britanniques. C’est par ce même soutien américain et britannique que fut grandement facilité la prise de la Palestine par les Israéliens.

    Au cœur du mensonge historique… L’origine hébraïque du takfirisme

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  18. Paix et benedictions,

    Que la benediction Dieu vous accompagne,j’attendais cette argument de Tony,pour rebondir.
    L’ancien Yémen est la patrie originelle du judaïsme et des Israélites ( Dr Ashraf Ezzat ).

    @Sherazad.
    Je m’excuse,je me suis mal fait comprendre,j’aurais du indiquer ma source et faire un commentaire precis,desole.(car nous ne sommes pas en desaccord,bien au contraire,sherazad).

    Ce fameux « monotheisme » n’est t’autre que la provenance de Mithra (l’ange de « lumiere », qui comme tu l’as trouver,est represente dans l’ancienne perse par un paon,plus tard on le trouve sous la forme d’un barbu perse avec des ailes,puis en grece sur un chariot , Rome, … etc jusqu’a nos jours… bref).

    Je souhaitais simplement faire reflechir sur la dualite et l’existance vivace de ce culte dans cette ville d’ispahan.
    Et surtout,sherazad,que tu trouves la provenance ce « Metatron »…

    Merci a Huppe pour son travail,que la benediction t’accompagne.

    Heureux de lire T-ria (merci pour ton poste sur le coeur 😆),libre penseur,complotiste et shakur qui devrait menager Sherazad qui travail dure…que la paix vous accompagne et vous guide.

    Meilleurs considerations.

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    1. Salam et Paix a tous!

      Salaam Tony, tu fais tres bien de citer Ashraf Ezzat dans tes derniers commentaires. Ashraf a en effet enormement contribue a vulgariser ce sujet en publiant de nombreux articles chez Veterans Today. Ca vaut le coup d’y jeter un oeil!

      On ne peut donc que recommander la lecture de son ouvrage cle « Egypt knew No Pharaoh nor Israelites » qui resume tres bien la question. Faudra juste maitriser la langue de Shakespeare!

      Pour les arabisants, on recommande bien sur d’aller sur le site meme de la Tajdeed Society (www.tajdeed.org) d’ou l’etude du dessus est issue, et de s’y poser le temps d’une petite lecture…

      Pour la petite histoire, sachez qu’Ashraf Ezzat est Egyptien!

      Bonnes lectures a tous!

      Wassalam!

      La Huppe

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  19. Salam à tout le monde

    @ La Huppe

    Salam Houd Houd 😉

    J’aimerai que tu nous donnes ton point de vue sur le Mont Tor , le vrai Mont « Sinaï », pour ma part j’ai expliqué dans mon commentaire plus haut que c’était la mère de Constantin. qui avait choisi, décidé que le Mont Horeb de la Torah était au Sinaï ..

    Je pense que beaucoup ont entendu parler des travaux de Ron Wyatt à ce sujet , attention qu’on soit d’accord, je ne dis pas que tout ce qu’il a avancé est la Vérité , je ne partage pas son point de vue sur le parcours de l’Exode, mais il a le mérite d’avoir été dès 1977 un des premiers à réfuter la localisation du Mont Horeb telle que nous la connaissons … Son avis est que le Mont « Sinai » se trouverait en Arabie , il serait le « Jebel Lawz » mais j’accroche pas … Voici la vidéo…

    Allah swt nous donne une information capitale dans le Saint Coran , le nom de la vallée ou se trouve le Mont Tor/Horeb est la vallée de Tuwa , dans ce document nous avons des indications précises avec cette illustration disant « Al-­Taneium ou la vallée de Tuwa dans la cité de la Mecque à 6km de Beit Allah (bir Sheba) »…

    Houd Houd peux tu nous en dire plus sur cette Sainte Vallée de Tuwa près de la Mecque, connais tu son nom actuel ? Je ne trouve rien sur Al-­Taneium …

    Parfois je me dis , le Mont Tor est peut être la montagne An- Nour ? Là ou Muhammad saws avait pour habitude de s’y réfugier pour méditer dans la grotte Hira avant d’y recevoir la Révélation de la Prophétie , Allah sait mieux …

    Merci d’avance …Bien et Paix sur toi La Huppe 😉

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    1. Salaam Sherazade,

      Desole de ne pas t’avoir repondu avant, c’est qu’en ce moment, vois-tu, La Huppe est en mission de reconnaissance, en terres lointaines… Et puis je dois aussi te l’avouer, je ne peux traiter ta question d’un simple battement d’aile!

      Le Mont Sinai, Sacre sujet en effet!.. Je vais juste te donner un petit indice sur la methodologie qu’on va utiliser pour la chercher notre montagne: on va revenir a la source, au texte, a l’Arabe Coranique, plus precisement a la definition des mots Tour de Tour Sina (mont Sinai) et celle du mot djebel.

      Car il faut le savoir: si tous les Tours sont des Djebels, tous les djebels ne sont pas des Tours. Les deux ne signifient pas la meme chose. Mais j’en ai deja trop dit 🙂 En tous les cas il faudra trouver une montagne plus jolie que celles qu’on a vues jusqu’ici (la j’ai lache le morceau 🙂

      Excuses moi pour le cote « teaser ».. Je te soumets mon rapport – circonstancie – des que je peux, le plus tot insha Allah!

