De la flûte enchantée à l’Industrie de la musique satanique : Le rythme infernal d’un plan diaboliquement orchestré !

L’empreinte satanique qui a révolutionné la musique moderne débute dans les années 1930 avec le Rhythm and Blues,un style musical issu de la communauté Afro-Américaine affranchie de l’esclavage mais encore victime de barrières sociales. En ces descendants d’esclaves subsistaient toujours les croyances et pratiques Vaudou originaire des profondeurs de la jungle africaine. Lors de la traite négrière en 1619, les premiers captifs n’eurent comme bagages que leurs traditions, chants, musiques et leurs croyances qu’ils continuèrent de pratiquer en Amérique…Leurs pratiques mystiques alliaient la musique, le chant, la danse tribale et les sacrifices d’animaux car à chaque « esprit » invoqué correspondait une litanie précise, chantée sur un rythme donné et hypnotique menant à un état de transe provoquant d’inévitables crises de possession. La magie noire par, l’hypnose, la transe menant à la possession par des esprits malfaisants étant les signes distinctifs du culte Vaudou.

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Les esclaves étaient autorisés à participer le samedi soir et le dimanche à des réjouissances qu’on appelait calenda, des danses qui pouvaient être exécutées sous le regard des maîtres. Des recherches récentes montrent comment la danse et la musique ont rempli une fonction décisive dans la configuration symbolique du lien social chez les esclaves. Il y a le tambour, le rythme et le mouvement. La danse est à la base d’une reconquête-récupération du corps dont les maîtres cessent d’être les propriétaires, et ce processus se réalise grâce au tambour, instrument qui sert à appeler les dieux du vodou pour qu’ils viennent s’incarner dans les corps de leurs fidèles, qui deviennent alors des « montures » .Chaque rythme de tambour est censé correspondre à un dieu bien précis…

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Dans le Rhythm and Blues, on retrouve des chansons contenant des références de sorcellerie et de magie noire , selon une légende populaire, Robert Johnson, un noir du Mississippi et musicien de blues*, aurait conclu un pacte avec le diable à la croisée des chemins (crossroads ) pour obtenir sa virtuosité à la guitare, un de ses premiers succès, intitulé «Crossroads», relate ce pacte.

Robert Johnson et sa guitare magique

[*Le Blues est un genre musical, vocal et instrumental dérivé des chants de travail des populations afro-américaines apparu dans le sud des États-Unis à la fin du 19ème siècle, c’est un style où le chanteur exprime sa tristesse et ses déboires, ça nous le savions, mais ce que peu de gens savent c’est que le terme blues vient de l’abréviation de blue devils , « diables bleus » qui seraient la cause de leur dépression...]

Début des années 50, le chanteur Little Richard modifie le rythme du blues pour en faire le Rock and Roll. Les premiers rockers comme Bill Haley ou Elvis Presley sont entrés dans la légende, donnant au rock’n’roll une notoriété universelle.

Elvis «The King» transformé en symbole de toute une génération qui se révolte contre tous les tabous et les interdictions sexuelles d’une Amérique puritaine. Par ses paroles, sa musique et ses gestes provocateurs, il n’hésite pas à clamer les vertus de l’union libre, une nouvelle « Idole » est née.

L’ampleur prise par le rock and roll devait inévitablement s’attirer les foudres de tous les censeurs de l’époque car cet engouement rapide et massif de la jeunesse pour cette musique nouvelle ne pouvait qu’être suspect et déclencher peur et incompréhension de la société pour ces nouveaux fanatiques*.

[*Le mot « fan » trouve son origine dans le mot latin : « fanaticus » : fanatique… 
Un fanatique n’est plus capable de raisonner par lui même. On raisonne pour lui et il l’accepte inconditionnellement, sans réfléchir aux conséquences pour lui ou pour les autres. Souvent, il a subi un « lavage de cerveau ».]

 A la fin des années 60, on constate l’apparition de messages subliminaux, l’utilisation de bandes passées à l’envers, dont l’initiateur fut le sorcier Aleister Crowley, fondateur du satanisme moderne, dans son livre « Magick ». les premiers à utiliser cette technique de magie noire furent les Beatles dans «The Devil’s White Album» (L’album blanc du diable) sorti en 1968, 4 jeunes garçons diaboliquement inspiré ..

 » Je sais que les Beatles connaîtront le succès comme aucun groupe ne l’a encore connu. Je le sais très bien, car pour ce succès, j’ai vendu mon âme au diable. «  John Lennon à R. Coleman (en 1962)

 » Le christianisme est appelé à disparaître, il va diminuer jusqu’à s’évanouir. Je ne tiens pas à en discuter. J’ai raison et l’avenir le prouvera. Nous sommes plus populaires que Jésus-Christ à présent. J’ignore qui des deux disparaîtra le premier, le Rock’N’Roll ou le Christianisme « . John Lennon (San Francisco Chronicle, 13 Avril 1966, p.26)

« Ils sont complètement antichrists. Je veux dire que moi aussi je suis antichrist mais eux le sont tellement qu’ils me choquent «  Derek Tylor (agent de presse des Beatles) ; Saturday Evening Post, 08/08/1964

John Lennon a été assassiné au pied de son immeuble à New York, le  » Dakota House « , au coin de la 72e rue, à l’Ouest de Central Park. Son appartement était celui qui avait autrefois appartenu à Anton La Vey, fondateur de l’église de satan aux États-Unis, dans le même appartement fut tourné de film de Roman Polanski « Rosemary Baby« . Fricoter avec le diable a souvent des conséquences mortelles.

