Trump est-il le “Back Door Man” d’Henry A. Kissinger & Cie?

Donald Trump deviendra aujourd’hui officiellement le 45ème président des États-Unis d’Amérique à l’issue de la cérémonie d’investiture. le Président Trump a nommé davantage de milliardaires dans son cabinet et aux principaux postes qu’aucun autre Président dans l’histoire américaine, l’excellent géopoliticien William F.Engdahl nous expose son analyse sur le rôle fantôme/en sous-main de l’ancien Secrétaire d’État et criminel de guerre Henry Kissinger dans la constitution de cette Trumpeuse administration ….


Trump est-il le “Back Door Man” d’Henry A. Kissinger & Cie?

L’appellation “Back Door Man” (NDT :  que nous avons traduit par “homme de (sous)-main”) a plusieurs connotations. Dans la chanson originale de blues par Willie Dixon, elle se réfère à un homme ayant une affaire avec une femme mariée, utilisant une porte arrière [back door] pour fuir avant que le mari ne rentre à la maison. Durant la Présidence de Gerald Ford, “Back Door Man“ fut employé pour Dick Cheney en tant que chef de cabinet de la Maison-Blanche [White House Chief of Staff], où il se distingua par ses “compétences“ lui permettant d’obtenir ce qu’il voulait par des moyens opaques[1]. Or de plus en plus, à mesure que se dévoilent les choix pour constituer son Cabinet, il semble que le projet tout entier de la Présidence Trump le révèle en tant qu’un “homme de (sous-)main” [NDT : à la fois un “homme de main” et un homme poussé discrètement depuis les coulisses, “en sous-main”], dans cette signification de l’appellation qui avait correspondu naguère à Cheney.

La rhétorique de campagne de Trump au sujet de “l’assèchement du Marais“ est oubliée depuis longtemps. En octobre, durant sa campagne, le candidat Trump avait en effet déclaré à la presse :

« des décennies entières d’accord entre intérêts spéciaux [special interest dealing] doivent prendre fin. Nous avons à casser ce cycle de corruption. […] Il est temps d’assécher le marais de Washington D.C. […] c’est pourquoi je propose une sélection de réformes éthiques afin de rendre notre Gouvernement à nouveau honnête »[2].

Or jusqu’à présent, le Président nouvellement élu a déjà nommé davantage de milliardaires dans son cabinet et aux principaux postes, qu’aucun autre Président dans l’histoire américaine : Betsy DeVos et sa fortune de l’AmWay en tant que Secrétaire [Ministre] à l’éducation, Wilbur Ross en tant que Secrétaire au Commerce, Linda McMahon à l’Agence pour les PME [SBA – Small Business Administration], et Vincent Viola en tant que Secrétaire aux Armées[3]. Ceci sans inclure Trump lui-même ici, en tant que milliardaire putatif.

Vient ensuite, au nombre des intérêts garantis du côté de Wall Street, Goldman Sachs comme détenant un énorme pouvoir au sein de la nouvelle Administration. Steven Mnuchin, associé chez Goldman Sachs, est le nominé de Trump en tant que Secrétaire au Trésor. Gary Cohn, Président de Goldman Sachs, va être son premier Conseiller Economique à la Maison-Blanche[4]. Anthony Scaramucci, membre du comité exécutif de l’équipe de transition présidentielle[5], est un ancien banquier de Goldman Sachs, de même que Steve Bannon, stratège en chef de Trump et son Conseiller Senior[6].

Ajoutons à cet assemblage rien de moins que quatre généraux militaires, représentant le Complexe Militaro-Industriel le plus corrompu de l’histoire humaine : en tant que Secrétaire la Défense, le Général (ret.) James « Mad Dog [chien fou] » Mattis, depuis sa retraite membre du Conseil d’un cocontractant majeur du Département de la Défense General Dynamics ; le Lt. General Mike Flynn (ret.), avec sa propre firme de consultance, en tant que Conseiller à la Sécurité Nationale [National Security Adviser], et le Général (ret.) John F. Kelly en tant que Secrétaire à la Sécurité Intérieure  [Homeland Security].