      A tres bientot, Bon Ramadhan a tous!

      La Huppe

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    2. Wa Aleyk Salam La Huppe

      « Désolé de ne pas t’avoir répondu avant, c’est qu’en ce moment, vois-tu, La Huppe est en mission de reconnaissance, en terres lointaines »

      Oh sois pas désolé Houd Houd, tu nous avais prévenu après ton premier passage,  » repartie en mission de reconnaissance en terres Arabo-Anglophones  » , d’ailleurs chers lecteurs, la Huppe vient de me déposer son premier rapport suite à cette première mission de reconnaissance que je vais bientôt vous soumettre, je tiens à te féliciter , excellent travail Houd Houd 😉

      A peine arrivé , te voilà donc reparti pour une nouvelle mission, tu nous as mis le suspense avec ton « teaser » mais prends ton temps Houd Houd , nous attendrons tous sagement ton second rapport 🙂 Insha Allah …

      Merci à toi, à très bientôt , et Que Dieu swt te garde …
      Bon Ramadhan à tous et saha Ftorkoum …

      Aimé par 1 personne

    1. @ T-ria, salam,

      Amin wa barak Allahu fik, je te souhaite aussi et à tous nos lecteurs un excellent mois de Ramadan plein de Miséricorde Divine , de pardon , de partage et de prières.

      Multipliez vos invocations et votre repentir en ce mois béni et Puisse Allah swt nous agréer. Allahuma Amin.

      D’après Abou Houreira (qu’Allah l’agrée), le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) était le plus généreux des hommes et le moment où il était le plus généreux est durant le ramadan lorsque Jibril le rencontrait et Jibril venait à lui chaque nuit de ramadan afin de lui enseigner le Coran. Ainsi lorsque le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) rencontrait Jibril il était plus généreux que les vents envoyés.

      (Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°3220 et Mouslim dans son Sahih n°2308)

      Saha Ftorkom.

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    2. @T-ria
      Salam 🙂

      Un grand merci à toi chère T-ria, ça me touche vraiment …
      Amin, Amin, Amin et que la Paix et la Bénédiction de Dieu swt soient sur toi et tous les croyants en ce mois Béni.. . Ramadan Kareem à tous …

      Saha Ftorkoum

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  20. @ Tous, salam,

    Un rappel et un hommage à notre frère et collaborateur Houd Houd La Huppe , Houd Houd c’est en arabe et La Huppe en français 🙂

    Voici son histoire dans le Saint Qu’ran , Suleyman (as) avait aussi et dans son grand pouvoir attribué par le Très Miséricordieux (swt) la faculté de parler aux oiseaux ;

    Sourate 27
    AN-NAML (LES FOURMIS)

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  21. Le Vrai Mont Sinaï Jebel El Lawz en Arabie.

    Oubliez définitivement le film de Cecil B. DeMille, voici des preuves archéologiques irréfutables et selon Hershel Shanks éditeur d’une revue biblique archéologique qui a conclu ;

    « JEBEL EL LAWZ est probablement le Mont Sinai » Newsweek 23 février 1998

    Merci et salut à CID pour ce tilt 😉

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  22. De la bouche même de Paul de Tarse qui a longuement voyagé en Arabie tout en délaissant Jérusalam ;

    Ga 4:25- car le Sinaï est en Arabie et elle correspond à la Jérusalem actuelle, qui de fait est esclave avec ses enfants.

    « car le Sinaï est en Arabie « ….