Après les Beatles, vinrent les Rolling Stones qui dominèrent complètement les années 70. Très violents dès l’origine, délibérément pervers sur scène comme dans leur vie privée, les Rolling Stones sous le leadership de Mick Jagger… [Mick Jagger se livra à Satan sous l’influence de deux sorcières qui l’initièrent, Marianne Faithfull et Anita Pallenberg] …manifestèrent clairement leur orientation satanique avec des chansons comme « Sympathy for the devil »devenu l’hymne révolutionnaire de la religion satanique ou « Dancer with mister D », D comme diable, leurs concerts se firent remarquer par leur violence, tel celui meurtrier en 1969 (triple six) assimilé à un sacrifice humain au festival d’Altamon …

Récit : — «Altamont: la fabrication d’un film : Le dernier « festival » rock principal des années 60 a été tenu au racetrack d’Altamont, à l’extérieur de San Francisco. Les musiciens présents étaient les Rolling Stones, qui ont régné suprêmement dans le monde du rock, depuis que les Beatles s’étaient séparés. La proposition du concert venait de l’agent du MK-Ultra, Ken Kesey. Cette fois-ci, l’assistance a été soumis à une frénésie, d’éloge ouverte au diable. Le résultat a été pour de vrai une orgie satanique. À sa conclusion, quatre personnes étaient mortes et des douzaines battues et blessées. Mick Jagger, le chanteur des Rolling Stones, a joué le rôle de Lucifer. La prestation a marqué le commencement des concerts « heavy metal » d’aujourd’hui…

…Quand le festival a ouvert, la foule de presque un demi-million de personnes a attendu plus d’une heure et demi pour que les Stones apparaissent. C’est seulement lorsque la nuit est tombée, permettant l’usage des effets de lumière spéciaux, que le groupe est finalement venu sur la scène. Mick Jagger, le chanteur principal, était habillé d’une cape de satin, qui brillait en rouge sous l’effet des lumières. Jagger imitait Lucifer.

L’auteur Sanchez décrit ensuite ce qu’il appelle un « rituel satanique planifié. » Comme le groupe commençait à jouer, « étrangement plusieurs des jeunes enlevaient leurs vêtements et rampaient sur la scène comme si c’était un autel, pour s’offrir là comme victimes pour les Anges. Plus ils étaient battus et ensanglantés, plus ils étaient poussés, comme si par une certaine force supernaturelle, à s’offrir en tant que sacrifices humains à ces agents de Satan.«  (Tony Sanchez, Up and Down With the Rolling Stones, p.199)

Se tenant dans la foule devant la scène, avec sa petite amie, était un homme noir du nom de Meredith Hunter. Hunter serait bientôt choisi pour le sacrifice humain.

Les Stones avaient justement lancé une nouvelle chanson intitulée, « Sympathy for the Devil.« (Sympathie pour le diable) Elle était rapidement devenu numéro un dans le pays. La chanson commence par Mick Jagger qui se présente comme Lucifer. Dès qu’il a commencé à la chanter à Altamont, l’assistance au complet s’est levée debout et a commencé à danser dans une frénésie sauvage.

Sanchez décrit ce qui s’est produit ensuite, « Un grand grizzly de 6 pieds quatre d’un Hell’s Angels s’approcha de Meredith (Hunter) pour lui tirer les cheveux durement dans un effort pour provoquer un combat… Un combat a éclaté, cinq Angels de plus sont venus à l’aide de leur copain, alors que Meredith essayait de se sauver dans la foule compacte. Un Angels l’a attrapé par le bras et a donné un coup de couteau dans le dos de l’homme noir. Le couteau n’a pas pénétré profondément, mais Meredith savait alors qu’il combattait pour sa vie. Il a sorti un pistolet de sa poche et l’a dirigé directement au torse du Hell’s Angels… Ensuite, les autres Hell’s Angels étaient sur lui comme une gang de loups. Un a enlevé le pistolet de sa main, un autre l’a poignardé au visage et encore un autre l’a poignardé à plusieurs reprises, insensément, dans le dos jusqu’à ce que ses genoux tombent. »

« Quand les Hell’s Angels en eurent fini avec Hunter, plusieurs personnes ont essayé de venir à son aide, mais un ange a tenu la garde au-dessus du corps immobile. `Ne le touchez pas’ , a-t-il dit de façon menaçante. ` Il va mourir de toute façon, alors laissez le juste mourrir.' »(Tony Sanchez, Up and Down With the Rolling Stones, pp 201,202)

Il n’a jamais été prouvé que Meredith avait un pistolet. Plus tard, des arrestations ont été faites. Personne n’a été accusé parce que personne ne voulait être témoin par crainte de revanche des Hell’s Angels.

Durant le massacre sanglant, les Rolling Stones ont continué à jouer « Sympathy for the Devil. » Le groupe observait à partir de la scène, Meredith Hunter se faire tuer juste devant eux. De plus, incroyablement, le meurtre en entier a été professionnellement filmé par une équipe de tournage engagée pour filmer le concert. Peu de temps après, le film a été lancé dans tout le pays avec le titre d’une chanson des Rolling Stones, « Gimme Shelter. » »  source

Plus récemment, à Sao Paulo au Brésil, les Rolling Stones invoquent et adorent satan en plein concert (vidéo) … Lire

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La musique Rock, au fil du temps, s’est divisée en différentes tendances :

[La face occulte du rock : (extrait)]

L’histoire du rock est associée au « mourir jeune », elle est semée de morts, de drogues, barbituriques, alcool, suicides, coups de feu, viols, homosexualité, ivresse, satanisme et culte au diable.

–Le Rock original est devenu « le Soft Rock » ou doux quand est apparu le rock dur ou lourd. Celui-ci était représenté par Elvis Presley…

–Le ”Hard” ou “Heavy Rock” (dur ou lourd) est représenté particulièrement par Alice Cooper (Vincent Fournier). C’est celui qui fait des recherches sur l’aspect caractéristique du rock dans toutes ses possibilités, le « beat » (rythme), ou alors le son des instruments de percussion, plus tard complété par la basse électrique. Il s’inspire de la percussion excitante des rites vaudou et de la magie noire des groupes afro-américains, rythmes et rites étroitement liés à la sexualité.

–”Acid Rock” qui fait des recherches sur les possibilités hallucinogènes et fait des incursions dans tout ce qui se réfère à la drogue. The Beatles (qui prennent leur nom de « beat »), relatent, dans leur chanson « The yellow submarine », une hallucination psychédélique. The Rolling Stones et The Who avec leurs chansons: « Sister morphine » (sœur morphine), « Cousine cocaïne » (cousine cocaïne) et « Stoned » (drogué).