Ajoutez encore à cette collection les noms de Rex Tillerson, PDG d’ExxonMobil, la plus grosse multinationale du pétrole des États-Unis, en tant que Secrétaire d’État;  l’ancien Gouverneur du Texas, les plus grand État américain producteur de pétrole, Rick Perry, en tant que Secrétaire à l’Energie, aux côtés du procureur général de l’Oklahoma pro-schistes Scott Pruitt, pressenti à la tête de l’Agence de Protection de l’Environnement [EPA – Environmental Protection Agency], et nous pouvons pressentir l’émergence de certaines politiques économiques dramatiques, compares à la malheureuse présidence précédente.

La géopolitique de Kissinger rentre par la porte arrière.

Ce qui émerge n’est pas joli, et semble tristement confirmer ma pièce précédente au sujet de la tromperie que représente la Présidence Trump[7].

Pourtant, dans tout ceci il manque encore un composant essentiel à mon avis, à savoir : le rôle fantôme/en sous-main de l’ancien Secrétaire d’État Henry A. Kissinger, qui semble émerger en tant que conseiller non officiel à la politique étrangère de cette Administration Trump. Car si nous suivons les traces de Kissinger durant ces derniers mois, nous trouvons en effet une série de réunions hautement intéressante.

Le 26 décembre 2016, le quotidien allemand Bild Zeitung a en effet publié ce qui est présenté comme la copie d’une analyse produite par un membre de l’Equipe de Transition de Trump, qui a révélé que, en tant que Président, Trump va chercher une “coopération constructive” avec le Kremlin, en contraste complet avec les politiques de confrontation et de sanctions d’Obama. Les journaux ont conjecture par la suite du rôle de l’ancien Secrétaire d’État de 93 ans, Henry A. Kissinger en tant que conseiller à la politique étrangère principal, bien qu’officieux.

Le rapport déclare en effet que Kissinger est en train d’élaborer un plan visant à rendre plus “harmonieuses” les relations entre la Russie de Poutine et les États-Unis de Trump, ce qui inclurait une reconnaissance officielle par les États-Unis de la Crimée en tant que partie intégrante de la Russie, et levant les sanctions économiques américaines qu’Obama a imposées, en rétribution à ce qui fut considéré comme l’annexion de la Crimée en 2014, ceci entre autres étapes[8].

L’événement inattendu, dans ce changement de ton net et soudain de la politique américaine, c’est l’objectif géopolitique astucieux de Kissinger visant à « ramener Poutine dans la tente de l’OTAN », pour paraphraser ce que l’ancien Président américain originaire du Texas Lyndon Baines Johnson avait pu dire élégamment en son temps[9].

Que vise donc Kissinger? Certainement pas un “monde multipolaire” qui respecterait les souverainetés nationales, comme il le clame, de cela nous pouvons être certain. Les visées de Kissinger consistent à éroder subtilement l’axe bilatéral qui se renforce entre la Chine et la Russie, et qui menace l’hégémonie globale américaine.

Car la tendance de ces dernières années, depuis le coup d’État manqué d’Obama en Ukraine début 2014, menace en effet de compromettre le projet d’une vie qui fut celui de Kissinger, autrement appelé la “marche vers un gouvernement mondial” de David Rockefeller : un Gouvernement Mondial dans lequel « la souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle de banquiers mondiaux, est certainement préférable à l’autodétermination nationale telle qu’elle fut pratiquée durant les derniers siècles », pour reprendre les mots attribués à Rockfeller lui-même devant l’un de ses groupes sélectionnés, à l’époque de l’effondrement de l’Union soviétique en 1991[10]. Le mémo au sujet de la relation Trump-Kissinger dans le Bild Zeitung, déclarant ensuite que l’idée d’un réchauffement des relations avec la Russie, vise à compenser la montée en puissance de l’appareil militaire chinois[11]. En d’autres termes, il s’agirait là d’un jeu bien différent de celui joué par Obama, mais néanmoins toujours un jeu de pouvoir.