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  23. Salam tout le monde et chaleureuses salutations à mes amis d’hier et d’aujourd’hui : Shérazed et Tony.
    Quand, il y a quelques temps, j’avais posé une question, somme toute banale et anodine, je ne doutais pas, qu’un jour ou l’autre, j’aurais la réponse.
    Ma question était simple : que faisaient les Juifs en Arabie, au temps de notre prophète Mohammed (saws)? Je ne me rappelle plus sur quel site, blog ou page, je ne me rappelle plus aussi si c’était en aparté ou sur un fil de discussions. J »avais posé la question car je me demandais que, selon les versions officielles, s’ils étaient supposés être en Palestine, que faisaient-ils alors en Arabie et plus précisément à Médine et à la Mecque?
    Ce fut pour moi un mystère car je ne voyais vraiment pas ces Juifs venir s’_installer dans une terre aux 3/4 désertique et laisser ainsi cette terre promise qu’est la Palestine. Mystère, d’autant plus qu’il ne s’agissait guère d’un groupuscule ou d’un petit nombre restreint qui avait migré du Nord au Sud, non, ils étaient plus nombreux que ça et, c’est devant cette énigme ou problématique, que je me suis retrouvé à poser cette question.
    Quand j’ai lu et relu tous les articles concernant le sujet et qui ont un lien direct avec ma question, je me suis, à chaque fois, surpris en train de sourire.
    J’allais de découverte en découverte, chaque paragraphe, chaque ligne et même chaque mot ou nom ….m’arrachait ce sourire, un sourire dont il est important de souligner qu’il n’était guère formé par ma bouche ou lèvres, genre rictus ou décontraction, non, je souriais mais….des yeux.
    Quand je suis arrivé à  »Mokka », là, une sorte de sensation étrange avait inhibé mon cerveau. Mokka…Mokka…..oui, je connaissais, c’est une sorte de café, non? Oui, c’est un peu ça, mais c’est plus que ça !!!
    Quand je suis arrivé au passage de ce mot Mokka, notre ami La Huppe ne se soudait point qu’il avait enclenché ce mécanisme olfactif qui sommeille en nous, qui sommeillait en moi. L’odeur de ce café a, rien qu’à l’évocation de son nom « mokka », non seulement pénétré mes narines et mes sens gustatifs mais il a aussi déclenché des souvenirs imagés et mêmes « sonorisés ».
    « Hé, n’oublie pas ! Café Mokka…. » !! C’est la voix de ma mère qui, il y a de nombreuses années de cela; me rappelait toujours qu’il fallait ramener le café mokka, le paquet avec un lion…..et je vois les images de ce paquet, je me souviens du lion, je me souviens aussi des caractères du comment était écrit « mokka », sans plus. Google image est là, en un clic et j’ai toute l’image et ce qu’il manquait à l’image enfouie dans mes souvenirs : « Mokka, roi des cafés » !!!! Et quand je découvre que Mokka est un ancien port du Yémen d’où partait à travers le monde entier ce café et quand je découvre le lieu où on le cultivait; je suis devant ce qu’on appelle un état de grande béatitude. Je n’en croyais pas mes yeux. Si, avant que je ne découvrisse cet article, on m’avait posé cette question de définir la géographie de ce pays, j’aurais juste dit qu’il ressemble un peu, trop, à la géographie et aux terres d’Arabie ( saoudie).
    Jamais je n’aurais imaginé que cette luxure verdoyante, ces montagnes, ce relief, ces terres riches, ces vallons….se trouvent, en fait, au Yémen.
    Le Yémen de l’époque faisait-il partie intégrante de l’Arabie? Je ne sais pas ,et ce qui a tilté en moi c’est que notre prophète Mohammed (saws) voyageait beaucoup dans cette région, à cause du commerce qu’il tenait. On disait aussi que beaucoup de caravanes venaient du Yémen, ce qui laisse supposer que ce pays était un pays riche, une terre « tayibba » !!
    Sans avoir fait une quelconque allusion à l’article, j’ai demandé à 2 ou 3 personnes de me conseiller un meilleur miel. Ils m’ont donné quelques marques locales, et puis l’un d’eux me lança ; « si tu veux le meilleur miel du monde, il te faut le miel du…….Yémen !!!! »
    Waw! comment le sait-il? il n’en a aucune idée. Il a juste entendu ça, là où on vend du miel.
    Aujourd’hui j’ai les réponses à ma question, et il ne fait aucun doute que les Juifs vivaient bien en Arabie, avant l’avènement de l’Islam, avant la venue de Jésus (as) et qu’il n(y eut, en fait, aucun exode comme rapporté ici et là.
    Je tiens à remercier Shérazed, Tony, La Huppe…pour ce travail de recherches titanesque et qui n’ont lésiné sur aucun effort pour nous le faire partager. Un remerciement aussi pour tous les intervenants qui, par leurs commentaires, ont suscité un intérêt certain.
    D’autant plus qu’ils utilisent un pseudo, ce qui est une preuve d’humilité, car ils n’ont besoin ni de gloire ni de glorioles, qu’Allah -azza wa jallla- les Récompense pour leurs travaux.

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  24. @ Pouchino, aleyk salam,

    Un plaisir de te relire mon vieil ami et comme à ton habitude tu nous livre là un bien beau témoignage et je témoigne aussi de tes interrogations et remarques sur le sujet déjà à l’époque , j’ai une mémoire d’éléphant surtout en ce qui concerne les écris des sages.

    Et aujourd’hui tu finis par dire ;

    « Aujourd’hui j’ai les réponses à ma question, et il ne fait aucun doute que les Juifs vivaient bien en Arabie, avant l’avènement de l’Islam… »

    Wal Hamdulilah j’en ai aussi l’intime conviction et Allah( swt) est plus Savant.

    Allahi hafdek wa salam.

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    1. Le voeux de Sherazad est réalisé , je cite ;

      « la transmission de la Vérité étant le devoir de chaque croyant , c’est pourquoi j’insiste auprès des lecteurs pour faire connaître cette étude autour d’eux et la partager au maximum, merci d’avance … La Vérité l’emportera toujours sur le faux ! »

      Wal Hamdulilah.

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  25. Le projet NEOM donne raison à cette étude et c’est la preuve ultime que ceci est la vérité.

    En effet NEOM sera bâtit dans le Hijaz ;

    La zone en rouge montre le projet initial pour la mégapole Neom implantée en Arabie saoudite. Mais à terme, il est prévu qu’elle s’étende aux rives de l’Égypte et de la Jordanie dans le golfe d’Aqaba. C’est à peu de chose près le tracé du Hijaz.

    Ils nous ont endormit avec le 3ème temple de Jérusalem et y’a pas grand monde qui a vu venir ce projet Dajjalique qui sera le QG du Dajjal et certainement le fief du NOM judaica.