–Le rock Satanique a commencé sous une forme subliminale qui est devenue chaque fois plus ouverte. Ils sont généralement pratiquants de sectes diaboliques, portent des pentagrammes inversés, des noms de démons… Représenté entre autres par les groupes :

KISS (Kings In Satan’s Service – (Rois au service de Satan). Le groupe AC/DC (australien), son nom peut être interprété comme “Courant Alternatif/Courant Continu” (Alternating Current/Direct Current), mais il peut aussi être lu comme : “Anti-Christ/Death to Christ” (Antéchrist/Mort au Christ). Un de ses membres, questionné sur ce qu’était sa véritable signification, a dit que cela restait ouvert à la libre interprétation. Et aussi Black Sabbath, Ozzy Osbourne, Led Zeppelin.

“Sexe, drogue et Rock and Roll” devient la devise de beaucoup de groupes rockers et de toute une génération. À vouloir rompre avec ce qui est établi, ils deviennent une génération maudite, incarnée spécialement par tous les groupes de rock dur, heavy métal, mouvements punk,… Au sujet de ces musiques plus dures, le musicologue Francisco Garlock dit : “On connaît une personne par le type de compagnie qu’elle a, selon d’anciens dictons. Il serait impossible de faire une liste complète, en plus ici, certains des compagnons de rock sont : toxicomanes, adorateurs de Satan, homosexuels et autres déviations sexuelles, rebelles sans cause, criminels, blasphémateurs, immoraux, dissolus, indisciplinés civils et militaires, acteurs dans des spectacles musicaux pornographiques, etc…la liste pourrait continuer de manière presque interminable. »

À propos du Rock et des Rockers :

Les Beatles : il est connu que la chanson: “The Yellow Submarin” a été le résultat d’une hallucination sous l’effet de la marijuana. Sur la pochette du Sgt. Peppers (1967), le grand disque des Beatles, il y a une surprise : « dans le coin supérieur droit apparaît la photo d’Aleister Crowley, sataniste « le personnage le plus immonde et le plus pervers de Grande-Bretagne », comme l’a dit la presse britannique après sa mort en 1947. »

John Lennon et Lucie : La chanson “Bring on the Lucie” de l’album Mind Games, dans lequel il joue avec le nom de Lucifer et où il y a des références au numéro de la bête, le 666, et il donna des raisons à continuer de spéculer.

Led Zeppelin : en effet, s’il y a eu un groupe avec une légende noire, ce fut Led Zeppelin. En reproduisant à l’envers la chanson « Stairway To Heaven« , de Led Zeppelin, IV (1971), on peut entendre : “Il vit pour vivre Satan  » et « mon doux Satan, aucun autre n’a fait le chemin ”. Le guitariste Jimmy Page a été un collectionneur de babioles sataniques, et il est arrivé à s’acheter en Écosse, une demeure ensorcelée qui a appartenu au sataniste Aleister Crowley.

Si Ozzy Osbourne était né deux siècles avant, les inquisiteurs se seraient battus pour le torturer, le brûler et l’envoyer en enfer sans aucun ménagement. Expert dégustateur de sang, Ozzy aimait jouer avec des croix à l’envers et égorger des colombes et des chauves-souris avec les dents sur scène. Son premier disque en solitaire, après avoir laissé Black Sabbath, « Blizzard of Oz » (1980), incluait une chanson dédiée à Aleister Crowley, tandis que le second, « Diary of a madman » (1981), son nom vient d’une œuvre sataniste. Ozzy a visité les tribunaux américains à différentes occasions, accusé d’avoir poussé au suicide différents jeunes avec des chansons aussi éducatives que « Suicide Solution ». Autres excentricités : lancer des intestins de porc au public ou arracher la tête des souris avec la bouche.

L’héritage de Black Sabbath : eux sont coupables du penchant des groupes de métal pour l’imagerie satanique. Dans les protestations du mouvement hippie, Black Sabbath a inauguré l’âge noir du rock and roll, en peuplant ses chansons et spectacles de clins d’œil à Lucifer. La semence maudite de la bande d’Ozzy Osbourne a pris au cœur toute une génération de musiciens.

La sorcière réincarnée : Alice Cooper (alias Vincent Fournier) s’est toujours distinguée par son bon goût : non seulement il a été le premier rocker à dédier des chansons à la menstruation et à la sexualité avec les morts, il a aussi reçu ce qu’il méritait sur scène avec des injures et des quolibets qui incluaient la chaise électrique et la guillotine. Fournier a emprunté le nom d’Alice Cooper à une sorcière du XVIIème siècle, convaincu d’être une réincarnation de celle-ci après une séance de spiritisme.

AC/DC : Le diable électrocuté : Il paraît clair qu’Angus Young est possédé par le diable, à en juger par ses convulsions dans les concerts d’AC/DC. Young s’est fait dessiner des cornes et une queue en 1979 pour la pochette de “Highway to hell” (Autoroute vers l’Enfer) archétype du disque de heavy métal avec des motifs diaboliques. Nous incluons une strophe de sa chanson “Hell`s Bells” (cloches de l’enfer) : « J’ai mes cloches et je t’emmènerai en enfer, je te posséderai, Satan te possédera, les cloches de l’enfer, oui, les cloches de l’enfer. »

Les Rolling stones : Leur discographie est une véritable mine pour les amateurs de Belzébuth. Les Rolling Stones ont été surnommés “Sus Satánicas Magestades” après avoir publié en 1967 “Their satanic majestic request”, leur réplique au Sgt. Peppers des Beatles. On a alors commencé à répandre des rumeurs sur la supposée appartenance de Mick Jagger, Keith Richards et Brian Jones aux sectes sataniques.

La cerise sur le gâteau est arrivée avec « Sympathie pour le diable », de l’album « Beggars banquet » (1968), sur les pochettes « de Goat’s head soup » (1973), ils mettent sur scène un ragoût de tête de chèvre ; dans « Tatoo you » (1981) un pied poilu. Pendant le concert « Rock in Rio » ils ont lâché, sur la scène, des douzaines de poussins pour les écraser pendant qu’ils chantaient.