Un véritable équilibre des pouvoirs.

Kissinger est l’un des derniers praticiens survivants de la doctrine géopolitique historiquement britannique appellée “Equilibre des Pouvoirs” [Balance of Power]. Le veritable Equilibre des Pouvoir britannique, tel qu’il fut pratiqué dans l’histoire diplomatique et militaire britannique depuis le traité de Windsor de 1386 (entre l’Angleterre et le Portugal), a toujours impliqué pour l’Angleterre de contracter des alliances avec la plus faible parmi deux puissances rivales, afin de défaire la plus forte, et de voler par la suite à l’occasion de ce processus le pouvoir au plus faible, épuisé. Ceci fut pratiqué avec un extraordinaire succès jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, permettant de bâtir ainsi l’Empire Britannique.

Cet Équilibre des Pouvoir britanniques suppose d’être toujours en mesure de savoir quelle puissance, dans le cas des États-Unis gouvernés par Kissinger, va faire office d’“équilibrage”. Des suites de la défaite de la France de Napoléon aux pourparlers de paix du Congrès de Vienne, en 1814, le Secrétaire d’État britannique aux Affaires étrangères, le vicomte Castlereagh, s’ingénia ainsi à élaborer un traité qui garantirait qu’aucune puissance européenne continentale ne pourrait dominer les autres, une stratégie qui perdura jusqu’à 1914 et la Première Guerre mondiale. Ce que de nombreux historiens politiques ignorent, c’est que cet Equilibre des Pouvoir continentaux fut essentiel pour la création de l’Empire Britannique, qui put dominer le monde en tant que puissance navale principale durant un siècle.

Or dans sa dissertation de Ph.D. pour l’Université de Harvard en 1950, Kissinger écrivit ce qui devait devenir le titre d’un livre : « Un monde restauré : Metternich, Castlereagh et les Problèmes de la Paix, 1812-1822 ». Cette étude de l’Equilibre des Pouvoirs britannique, demeura au cœur des machinations machiaveliennes de Kissinger depuis qu’il eut à occuper son premier emploi, grâce à la famille Rockfeller durant les années 1960. Dans son « Monde restauré », Kissinger declare en effet :

 « la diplomatie ne peut pas être déconnectée des réalités de force et de pouvoir. Mais la diplomatie devrait être déconnectée […] de toute préoccupation morale ou d’indiscrétion, relatives aux politiques intérieures des autres nations ». Plus loin il ajoutait que « l’épreuve ultime pour un homme d’État, est alors sa capacité à reconnaître les réelles relations de force et de faire en sorte que cette connaissance serve ses propres fins »[12].

Depuis les débuts de sa relation avec Nelson Rockfeller durant les années 1950, puis avec les Frères Rockefeller (Lawrence, David, Winthrop), Henry Kissinger est demeuré le stratège central de la mondialisation voulue par la famille Rockfeller, ou Gouvernement Mondial par dessus les nations, tel qu’appelé de ses vœux par David en 1991[13]. Ceci devait inclure le rôle d’Henry Kissinger dans les réunions du Bilderberg, puis avec la Commission Trilatérale de David [Rockefeller] et tout cela jusqu’à aujourd’hui encore. Ce fut le Secrétaire d’État Kissinger, qui demanda à son bon ami David Rockefeller de faciliter “l’ouverture de la Chine“ vis-à-vis de l’Ouest en 1971, voulue par Nixon. À cette époque, les visées de Kissinger avec ses contrepoids géopolitiques, consistaient à séduire la Chine, qui était alors le plus faible des deux grands adversaires de Washington, afin de l’inclure dans une alliance voulue par l’Ouest contre l’Union soviétique, qui était alors le plus fort adversaire, au moins en termes géopolitiques et militaires.