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    1. Ce n’est ni plus ni moins que la réalisation du plan Oded Yinon (1982) ;

      Selon le père fondateur du sionisme Théodore Herzl, « le territoire de l’État Juif s’étend du bassin du Nil à l’Euphrate. » Selon le Rabbin Fischmann, « La Terre Promise s’étend du Fleuve du Nil jusqu’à l’Euphrate, elle comprend des parties de la Syrie et du Liban. »

      Derrière la montée en puissance de Daech, ne faut-il pas voir la réalisation du plan d’Oded Yinon sur le dépeçage du Proche Orient ?

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    1. @ Typical , salam aleykum

      Abha, les merveilles cachées de la Province d’Asir

      Perchée sur un des plus hauts plateaux de l’Arabie saoudite, Abha, située au sud-ouest de la péninsule arabique, est la capitale de la province d’Asir. Connue pour ses montagnes, ses vallées et ses plaines fertiles, la région est devenue une oasis touristique pour les Saoudiens en quête de verdure et d’un climat tempéré, loin de l’aridité des déserts ou de la moiteur de la côte du Golfe.

      https://kawa-news.com/abha-les-merveilles-cachees-de-la-province-dasir/

      Tout ceci rejoint les travaux de notre frère la Huppe que je salue chaleureusement.

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  26. Pourquoi Jérusalem est appelée Yerushalayim en hébreu et “Qods/Qadas” en arabe?

    Qades, comme mentionné dans la bible hébraïque est une montagne yéménite située à 80km au sud de la ville moderne de Taa’iz et elle n’a rien à voir avec Jérusalem.
    D’après le Hadith musulman (tradition), la première direction pour la prière (Qibla) se trouvait vers Bayt al-Muqaddas (de manière supposée le temple de Salomon), seulement pour réaliser que cela fut construit dans le Nord-Yémen et non pas la Jérusalem de Palestine comme tout le monde le croit (plus de détails la-dessus dans le livre).

    Au Yémen et spécifiquement à sept kilomètres au sud de la capitale, Sanaa, là nous trouvons facilement la cité historique de “David”, où les anciens Jébusites / Jebus / Yabosites / Yebus (en arabe) ont vécu pendant des siècles dans leur forteresse montagneuse connue aujourd’hui sous le nom de Beit-Bos (patrie de Jabus).
    Aussi pas loin sommes-nous face à face avec la montagne Zion/Sion (partie du massif montagneux de Sarawat qui s’étend le long de la côte ouest de la péninsule arabique.

    Jérusalem (Deir Salem en arabe) veut dire la ville de la paix ou ville pacifique. Comme les Jébusites/Yebusites étatient bien protégés des raids des Arabes par la force de leur forteresse montagneuse très isolée, ils avaient le plaisir de vivre dans une ville de paix ou Deir/Dar Salem.
    Un autre narratif fait remonter le nom de Salem/Shalom à un des patriarques juifs.
    Quoi qu’il en soit, j’espère sincèrement que Beit-Bos/Deir Dalem, la Jérusalem yéménite, pourra survivre les bombardements qui se produisent actuellement au Yémen. Bombarder, attaquer et détruire les sites archéologiques anciens semble être une des cibles (secrètes) de ce qu’il se passe actuellement au Moyen-Orient.

    Mythologie et falsification biblique… Si Jérusalem m’était contée (Ashraf Ezzat)

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  27. Un hadith qui confirme cette étude.

    Selon Abu Mussa compagnon, le Prophète priere prophete a dit : « Soixante dix Prophètes sont passés par Rawha. Parmi eux Moussa (alayhi salem). Ils accomplissaient le Tawaf (tours rituels) autour de la Kaaba, pieds nus et vêtus de tuniques ». (Rapporté par Abu Ya’la et al-Tabarani.

    Un autre hadith relatif à la vision de Muhammad ‘aleyhi salat wa salam ;

    Al-Hakem l’a rapporté ainsi : En passant devant un oued, le Prophète demanda : « C’est quoi cela? ». Ils répondirent que c’était l’oued bleu. Il dit alors : « On dirait que je vois Moise (alayhi salem) descendant, élever sa voix disant : « Allah est le plus grand! » Arrivé ensuite sur un certain chemin de montagne, il dit : « J’ai l’impression de voir Jonas (alayhi salem), montant une chamelle rouge dont les rennes dont des cordes en fibre, étant entrain de louer Allah en portant une tunique en laine »

    Al Hijaz terre des prophètes…

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  28. Pourquoi l’un des fondateurs du christianisme est parti en Arabie ?

    Paul de Tarse et ses voyages en Arabie ( Al Hijaz)

    « L’« Arabie » est pour nous, non pas le temps d’un voyage, d’un séjour en quelque lieu, mais le temps d’un besoin, non pas d’être vus, mais de « voir » en nous-mêmes par l’Esprit-Saint, qui nous« renouvelle dans l’esprit de notre intelligence… » Eph 4:23.

    Peu après, écrit-il :

    « Je partis pour l’Arabie. Puis, je revins encore à Damas… » Gal 1:17. »

    Son voyage à Jérusalem fut bref et c’est l’Arabie qui attire toute son attention !