Tous les groupes ont le même type de musique comme dénominateur commun. Il existe une musique concrète spécialisée pour déséquilibrer le mental et les émotions. À travers cette musique, l’individu va entrer, peu à peu et sans s’en rendre compte, dans des états psychologiques plus confus et déséquilibrés.

Dans ce type de musique nous devons différencier celle qui est réalisée en connaissance de cause, visant à réduire l’homme en esclavage, et mettre dans des états de confusion psychologique ; utilisée très subtilement, cette musique arrive avec des messages négatifs gravés à l’intérieur, dans quelques cas, de type satanique, comme nous allons l’observer ensuite.

—Paul Crouschqui travaille dans une station de radio anglaise, est connu comme « chercheur du diable » pour son penchant à chercher des messages sataniques subliminaux. Un jour il lui est arrivé d’écouter divers thèmes de groupes de Rock, mais en plaçant la bande à l’envers. Grande fut sa surprise en trouvant des messages impressionnants dont nous transcrivons les exemples suivants :

Dans la chanson « Révolution N 9 » des Beatles, composée par John Lennon, on entend : «Sortez-moi d’ici. Lève-moi, homme mort ».

Mais au cas où cela paraîtrait être un hasard ou puisse être considéré comme ambigu, dans le disque de « Stairway to heaven » (Escalier vers le ciel) de Led Zeppelin, en l’écoutant à l’envers il dit ceci : « Je veux aller au royaume, je veux aller en enfer; à l’ouest de la terre plate. Je chante parce que je vibre avec Satan. Tout pouvoir vient de mon Satan. Il nous donnera les trois fois 6 (le numéro de la bête). Vous devez vivre pour Satan »..

Pink Floyd

Dans d’autres groupes nous trouvons des phrases comme celles-ci : « Montre-toi Satan, manifeste-toi dans nos voix. Satan, Satan, Satan, il est le Dieu, il est le Dieu, Dieu, Dieu ». (Ensuite un éclat de rire énorme)..

Toute personne qui veut vérifier ce que nous venons de montrer, peut réaliser l’expérience en plaçant la bande à l’envers, et en sachant correctement l’anglais, elle trouvera ces messages.

Comme nous le voyons, même si nous nous présumons hommes libres et croyons que nous pouvons faire ce dont nous avons envie, nous sommes continuellement manipulés et ayez la certitude que nous obéissons presque toujours au message parce qu’il est très fort et qu’il est trop bien fait.—

Les techniques subliminales : backmasking ou camouflage par inversion ou recul, consiste en l’enregistrement d’un canal de son en sens inverse du sens normal de la bande ou du disque ; le cerveau a des mécanismes mentaux d’assimilation de ces messages, mais étant inintelligible le message masqué passe la barrière de l’hémisphère gauche (rationnel), qui est la douane des idées, et va au côté droit plus émotif, instinctif et inconscient. C’est une forme de programmation ou lavage de cerveau. Elles constituent une violation de la conscience, de la liberté de choix !! (article complet ici )

L’avis d’un Docteur en sociologie :

« Black Sabbath, en 1970, considéré comme le premier groupe de metal, se distingua des groupes rock comme les Rolling Stones ou les Beatles qui flirtaient avec des thématiques diaboliques provocatrices, en transformant celles-ci en un imaginaire véritablement satanique. Le metal est depuis lors associé massivement à une imagerie sombre, occulte. Or, si cette musique est une radicalisation du rock, le black metal, l’une de ses dernières ramifications apparues, est à son tour une radicalisation du metal. 

Ce mouvement ascensionnel s’explique par le fait que se crée, dès le blues des années 1930, une échelle pyramidale de subversion. Chaque groupe phare de chacun des styles qui se sont succédé était voué à pousser le transgressif plus loin que son aîné. La logique qui parcourt tout le XXe s. est la suivante : blues, rock n’roll, hard rock, heavy metal, metal extrême. Le metal extrême est un terme générique dans lequel figure le black metal (au côté du death metal à l’imaginaire morbide et gore, du trash metal et du grindcore).

Le black metal est la dernière strate dans cette échelle pyramidale de subversion. Depuis Black Sabbath, les artistes ont voulu être plus extrêmes à la fois musicalement, en évoquant une certaine violence sonore, et conceptuellement, par un imaginaire satanique de plus en plus affirmé. Alors que les groupes pionniers Black Sabbath et Led Zeppelin furent taxés, dans les années 1970, de satanisme et inquiétèrent grandement les autorités locales, le black metal, qui naquit en Scandinavie au milieu des années 1980, incorpora des musiciens qui se déclaraient ouvertement satanistes et antichrétiens.Pourtant, les musiciens de Black Sabbath n’étaient absolument pas satanistes; ils portèrent même des croix chrétiennes bien visibles pour en persuader le public. Ils offraient un spectacle occulte, un équivalent des films d’horreur.

À l’inverse, vingt ans après que de nombreux artistes comme AC/DC, Iron Maiden, Metallica, Slayer, Venom eurent gravi un à un les barreaux de l’échelle pyramidale – poussant chacun la transgression plus loin que son prédécesseur -, le black metal prôna, au début des années 1990, le chaos, la déconstruction, l’Evil (le Mal) et le satanisme comme mode de vie. Apothéose subversive, la Norvège fut le théâtre d’une vague d’exactions et de crimes sans précédent dans l’histoire de la musique, perpétrés par un mouvement à consonance sectaire : le Black lnner Circle.

Ce cercle très fermé de musiciens, composé, entre autres, de Fenriz, Varg Vikernes, Euronymous, Samoth, respectivement leaders des formations Darkthrone, Burzum, Mayhem, Emperor, voulait réellement bouter le christianisme hors de Norvège pour instaurer les anciens cultes vikings. Ses manifestations les plus visibles : les églises en bois dites Starvkirker furent incendiées, vingt-deux d’entre elles furent dévorées par les flammes. Le leader du groupe Mayhem, Euronymous, fut assassiné d’une vingtaine de coups de couteau par Varg Vikernes dans un conflit de succession. Faust, batteur d’Emperor, assassina un homosexuel. Le vocaliste de Mayhem, Dead, se suicida. » Nicolas Walzer, chercheur en doctorat de sociologie sur les musiques sombres, université de Paris V.