Aujourd’hui, tandis que commence l’année 2017, les rôles se sont inversés et clairement, la Chine a émergé après plus de trois décennies d’expansion économique et industrielle débridée, en tant que le plus grand adversaire de ce “Gouvernement Mondial“ de David Rockefeller. La Russie, des suites de la sauvagerie économique et de la désindustrialisation des années Yeltsin post-1991, est dans la vision de Kissinger, clairement le plus faibles de ses deux adversaires. Tant la Chine que la Russie, sous Xi Jinping et Poutine, sont aux côtés de l’Iran, les plus redoutables défenseurs de la souveraineté nationale : celle-là même qui constitue le principal obstacle s’élevant sur la voie du Gouvernement (fasciste) Mondial de David Rockefeller (que j’utilise ici comme modèle de comparaison).

L’étrange diplomatie de Kissinger.

J’ai perçu les actions récentes de Kissinger d’après cette perspective : comment briser la menace eurasienne émergente, face à un Nouvel Ordre Mondial dominé par l’Ouest? Et dans ce cas, c’est plus clair. Il [Kissinger] s’est révélé grossièrement exagéré dans sa louange récente à l’égard du néophyte politique mais magnat des casinos Trump. Dans une entrevue accordée à CBS TV en décembre, Kissinger a en effet déclaré que Trump « a la possibilité d’entrer dans l’histoire comme un Président tout à fait considérable ». Il a ajouté que du fait de la perception selon laquelle Obama a affaibli l’influence de l’Amérique à l’étranger, « on peut imaginer que quelque chose de remarquable et nouveau émerge » de l’Administration Trump. « Je dirais que c’est une opportunité extraordinaire »[14].

Or, plus nous regardons derrière les apparences, et surtout vers les choix clés en matière de politique étrangère réalisée par le néophyte Trump, plus nous retrouvons en effet les traces d’Henry A. Kissinger. Le choix par exemple du général James « Chien Fou » Mattis en tant que Secrétaire à la Défense, rejoint tout à fait les vues de Kissinger. Mattis et Kissinger ont tous les deux servi jusqu’à 2016 au sein du Conseil des directeurs d’un partenariat privé bizarre et controversé, en matière de technologie médicale, Theranos en Californie, aux côtés de celui qui était (jusqu’à récemment) l’ancien Secrétaire d’État George Shultz, de l’ancien Secrétaire à la Défense Bill (William) Perry, de l’Amiral (ret.) Gary Roughead, et de l’ancien Président de la banque Wells Fargo, Dick Kovacevich.[15]

Mattis, que Trump compare au General Patton, a rédigé en août 2016 un rapport attaquant à la fois les Administrations Obama, Bush Jr. et Bill Clinton, pour un manque perçu de vision en matière de Sécurité Nationale, pour avoir ignoré les menaces posées par la Russie, la Chine et les groupes terroristes de par le monde[16].

Les mêmes traces du sournois Kissinger apparaissent avec la nomination surprise du patron d’ExxonMobil, Rex Tillerson, en tant que Secrétaire d’État. ExxonMobil étant bien sûr issu du noyau original [Standard Oil] de la richesse de la famille Rockfeller. Kissinger a produit une forte et décisive recommandation pour Tillerson, déclarant que parce que Tillerson avait de fortes relations personnelles avec le Président russe Poutine et avec la compagnie pétrolière d’État russe, Rosneft, il n’y avait pas de raison de disqualifier Tillerson :

« Je n’accorde pas d’intention à l’argument serais trop amical envers la Russie. En tant que patron d’Exxon, il s’agit de son travail, d’être en de bons termes avec la Russie. Il serait inutile en tant que patron d’Exxon, il n’avait pas une relation de travail [correcte] avec la Russie »[17].

De même qu’entre Kissinger et Mattis, Kissinger a également servi au sein d’un Conseil d’Administration avec Tillerson. Tant Tillerson que Kissinger, sont des membres du très influent Center for Strategic and International Studies (CSIS) de Washington, aux côtés de membres éminents comme Zbigniew Brzezinski et l’ancien Secrétaire à la Défense Leon Panetta.