    Cliquer pour accéder à MED-337-Je-partis-pour-lArabie.pdf

    Jean 4 : 4-21
    « Femme, lui dit Jésus, crois-moi, l’heure vient où ce ne sera ni sur cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père. »

    Aussi faut-il mentiomnner la découverte de manuscrits de Qumran près de la mer morte, lesquels parlent d’une façon claire de la sainte Kaaba, dans l ‘un des ses manuscrits intitulé : livre d ‘Adam et d’Eve, nous lisons le sens du verset 29 : 5-7 comme suit :

     » Adam informe son fils sheth que Dieu indiquera aux Personnes fidèles où construire sa maison (Maison de Dieu). (Livre d’Adam et d’Eve 29 : 5-7)

    Le docteur Charles, qui a traduit le livre en anglais a écrit ce commentaire à propos de ce paragraphe :

    « ne pas mentionner le temple de Jérusalem en chapitre 29 ( où il est mentionné la maison de Dieu) indique que ce livre est écrit dans une ville étrangère ».

    Et d’ajouter : « l’endroit où Adam avait l’habitude de faire sa prière est le même lieu où les musulmans ont appris à respecter la Kaaba ».

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  29. Le royaume de Souleyman (as) et de sa voisine du sud Bîlkis.

    Et plus encore l’existence en Erythrée sur la rive opposé à celle de l’Asir, d’une colonie hébraïque.

    C’est la langue, une langue alphabétique qui aurait lié les deux communautés séparées par des deux côtés de la mer rouge.
    Les hébreux communiquaient en hiéroglyphes alphabétiques.

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  30. La cité de David (qui est une forteresse) et la old Jérusalem sont deux endroits différents.
    Une fois établi dans cette « Jérusalem »,
    David ne régna plus sur Juda, mais sur  » tout Israél » comme le fit après lui son fils, Salomon.

    Selon le premier livre biblique des Chroniques, chapitre 29, verset 4, le roi David aurait fait don de 3 000 talents d’or en provenance d’Ophir pour la construction du temple de Jérusalem.
    Pareille quantité d’or aurait aujourd’hui une valeur de plusieurs dizaines de millions d’euros.
    Les navires de commerce de Salomon rapportaient régulièrement d’Ophir de grandes quantités d’or.
    Il y avait alors tant d’or que l’argent était considéré comme de peu de valeur.

    Genèse 10 verset 28-29.
    Placé entre Sheba et Havilah, Ophir doit être en Arabie.

    Aujourd’hui, des géologues pensent avoir trouvé les “mines du roi Salomon” en Arabie saoudite.
    Dans une région montagneuse, entre La Mecque et Médine se trouve un territoire qu’on appelle le “Berceau d’or”. (Mahd adh Dhahab)
    C’est là que ces géologues ont découvert une mine d’or abandonnée.

    http://andora.pagesperso-orange.fr/Salomon.html

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  31. Selon Kamal Salibi la Genèse biblique n’est rien d’autre qu’un récit d’anciennes histoires d’Arabie occidentale.

    Si on cherche un versant ouest d’une montagne , la vallée sacrée de Tuwa et Tour Sinine ou Tour Sina c’est dans la région côtière dr Tihamah qui longe la mer rouge au pied des montagnes de l’Asir jusqu’au nord Yémen qu’il faut chercher.

    Puis quand il y arriva, on l’appela, du FLANC DROIT DE LA VALLÉE , dans la place bénie, à partir de l’arbre : «Ô Moïse! C’est Moi Allah, le Seigneur de l’univers».] (Saint Coran, S28:V30)

    { 44. Tu n’étais pas sur le VERSANT
    OUEST (du Sinaï), quand Nous avons décrété les commandements à Moïse; tu n’étais pas parmi les témoins. 

    45. Mais Nous avons fait naître des générations dont l’âge s’est prolongé. Et tu n’étais pas [non plus] résident parmi les gens de MADYAN leur récitant Nos versets; mais c’est Nous qui envoyons les Messagers. 

    46. Et tu n’étais pas au FLANT DU MONT TOR quand Nous avons appelé. Mais (tu es venu comme) une miséricorde de ton Seigneur, pour avertir un peuple à qui nul avertisseur avant toi n’est venu, afin qu’ils se souviennent. } (Saint Coran, S28 : V44-46)

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  32. Sourate 26 verset 63
    Alors Nous révélâmes à Moïse: «Frappe la mer de ton bâton». Elle se fendit alors, et chaque versant fut comme une énorme montagne.

    Le mot albahra a été traduit par mer en français mais il ya au moins deux pages de définition qui peuvent entrer dans l’origine du bah.
    (Océan de science, lac , le marin, naviguer, grand fleuve, petit océan etc).
    Tout rentre dans le mot bah(rahni).

    Quand on voit les nombreux oueds (les wadi) dans les zones situées dans la carte du précédent com ya de quoi faire pour interpréter ce verset.

    Nous faire croire que cette partie du monde (la Palestine )est la terre des prophètes est un leurre.

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  33. Pour démontrer que le hedjaz est bien la terre des prophètes qui sont cités dans coran la première difficulté que j’ai rencontré était de prouvé l’existence romaine dans la péninsule arabique.
    Surtout à l’époque du judaïsme antique lorsque les différents branches judaïque était sous domination romaine.
    Tous les récits officiels situent l’histoire en palestine.