Le sexe, la violence, l’incitation au meurtre, à l’anarchisme, au suicide, à la consommation de drogues et d’alcool, la provocation à outrance et les différentes formes de satanisme sont des arguments de vente puissants, ces thèmes sont les fonds de commerce des maisons de production, au plus « on » choque, au mieux cela se vend. Rien n’est trop grave sous la couverture de la fameuse « liberté d’expression », les esprits s’y habituent progressivement jusqu’à ce que cela devienne généralement normal et approuvé par un matraquage répétitif.

Les cerveaux sont donc lavés, anesthésiés pour enfin arriver à leur faire accepter ces débauches, ainsi, par ces musiques ensorcelantes, d’une génération à l’autre les esprits manipulés adhèrent à ce qui était inacceptable pour la génération précédente et ainsi de suite, un véritable viol de la conscience qui va de mal en pis ….

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La Mondialisation de la musique satanique par le Hip Hop et le RAP :

le Rock ne convenant pas à tous les peuples et aux différentes cultures de ce monde, l’Empire décide donc de créer le Hip Hop avec un même objectif subversif , leur unification sous le règne musical satanique pour les entraîner à la perversion, ce qui fut au départ un mouvement consistant à évoluer sur le plan social d’une manière pacifique et positive devient un culte à l’ immoralité, au sexe, alcool, drogue, la violence , de la luxure et du vice pour en arriver à l’ auto-déification des interprètes tel le satanique Kanye West ..Lire

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Le rap remonte à la fin des années 1960 avec l’apparition des Last Poets, un collectif de jeunes noirs militants ayant mis leur rage en rimes et en percussions afin de transmettre leurs messages révolutionnaires,à fédérer et œuvrer contre le racisme et les inégalités sociales, le rap devient alors un moyen pour le rappeur au micro de prêcher sa parole en face d’inconnus et de tenter de les convaincre, quel que soit le message. Les idées sont dès lors courtes, ce sont des flashs sonores et des significations qui fusent, des chocs répétés de mots courts ou longs à la phonétique proche destinés à frapper l’auditeur.

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En 1979, « Rapper’s Delight » (le bonheur du rappeur) de Sugarhill Gang devient le premier tube rap dans le monde et notamment en France où le mouvement hip hop touche la jeunesse des cités car c’est la jeunesse qui est la principale cible, je vous laisse lire les paroles de cet appel à la débauche ici, la messe noire est dite …

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La « Zulu Nation» se forme et arrive jusqu’en France.

Le hip hop est une religion dans laquelle : les rappeurs sont les prédicateurs, la musique c’est le sermon (message), aller au concert c’est comme aller à l’église... Kanye West

Par Rusty James : LE FONDATEUR DU Hip Hop A EU LE CULOT DE FAIRE FAIRE CE SIGNE A DES MILLIONS DE JEUNES EN LEUR FAISANT CROIRE QUE Cétait le signe de reconnaissance au sein de la nation ZULU comme gourou de secte il a le profil.

                  

Une autre ruse et le fameux survêtement remonté au mollet code vestimentaire des jeunes qui écoutent le rap , il a été implanté par le code franc maçon pour bien montrer leur capacité à contrôler les masses regardez !

Pochette de disque avec le papillon du projet monarch, programmation de masse en préparation !

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Logo du site de la Zulu Nation, No comment

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Le Hip Hop n’est rien d’autre qu’une véritable organisation religieuse. Kevin Donovan, plus connu sous son nom d’artiste Afrika Bambaataa, participa activement au développement de la culture et de la musique Hip Hop.Le Hic c’est qu’i fonda le Hip Hop sur la base des enseignements Zulu, et ceux de L’Égypte antique. Par la suite, il créa aussi la « Zulu Nation » pour faire connaître le Hip Hop à travers le monde entier. Le site internet de la Zulu Nation en dit long sur la nature du Hip Hop.

Le Hip Hop est une religion : Documentaire dans lequel vous découvrirez beaucoup d’informations choquantes.

Source

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Le Rap Français à la sauce Skyrock 

« Cette radio, qui n’a pour fond de commerce que la débauche, le consumérisme et la violence, essaye une fois encore d’influencer une jeunesse écervelée et livrée à elle-même par le biais de thématiques diffusées sur sa page Facebook, suivie par 2 millions de fans, en grande majorité des ados. Sachant que ceux-ci sont estimés à 2,35 millions en France, 85% de notre jeunesse subiraient ces ignobles programmes. Thèmes qui laissent transparaitre le coté pervers et pédophile de ces émissions. Ainsi, ces corrupteurs de la jeunesse (…) n’entendent pas arrêter leur propagande destructrice et perverse. Comme lors du lancement du Youporn Quizz l’an dernier, qui avait pour but de faire deviner la nationalité d’un film porno en écoutant un extrait à l’antenne. » Source

L’Effroyable imposture du rap par Mathias Cardet 

Pour certains, le rap était juste le moyen de légitimer sa consommation de weed ou le port du survêt dans la chaussette. Pour d’autres, le genre représente toujours une échappatoire dans un monde de plus en plus désenchanté. Mais un bouquin intitulé L’Effroyable imposture du rap compte bien rendre au hip-hop ce qu’il a toujours prétendu donner. Pardon, vendre.

Rencontre avec l’auteur, Mathias Cardet.

Le 4 février dernier,[article paru le 22 mars 2013], soit le jour de la sortie de son album, le rappeur français La Fouine se faisait mitrailler au Long Rifle 22, en pleine nuit, dans une bourgade tranquille du Val-de-Marne. Si le MC-barbichette s’en est sorti indemne, les enquêteurs n’ont pas tardé à rapprocher Booba, autre rappeur testarossa, de la liste des suspects tant les deux beat-boys crachent leur haine réciproque depuis des mois via chaines YouTube interposées.