En vérité, dans le plus pur style “diplomatie secrete” que Kissinger appliqua si bien par son rôle ayant consisté à déclencher la guerre du Kippour d’octobre 1973, Kissinger avait apparemment gagné le respect de Vladimir Poutine en tant que “politicien de classe mondiale”. En février 2016, Kissinger alla à Moscou afin de rencontrer Putin en privé. Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, qualifia cette réunion comme la continuité d’un « dialogue amical entre le Président Poutine et Henry Kissinger, qui sont liés par une relation de longue date »[18].

Le 2 décembre, Kissinger fut personnellement invité par le Président chinois Xi Jinping à Beijing, afin de discuter des perspectives que représente la Présidence Trump pour la Chine. Kissinger est regardé depuis 1971, comme un intermédiaire de confiance unique par les Chinois, pour servir en tant que médiateur quant aux intentions de la politique américaine[19].

Avec Kissinger, se trouvant à présent dans une relation unique avec le Président élu Trump, en tant que conseiller “fantôme” en matière de politique étrangère, avec des alliés de Kissinger comme Tillerson en tant que Secrétaire d’État, Mattis en tant que Secrétaire à la Défense, commence à apparaître la lourde main de Kissinger et sa version de l’Equilibre des Puissances britanniques : constituée de manipulations politiques, elle vise la Chine de même que l’Iran, et va essayer d’utiliser Poutine et la Russie afin de détruire la véritable possibilité d’un contrepoids face aux illusions d’un Ordre Mondial unique conçu à l’Ouest. Et pour cela, il lui faudra favoriser la méfiance et le mauvais sang entre la Chine, la Russie et l’Iran.

Il y a simplement trop de coïncidences, dans la récente émergence de Kissinger (“l’homme d’État mondial pour la paix”[20]), pour ne pas penser qu’en vérité, dès le début, Donald Trump ait pu être désigné pour être l’homme de (sous-)main [back Door Man] d’Henry A. Kissinger’s, afin de ré-enclencher la géopolitique mondiale vers un rôle moteur des États-Unis en tant que “Domina über Alles“[21].

 William F. Engdahl


Notes et sources

Article original en anglais :

trump-élection

Billionaires to Key Cabinet Positions: Is Donald Trump the “Back Door Man” for Henry A. Kissinger & Co?

Traduction par Jean-Maxime Corneille, pour Réseau International.

[1] Wikipedia, Back Door Man, https://en.wikipedia.org/wiki/Back_Door_Man.

[2] “Trump Pledges To Drain The Swamp And Impose Congressional Term Limits”

18 Octobre 2016, https://www.donaldjtrump.com/press-releases/trump-pledges-to-drain-the-swamp

[3] Julianna Goldman, “Donald Trump’s Cabinet richest in US history, historians say”, CBS News, 20 Decembre 2016, http://www.cbsnews.com/news/donald-trump-cabinet-richest-in-us-history-historians-say/

[4]NDT : [Top White House Economic Adviser] sur la hiérarchisation des Conseillers au sein de la Maison-Blanche, voir directement sur son site officiel : Equipe de la Maison-Blanche [Staff], Conseil [des Conseillers] Economiques [Council of Economic Advisers], ses écrits et ses membres. Pour rappel, concernant la pénétration par Goldman Sachs de la campagne de Trump : « Garder son sang-froid : Trump est obligé de donner des gages à Wall Street… » (CVR, 11 novembre 2016) ; « Soumission de Donald Trump aux banques, acte I : Un ex gourou de Goldman Sachs entre dans son équipe de campagne… »   (CVR, 8 mai 2016).

[5] Presidential Transition Team Executive Committee.

[6] Dakin Campbell, “Goldman Is Back on Top in the Trump Administration”, Bloomberg, 22 Décembre 2016, https://www.bloomberg.com/news/articles/2016-12-22/goldman-is-back-on-top-in-the-trump-administration. NDT : voir aussi “10 choses à savoir sur Steve Bannon, l’inquiétant bras droit de Donald Trump” (Nouvel Obs, 15 novembre 2016).

[7] F. William Engdahl, “The Dangerous Deception Called The Trump Presidency”, NEO, 25 Novembre 2016, http://journal-neo.org/2016/11/25/the-dangerous-deception-called-the-trump-presidency/.