    (Sa ne va dire pas qu’il n’y avait pas la présence de juif en Palestine mais je veux juste expliqué l’origine de leur présence dans cette zone géographique )

    En 24 avant J.-C. les légions romaines d’Aelius Gallus avaient envahi l’Arabie jusqu’au sud du Yémen en passant par Hijaz.

    Cela a déclenché une nouvelle vague de migration de l’Arabie occidentale en direction de la Palestine, comme cela se produit normalement dans de telles situations.
    A une occasion antérieure, des immigrants de Wadi Jalil s’étaient installés dans le nord de la Palestine, donnant le nom de leur patrie d’origine à une nouvelle Galilée dans cette localité.
    Après l’invasion romaine de l’Arabie, davantage d’immigrés du même Wadi Jalil – Parmi eux, les membres du local eux-mêmes, Nasirah doit être arrivé pour s’établir eux-mêmes en se nommant Nazareth où ils se sont installés.

    L’arabie méridionale fut marqué par de profonds changements au 1er siècle av JC.
    Plusieurs tribus autrefois affiliés au royaume de Qatabān firent sécession pour s’ériger en principauté indépendante, ou pour faire acte d’allégeance à la dynastie de dhû- Raydan et constituer le royaume de Himyar.

    Cette période se caractérise également par la première intrusion d’une expédition militaire étrangère dans les royaumes d’Arabie du Sud , l’expédition d’Aelius Gallus, préfet de la province romaine d’Égypte, que l’on peut dater de 26-25 av JC.

    https://archeorient.hypotheses.org/11641

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  34. Localisation da la cité d’Iram

    Encore le Yémen est plus précisément Hadramawt.
    Hadramaout= hadramite=hadrami
    Adram derivé de Ad- i iram
    Les descendants des Ad.

    Shaddād (arabe شدّاد), également connu sous le nom de Shaddād bin ‘Ad, était censé être le roi de la ville arabe perdue d’Iram des Piliers, dont un récit est mentionné dans la sourate 89 du Coran.
    Diverses sources suggèrent que Shaddad était le fils d’Ad / Aad (عاد), fils d’Uz, fils d’Iram, fils de Shem (سام), fils de Noé (نوح).

    Petite remarque biblique:
    Genése 10 verset 21
    21. Sem aussi, le frère aîné de Japhet, eut une descendance. Il fut l’ancêtre d’Héber et de ses descendants. 
    22 Les descendants de Sem furent Elam, Assour, Arpakchad, Loud et Aram. 
    23 Les descendants d’Aram sont : Outs, Houl, Guéter et Mach.
     24 Arpakchad eut pour fils Chélah, et Chélah eut pour fils Héber. 
    25 Héber eut deux fils : l’un s’appelait Péleg (Partage), parce que de son temps la terre fut partagée, et son frère s’appelait Yoqtân.
     26 Yoqtân eut pour fils Almodad, Chéléph, Hatsarmaveth, Yerah, 
    27 Hadoram, Ouzal, Diqla,

    Les racines généalogiques des figures de l’ancien testament (Noé ,Shem, Eber, Joktan, Almodad, Hadoram, Uzal, Shebam, Jerah et Japhet) se retrouvent presque à la lettre dans les traditions légendaires du Yémen (Nûh, Sām, Āber, Qahtān, Al modād, Hadramawt, Uzāl, Shibām, Yareeh, Yáfeth).
    Certaines villes antiques ont été nommés d’après ces figures historiques.

    Preuve en est pour conclure les Thamûd aussi sont au Yémen et pas à Petra.

    Pour les lecteurs qui en doutent allez sur ce lien et cliqué sur les coordonnées de la localité du Yémen.

    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Thamûd

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    1. Une question demeure:
      De manière générale, Ismaël est considéré comme l’ancêtre des Arabes ainsi que de la lignée menant au prophète Mohammed (sws).

      Mais Houd (as) qui précède Ismaël (as) était le Premier Prophète arabe
      Selon certains Allāh a envoyé un Prophète d’entre les arabes qui était au Yémen et s’appelait Hôud.
      Il fut le premier Prophète arabe, sa tribu se nommait `Ad.

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  35. Selon certains chercheurs la vérité qui a été cachée à la conscience du monde. Tous les messagers d’Allah, mentionnés dans le Coran, vivaient et prêchaient dans la même région géographique.
    La péninsule arabiqie الجزيرة العربية (shibh al-jazīra al-ʿarabīyah), de l’Arabie Heureuse à l’Arabie Rocheuse et Tout ce qui entoure le Rub’-al-Khali.

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  36. Le récit de Luc témoigne de la présence de Juifs originaires d’Arabie  venus célèbrés la Pentecôte.

    Actes chapitre 2 verset 11:
    « Tant Juifs que Prosélytes; Crétois, et Arabes, nous les entendons parler chacun en notre langue, des merveilles de Dieu. »

    https://emcitv.com/bible/actes-2-11-martin.html#11

    D’où viennent ces «  Arabes  », de quelle région (Arabia Félix?) de la péninsule viennent ils?

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  37. Toutes mes recherches ont amenées avec elles d’autres questions, comme celles de savoir quelles furent les causes de ce glissement d’espace, quand il eut lieu, et bien d’autres interrogations encore. Quelles seraient les motivations d’une telle falsification internationale? 