HIP-achoppé

Bienvenue en France, premier pays du rap-game en Europe, où à en juger par le nombre de vues (avoisinant le million), « même les mémés aiment la castagne ». Depuis quelques mois, les principaux dépositaires du clash en rime se livrent à une bataille rangée qui a donc pour triste fin les balles et l’abrutissement des auditeurs. Ce qui est marrant, c’est que La Fouine et Booba habitent le même immeuble, à Miami. Ce qui l’est moins, c’est que le pays s’en est ému et que les esprits réac’ n’attendaient que ça pour recycler leur croisade anti-racaille. Cela dit, un homme n’a pas attendu l’issue pathétique d’un clash pour saborder le rap français. Pour l’auteur de L’Effroyable imposture du rap, Mathias Cardet (pseudonyme), la tentative d’assassinat sur La Fouine est d’ailleurs un gros fake.

« LE RAP VIENT D’EN-HAUT »

Dans la moiteur d’un café parisien du 10ème arrondissement, Mathias Cardet sirote un café allongé en arrêtant souvent sa tasse au bord des lèvres pour mieux la reposer. Et reprendre : « le clash entre Booba et la Fouine, c’est uniquement du marketing. » Qu’importe son avis, des millions de jeunes peuvent aisément dégoiser sur la battle qui fait vivre (exister ?) les deux MC. Mais ce Français d’origine sénégalaise de 35 ans estime avoir « la légitimité du pointé». Mathias a écouté du rap. Beaucoup. Du coup, il en a tiré un livre de 190 pages, publié le 21 février dernier, qui mêle histoire, sociologie et mauvaise humeur.

Mathias est un « baisé du rap ». « C’est un peu comme l’analogie du crapaud que tu chauffes dans une casserole. Le mal a été progressif », dit-il devant son café froid. « Le premier truc qui m’a fait chier c’était les mecs qui se la jouaient gangsters, cope-killers, mais qu’on retrouvait juste après dans Les Experts », poursuit-il. Nous sommes à la toute fin des années 90, et Mathias encore jeune fan de hip-hop rumine ses impressions. Très vite, en militant politiquement au sein de la gauche et en parcourant toute une littérature communiste, il se rend compte que le hip-hop et tout ce qu’il entend véhiculer est une vaste fumisterie.

Run DMC, NTM et Jean-Paul Gauthier

« UN BON RAPPEUR EST UN RAPPEUR QUI ARRÊTE»

C’est l’une des raisons pour lesquelles L’Effroyable imposture du rap s’applique à dresser une histoire du rap (qui débute dans les années 60 aux États-Unis), bien évidemment loin de celle que les amoureux du genre se seraient laissés conter. « L’ultime imposture du rap réside dans un slogan publicitaire que les premiers rappeurs portaient en bandoulière et qui se voulait émancipateur : ‘le rap est fait par le peuple pour le peuple’. C’est une escroquerie et aujourd’hui je peux dire grosso modo que le rap vient d’en haut. » Ne vous attendez pas à lire un glossaire du rap indé, l’auteur a toujours voulu colliger ses 5 années de recherches dans un livre politique.

Publié par la maison d’édition du sulfureux essayiste français Alain Soral, le bouquin tombe dans un paradigme anticapitaliste manifeste au sein duquel l’outil rap, ses chaines en or et ses belles bagnoles, se fait automatiquement dézinguer. « Je suis contre l’ultra-libéralisme et l’idéologie rap le soutient », précise Cardet. « En démasquant l’imposture du rap, je voulais dire aux gens arrêtez de voir l’argent comme une fin en soi. J’ai grandi en banlieue et je sais qu’on n’a pas de thunes pour avoir ce que les mecs prônent ! »

En balançant pêle-mêle que Run DMC était la vitrine d’Adidas ou que les premiers clips de NTM étaient sponsorisés par Jean-Paul Gauthier, l’auteur entend démontrer qu’à aucun moment le rap n’a permis l’émancipation sociale (voire culturelle) des quartiers populaires français et américains. Récupéré dès le début par « une certaine gauche branchouille avant-gardiste », le hip-hop aurait même tué dans l’œuf toutes formes de revendications contre les ségrégations raciales entamées aux États-Unis par le mouvement des droits civiques.

Par l’entregent de « parrains » plus motivés par le beurre que par les beats, le rappeur aux dents en or n’aurait servi qu’à vendre t-shirts et rimes en carton pour mieux détourner la jeunesse de « la lutte ». Aux States, ils s’appellent Lyor Cohen(ancien directeur du groupe Warner Music) ou Steve Rifkind (fondateur de Loud Records) et symbolisent pour Cardet, « les vrais théoriciens du rap. Ceux qui ont compris que c’était un moyen d’accéder aux vraies affaires ».

Aujourd’hui, conclut Cardet, « un bon rappeur est un rappeur qui arrête. Mais comme ce n’est pas possible, il faut voir le rap comme un simple divertissement ». Catatonique pour les puristes et certes clivé politiquement, il n’en demeure pas moins que L’Effroyable imposture du rap ébranle drôlement bien la sincérité d’une partie – minoritaire mais extrêmement visible (Booba, Jay-Z, Kanye West…) – de nos amis à casquette qui n’avait, de toute façon, jamais été vraiment questionnée. Source

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Kaaris disséqué par le frère Mysa

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Les Soldats du Dajjal – Booba, Lacrim, Kaaris, La Fouine, PNL 

Extrait de la description  de la vidéo malheureusement supprimée de youtube : « Tous leurs blasphèmes prouvent que ces rappeurs sont tous orienté vers le domaine de l’occulte. Ils ne sont que des marionnettes soumises à leurs maitres francs-maçons. Leurs missions, c’est de te convertir a l’idéologie du fric, du sexe et de la dépravation. Ils veulent que tu ne penses qu’a ça et ils essayent de te dévier de Dieu ton créateur.

Ils suivent le diable et l’antéchrist (dajjal) qui est borgne. Voila pourquoi ils se cachent souvent un oeil, font un 666 de la main ou ils blasphèment en toute impunité. Ils veulent te convertir à leur idéologie de pervers matérialiste où ils se permettent tout et n’importe quoi. Ils ne font que transmettre l’idéologie de leurs maitres francs-maçons à tous leurs auditeurs.