    Comment les auteurs ont-ils pu convaincre des générations entières d’accepter cette fausse géographie biblique? D’un autre côté, ce nouveau paradigme nous aide à résoudre de nombreux vieux mystères, comme celui de savoir pourquoi nous ne sommes pas encore parvenus aujourd’hui à identifier le Pharaon de Moïse comme un roi d’Égypte? 

    Pourquoi les nations occidentales sont-elles toujours ignorantes du fait qu’Abraham a résidé et vécu à la Mecque et ses alentours? Et comment tout cela est-­il lié à l’évolution du conflit israélo-arabe? 

    L’objectif de cette étude est de s’intéresser à deux questions essentielles dans le but de qualifier ou de disqualifier les théories récentes qui déplacent la géographie biblique. Les autres questions, énoncées plus haut, et beaucoup d’autres points, ont été largement abordés dans un livre écrit en arabe, publié et distribué par Al-Tajdeed Cultural and Social Society situé dans le Royaume de Bahrain. Les deux principaux sujets de cette étude sont les suivants: 

    1. Si la géographie biblique a été déplacée à un moment de l’Histoire, de sa terre d’origine de l’Asir vers la Palestine, comme s’accordent à le dire de nombreux historiens d’Orient et d’Occident aujourd’hui, pourquoi la littérature Arabe contemporaine ne traite-t-elle pas de ce vol de leur héritage? Pourquoi les Arabes sont-ils restés si muets face à un tel sabotage historique alors qu’ils sont précisément les natifs et habitants d’Arabie où l’Asir est située? 

    2. La théorie du déplacement ne peut être élaborée et développée sans en identifier les auteurs et sans que leurs mobiles soient clairement établis. Alors, qui sont ceux qui se sont embarqués dans cette “Mission impossible” et ont travaillé si dur à la re‐documentation d’événements historiques si significatifs dans l’objectif de les faire apparaître à d’autres endroits? Et quelles furent leurs motivations? 

    https://www.anews.com/fr/n/95277831-al-hijaz-terre-d-origine-d-abraham-et-des-prophetes-israelites/

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    1. Les disciples d’Issa (as) sont les premiers Nasara ou Nazoraéens.

      Kamal Salibi suppose que le nom de «Nasara» est dû au fait que le premier grand succès de prédication d’Issa (as) était probablement parmi les habitants du village arabe de Nasirah – Nazareth.

      Juste au dessus de Amran un peu à gauche. (Amran famille d’Imran)

      Le fait qu’un village appelé « Nazareth » aurait dû exister dans le Hijaz occidental est en soi une coïncidence remarquable, mais quand on se rend compte que cette province contenait également un « Bethsaida » (mot sémitique, qui signifie la « maison » ou le « temple » de syd) et une vallée appelée «Galilée» (Wadi Jalil),

      http://www.tageo.com/index-e-sa-v-14-d-9217474.htm

      un lien migratoire doit alors être
      suspecté entre l’Arabie occidentale et le nord de la Palestine…
      À ce sujet, il est intéressant de noter qu’en dehors des évangiles, il n’ya aucune preuve archéologique d’une ville appelée Nazareth existant en Palestine jusqu’à 300 après JC.

      J’aime

  38. Le peuple du Yémen est d’un point de vu éthymologique le pays de Benjamin.

    Jérémie chapitre 1 verset 1

    Paroles de Jérémie, fils de Hilkija, d’entre les sacrificateurs qui étaient à Anathoth, dans le pays de Benjamin.

    http://www.tageo.com/index-e-sa-v-17-d-440644.htm

    Antutah (forme arabisée de l’hébreu biblique Anatot, nom changé aujourd’hui en al-Mubarakah), dans l’arrière-pays fertile de la ville côtière saoudienne de Jizan, près de la frontière avec le Yémen.

    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Al-Mubarakah

    Une de fois plus le récit biblique se situe dans le sud ouest de l’Arabie, qui de nos jours est une zone de dispute avec le Yémen.

    Car c’est dans cette région que les combats font rage, puis s’estompent et reprennent de nouveau, depuis 2015, dans les provinces saoudiennes du sud – Jizan, Asir et Najran – près de la frontière avec le Yémen.

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  39. Selem à tous et merci d’avoir rendu public ce travail titanesque.

    À la suite de ma lecture et des commentaires, 2 questions essentielles se posent à moi.

    1) qu’en est il de seyedna Issa ? Un commentaire laisse penser qu’il serait également originaire du Yémen, mais sinon aucune source nous le prouve. À moins qu’il vienne vraiment du côté de la Palestine. Si vous avez des infos je prends 🙂

    2) la piste selon laquelle Moussa n’était pas en Égypte est édifiante.
    Que représentent donc les vestiges de l’ancienne cité égyptienne avec ses tombeaux, pyramides et autres temples ? Ils étaient bien destinés et construits pour des « pharaons » ?

    Barakallah oufikom

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    1. @ El Amal, ‘aleykum salam

      Ces monuments n’ont pas 4500 ans mais au moins 20.000 ans… C’est l’oeuvre d’une civilisation disparue, antérieure à l’Égypte antique.

      Les pyramides de Gizeh sont bien plus anciennes que le règne de Khéops ou de Ramsés et que celles-ci ont simplement été «rénovées» durant la période pharaonique.