Ils te prépare inconsciemment a la venue de l’antéchrist. Et, en vérité ils ont vendu leurs âmes au diable pour obtenir le succès dans cette vie et pour jouir de tous les plaisirs terrestres. Ils ont clairement choisi leurs camps. Arrêtes de te faire manipuler par ces hypocrites pervers et matérialistes. Dans cette vidéo tu trouveras les blasphèmes de Booba, Lacrim, Kaaris, La Fouine, Gradur, Benash, Sultan, PNL, Medine, Canardo, Black M, Orelsan, Doc Gyneco, Fababy, SCH, Orelsan et Maitre Gims. »

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« Do what you want », le Nouvel Ordre Musical pour une société en perdition

Vous avez vu combien cette simple petite phrase d’Aleister Crowley mais ô combien destructrice a fait  son chemin  dans le seul but de pervertir l’être humain et l’éloigner du chemin de Dieu afin d’introduire le culte de Satan !

Les Rolling Stones, les Beatles, David Bowie, Led Zeppelin, Ozzy Osbourne, Jay-z, Kanye West, Eminem, Lil Wayne mais aussi beaucoup d’autres de ses fidèles adeptes comme Beyoncé, Lady Gaga, Nicki Minaj, Rihanna, Katty Perry , Kesha , Miley Cyrus , toutes possédées et prostituées de satan , Madonna devenue elle ouvertement prêtresse de la Kabbale, pour ne citer qu’eux, ont prôné et prônent toujours le premier commandement de sa doctrine satanique « Il n’y a d’autre loi que fais ce que tu veux » dans leurs paroles envoûtantes tel un Mind Control, le diabolique « Do what you want »…

Et nous en sommes arrivés là, après toute ces générations, une société en perdition car une grande majorité de la population mondiale écoute ce genre de  musique, mais une faible minorité comprend réellement le sens de ces paroles mêlées d’incantations de magie noire et de leurs effets néfastes sur l’esprit du public souvent très jeune qui se retrouve complètement hypnotisé et lobotomisé.

Un grand nombre de ces chansons dites « commerciales » sont diffusées de nos jours à l’échelle planétaire sur le net à volonté et ont des significations spécifiques par leurs références au satanisme, au sexe, aux pratiques et symbolismes occultes de par leurs messages subliminaux et du comportement obscène des interprètes dans leurs clips ou sur scène, ces « artistes » ayant pactisé avec le diable ont souvent connus des débuts difficiles et ont finis par être recrutés par des initiés puis formatés au Projet Monarque Illuminati . Par la suite, ils connaissent une ascension fulgurante après un changement radical de look et de style pour enfin passer « de l’ombre à la lumière »

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Ces pseudo artistes mais vrais (es) sorciers (ères) ayant vendues leurs âmes servent un des plans du Nouvel Ordre Mondial luciférien consistant à pervertir les jeunes tombant sous leur emprise du mal, à les rendre de plus en plus familier avec le sexe, l’alcool , la drogue, la violence, les incitant à la désobéissance qu’elle soit religieuse, parentale ou civile et force est de constater que bien malheureusement, aujourd’hui la majeure partie de cette jeunesse n’aspire qu’à ressembler à leurs nouvelles ….. IDOLES !!!

Pour ceux qui veulent vraiment en savoir plus, voici les 5 épisodes de l’excellente série « The Signs » sur l’industrie de la musique satanique.

The Signs  – La Musique du Diable

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Avertissement : Ces vidéos peuvent heurter les personnes non habituées aux sciences occultes. Des passages contenant des images subliminales et invocations sataniques par le biais des paroles peuvent perturber, donc âmes fragiles s’abstenir, c’est aussi pourquoi il est récité à chaque début de vidéos des versets coraniques de protection.

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Et dire que tout a commencé par une flûte enchantée, celle de Pan !

Dans la mythologie grecque Pan, représenté comme un être difforme au torse velu, avec des jambes et des cornes de bouc , était le dieu des pâturages et des bergers. Syrinx, une nymphe d’Arcadie [une région de la Grèce située au centre de la péninsule du Péloponnèse ], tentait d’échapper à Pan lorsque la rivière Ladon bloqua sa fuite. Pour échapper aux assauts de Pan, elle pria les dieux pour être métamorphosée, et Pan ne put alors étreindre qu’une brassée de roseaux. Le son du vent dans leurs tiges lui fut si agréable qu’il en coupa quelques unes et en fit un jeu de flûtes, que nous connaissons sous le nom de « Flûte de Pan ». Ce satyre à l’appétit sexuel démesuré, assaillait indifféremment les nymphes et les jeunes garçons les séduisant au son envoûtant de sa flûte magique.

Il vivait dans les forêts, et sa couleur était le vert mais vous connaissez sans doute un autre ensorceleur, son nom Pan, son prénom, Peter, vous savez celui vêtu de vert, vivant dans une forêt enchantée et qui séduit les très jeunes enfants au son de sa flûte pour les emmener dans un monde merveilleux où les parents ne seraient plus là, où les règles n’existent pas, où ils pourraient faire ce qu’ils veulent…

En psychanalyse, le syndrome de Peter Pan est une expression utilisée pour désigner l’angoisse liée à l’idée de devenir adulte, dans la mythologie romaine, le « dieu-enfant » éternel est Bacchus, parfois associé au bouc, musicien, dieu de la vigne, du vin et des festivités, mais aussi de la danse, de la végétation, des plaisirs de la vie et de ses débordements, le dieu du « do what you want » antique en somme…

D’ailleurs qui a vraiment écrit « Peter Pan » , car l’auteur « officiel » James Matthew Barrie ne s’en souvient pas, comme cela est étrange…

« En 1928, vingt-quatre ans après la première représentation, après avoir sans cesse apporté des modifications importantes au texte et aux didascalies, Barrie se laisse enfin convaincre de publier sa pièce. Dans sa dédicace aux jeunes Davies, il déclare ne pas avoir le moindre souvenir de l’avoir écrite :

« [….] mon troublant aveu : ne plus me souvenir d’avoir écrit Peter Pan, ce texte que l’on publie à présent pour la première fois, longtemps après qu’il a fait son entrée en scène […] Je suis capable de me remémorer la rédaction de chacun de me textes […] sauf Peter […] Comment prouver qu’elle est bien de moi ?