      Pour prendre une image, je m’installe dans une vieille maison, je la décore à mes gouts, je grave mon nom et ma date de naissance sur la porte et dans 2000 ans, les archéologues affirmeront que c’est moi qui l’ai construite .

      L’omerta sur les découvertes n’est pas là pour rien. Ils auraient tout à perdre si l’humanité apprenait que ce sont des vestiges de civilisations antédiluviennes.

      Ce sont les jinns qui ont peuplés la Terre et avant l’apparition de l’homme, de plus nous retrouvons des pyramides aux 4 coins du globe et pas seulement en Egypte.

      https://www.mysteredumonde.com/articles/la-pyramide-de-Kheops-a-20000-ans-_7322.html

      Le temps nous montrera que l’affirmation selon laquelle les Grandes Pyramides d’Egypte sont des tombes de Pharaons ou les Pyramides Chinoise des tombes pour les Empereurs, était le plus grand canular de l’Histoire.

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  40. @ tono Tony merci pour votre réponse !

    Donc toutes les « trouvailles » relatives aux constructions sont une supercherie ? Les momies etc datent de bien plus longtemps qu’on veut nous le faire croire c’est bien ça ?

    Et concernant seyedna Issa a3liy selem, sont origine à pu être déterminée ?
    Merci infiniment

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    1. @ El Amal,

      L’âge des momies est correct, les pharaons demandaient tout simplement à se faire enterrer dans ces monuments.

      Sinon oui tout est supercherie dans l’archéologie et l’histoire officielle qui nous enseignent également que nos ancêtres sont des singes…

      Pour en avoir le coeur net, il suffit simplement de s’interesser au personnage de Zahi Awass, le gardiens des antiquités égyptiennes, un escroc, un corrompu et un menteur, il est à l’origine de la disparition de plusieurs artefacts et preuves archéologiques.

      Un sale bonhomme malfaisant.

      Pour le reste je t’invite à consulter les articles et commentaires suivants ;

      Le secret des pyramides ou l’origine de la franc-maçonnerie

      Sous les pyramides vestiges gênant d’une science avancée…

      Enfin et concernant la géolocalisation de ‘Issa (as) je ne peux te répondre car je ne dispose pas de tous les éléments, comme toi je continue de chercher et d’assembler les pièces du puzzle…Allahu ‘alem.

      La paix sur toi.

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  41. Je vous propose cette chaine et plus particulierement cette video qui explique de facon claire l’histoire du maghreb et des civilisations Arabo-Berberes notamment les Zirides (descendants des Sanhaja) qui sont des Arabo Berberes venant de la Peninsule et plus particulierement du Yemen.

    J’ai reussi a reconstituer une bonne partie du puzzle et beaucoup de Maghrébins Croyants seraient choques de voir ce que la France en particulier a fait pour masquer l’histoire et le lien de ces 3 pays en question.

    Les generaux et presidents Algeriens ont fait un excellent taf pour cacher cette histoire au peuple, surtout celle liee au Sud Algerien qui regorge de secrets et monuments sur le Prophete Soulayman As par exemple. Comme au Yemen, il est interdit de faire des recherches archeologiques la bas et Mauritanie.

    Il est très difficile de trouver des documents sur Internet, en revanche dans « l’islam, ame de lhumanite » Bilal Omowale parle des Maures (Murabitines) comme un peuple de Bedouins venus du Yemen. Il suffit juste de voir le lien entre la gastronomie, la couture Algerienne et celle du Yemen. Il y a pas mal de similitudes. Excepte le Couscous qui est nee en Algerie, la plupart de nos plats viennent de la bas et on etes developpes en Andalousie.

    Je prendrai un autre exemple pour les puristes de musique. Le Blues est une musique typique du Sahara et du Yemen, avec des Instruments et sonorites qui lui sont propres. Et qui a ete developpe par la suite en Algerie et en Andalousie, une musique qui est derriere le Rai, le Chaabi Algerois et plus recemnent le Rhythm and Blues appelle communement RnB. C’est une evidence pour moi.

    Si tu n’a pas de liens IPTV, je tinvite a t’en procurer et surtout Jeter un oeil aux chaines Saoudiennes et Yemenites.

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    1. As Salam mualeykum frère @Morah,

      Que pense tu de la relation entre le Maroc et le Sénégal ?, car parail il que c’est deux pays était en relation depuis l’epoque des almoravides et concernant la Mauritanie ont sait que c’est u’de pays qui fait partit de la frontière entre le Sénégal et le Maroc.

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    2. @ Morah Salam alaykoum

      J’ai regardé la vidéo que tu proposes.
      A part la tribu hilalienne originaire de l’hedjaz j’ai vu aucun lien pertinent entre l’Algerie et le Yémen.
      Avec tout le brassage ethnique du à l’immigration, le pèlerinage à la Mecque les échanges commerciaux de la route de l’encens, plus l’envie des Ommeyades d’islamisé l’Afrique il est tout à fait naturel de trouver des similitudes au Maghreb avec la péninsule arabique.
      Les recettes culinaires comme analogie me parait pas assez convaincant.
      Mais je vais me penché sur le livre Bilal Omowale qui à l’air intéressant.

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