[ …] N’importe lequel de vous cinq peut revendiquer la paternité de cette pièce…. « […] nombre des enfants que j’ai vu jouer à Peter Pan […] auraient pu l’écrire sans peine. (2) » (source)

Après les bergers et pâturages, Pan devient dieu des foules et de l’hystérie pour sa capacité à faire perdre la raison aux hommes, cette folie, sera l’origine étymologique du mot « panique », manifestation humaine de la colère de Pan, considéré à la fin du monde antique comme « le Grand Tout », l’énergie primordiale et féconde propre à l’univers et à la vie, d’où le Panthéisme, il fut par la suite assimilé à un démon, au prince des incubes ayant Lilith la reine des succubes pour parèdre ..

On peut s’interroger sur l’origine du Panthéon (pan – théos = tous les dieux), à Paris, avant la Révolution, cet édifice fut l’église Sainte Geneviève, par la suite ,l’église est transformée afin d’accueillir la dépouille de Mirabeau , le franc-maçon et devient un monument dédié au culte des « grands Hommes » ou celui du « Grand Tout » Pan …

Le franc-maçon, illuminati de Bavière, Mozart aussi à une Flûte enchantée dans son opéra initiatique,c’est d’une flûte que Mozart dote le Prince Tamino pour qu’il sorte vainqueur des épreuves qui l’attendent .

Vous connaissez certainement Le joueur de flûte de Hamelin des frères Grimm. Un inconnu propose ses services aux habitants d’une ville infestée par les rats. Au son de sa flûte, les rongeurs le suivent jusqu’à la rivière où tous se noient docilement. Effrayés, les habitants déclarent le musicien sorcier et le chassent. Il revient quelques temps plus tard et, par sa musique, envoûte cent enfants qui disparaissent à jamais.

Dans la vaste geste du Mahabharata, la flûte est l’instrument emblématique de Krishna. Ce dieu, par ailleurs puissant et fort craint, célébrait le bhakti -la dévotion- à travers les plaisirs de la musique et de l’amour. Il fabriqua une flûte capable d’envoûter et charmer n’importe quelle femme. La fascination exercée symbolise l’irrésistible attirance vers Dieu. Teint indigo, paré de bijoux, l’imagerie populaire le représente jouant de la flûte au milieu de bergères.

Le mot démon vient du mot grec « daïmon » qui signifie « génie ». Pan daïmon (Pan le démon) comme le Pandémonium, ainsi nommée la capitale imaginaire du « royaume » des enfers, le diable est connu pour se cacher dans les détails, ce « royaume » ne peut qu’avoir pour nom de capitale que celui de son roi, en l’occurrence celui qui se présente sous différentes formes et différents noms selon les époques, le virtuose des virtuoses qui séduit, corrompt et possède les âmes par ses plus beaux chants et instruments dotés d’un pouvoir hypnotique.

Pan est tout simplement l’un des nombreux noms de Satan, le « Rain Man » de l’industrie de la musique satanique, toujours caché dans les détails, voici un court extrait de la musique du film Rain Man « On The Road Wild :  Panpipes »

René Guénon dans « Les aspects de Satan » : « J’avouerai qu’à mes yeux ce terrible Satan/D’une étrange façon rappelle le Dieu Pan ! »

L’immonde Aleister Crowley lui a consacré un hymne , extrait :

« À travers le solstice acharné à l’équinoxe,
Je m’extasie ; et je viole et j’arrache et je déchire,
Éternel, monde sans fin,
Mannequin, demoiselle, ménade, homme,
Dans la puissance de Pan.
Io Pan ! Io Pan Pan ! Pan ! Io Pan ! »
Hymne à Pan, A. Crowley.

Le groupe Led Zeppelin a , dans une chanson considérée comme étant la plus populaire dans la musique rock «Stairway to Heaven», évoqué Pan « the piper » (le flûtiste) en ces termes…(Paroles complètes ici), nous avons vu plus haut le sens de certaines paroles écoutées à l’envers.

And it’s whispered that soon if we all call the tune
Et on chuchote que bientôt, si nous donnons tous la mélodie
Then the piper will lead us to reason
Alors le flutiste nous mènera à la raison
And a new day will dawn for those who stand long
Et un nouveau jour viendra pour ceux qui sont toujours là
And the forests will echo with laughter
Et les forêts retentiront de joie

If there’s a bustle in your hedgerow, don’t be alarmed now
S’il y a du remue-ménage dans ta haie, ne t’affole pas
It’s just a spring clean for the May queen
C’est simplement le nettoyage de printemps pour la Reine de Mai
Yes, there are two paths you can go by, but in the long run
Oui, il y a deux voies que tu peux prendre, mais au bout du compte
There’s still time to change the road you’re on
Il est encore temps de changer ta route
And it makes me wonder
Et ça sème le doute en moi

Your head is humming and it won’t go, in case you don’t know
Ta tête bourdonne et ça ne partira pas, au cas où tu ne le sais pas
The piper’s calling you to join him
Le flutiste t’invite à le rejoindre
Dear lady, can you hear the wind blow, and did you know
Chère madame, peux-tu entendre le souffle du vent, et le savais-tu
Your stairway lies on the whispering wind
Que ton escalier s’étend sur le vent murmurant

Dieu a mis Sa Parole immuable dans Son Livre, celles de Satan sont dans sa musique…

Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.

Sourate 17 : 63. Et [Allah] dit : « Va-t’en! Quiconque d’entre eux te suivra… votre sanction sera l’Enfer, une ample rétribution.

64. Excite, par ta voix, [sa musique] ceux d’entre eux que tu pourras, rassemble contre eux ta cavalerie et ton infanterie, associe-toi à eux dans leurs biens et leurs enfants et fais-leur des promesses ». Or, le Diable ne leur fait des promesses qu’en tromperie.

65. Quant à Mes serviteurs, tu n’as aucun pouvoir sur eux ». Et ton Seigneur suffit pour les protéger!

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