[8] Sputnik News, “Kissinger to Advise Trump on Bridging Gaps With Russia”, 27 Decembre 2016, https://sputniknews.com/politics/201612271049024500-kissinger-trump-russia/

[9] Référence à une citation de Lyndon B. Johnson : “mieux vaut les avoir à l’intérieur de la tente pissant vers l’extérieur, qu’à l’extérieur puissant vers l’intérieur” [“Better to have them inside the tent pissing out than outside pissing in« ]; au sujet du Directeur du FBI J. Edgar Hoover, cité dans le New York Times (31 Octobre 1971)

http://izquotes.com/quote/241192

 http://www.libraryofquotes.com/quote/1888168.

[10] David Rockefeller, Discours à la Commission Trilatérale, Juin 1991, Baden-Baden, Allemagne, cite dans “Matrix of Power: How the World Has Been Controlled by Powerful Men Without Your Knowledge” (Jordan Maxwell, 2000). Si la citation ne pourra jamais être réellement authentifiée, les Mémoires de David Rockefeller comportent suffisamment d’éléments pour jauger sa pertinence, notamment son aveu clair d’un complot internationaliste contre les États-Unis d’Amérique (Editions de Fallois, 2006, p.475).

http://opengov.ideascale.com/a/dtd/David-Rockefeller-s-book-Memoirs-admits-secretly-conspiring-for-a-NWO/4007-4049.

[11] Sputnik News, op. cit.

[12] Henry Kissinger, “A World Restored: Metternich, Castlereagh and the Problems of Peace, 1812-1822” (1957) http://www.classicsofstrategy.com/2016/02/henry-kissinger-a-world-restored-1957.html.

[13] NDT : si la citation évoquée plus haut de David Rockefeller peut être sujette à caution, croiser avec celle de James Paul Warburg à la tribune du Sénat américain, 17 février 1950 : “Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question sera de savoir si il sera créé par conquête ou par le consentement. » Une étude sérieuse de la généalogie et des réalisations de la famille Warburg permettra de comprendre aisément le sens de son propos ici (Paul Moritz Warburg, son père fut par exemple l’un des inspirateurs majeurs de la création de la Réserve Fédérale – voir notamment Anthony Sutton : “Le complot de la Réserve Fédérale”, 1995 – Editions francophone Nouvelle Terre, 2009).

[14] Nahal Toosi et Isaac Arnsdorf, “Kissinger, a longtime Putin confidant, sidles up to Trump”, 24 Decembre 2016, http://www.politico.com/story/2016/12/trump-kissinger-russia-putin-232925.

[15] Roger Parloff, “A singular board at Theranos”, Fortune, 23 Juin 2016, http://fortune.com/2014/06/12/theranos-board-directors/.

[16] Leo Shane III, “It’s official: Donald Trump has chosen Gen James Mattis for defense secretary”, Military Times, 1er Décembre 2016,  http://www.militarytimes.com/articles/donald-trump-james-mattis-defense-secretary.

[17] Sangwon Yoon, “Kissinger at 93 Expounds on Rex Tillerson, One-China and Trump”, Bloomberg, 14 Décembre 2016, https://www.bloomberg.com/news/articles/2016-12-14/kissinger-at-93-expounds-on-rex-tillerson-one-china-and-trump.

[18] RT News, “Putin meets ‘old friend’ Kissinger visiting Russia”, 3 February, 2016,  https://www.rt.com/news/331194-putin-meets-friend-kissinger/.

NDT : ce qui est certainement la vraie cause de ces bonnes relations entre Kissinger et Poutine, ce fut le fait que Kissinger fut un traître prosoviétique dès 1945, à l’époque où il servait en Allemagne : il fut un collaborateur des Services soviétiques avérés dès cette époque, fondant les soupçons émis par un certain nombre de patriotes américains à son encontre depuis lors, de Patton à Hoover (voir : « la double face d’Henry Kissinger », chronique de décembre 2002 de Pierre de Villemarest, reproduite dans « Faits et Chroniques interdits au public », Tome 1, Pierre et Danielle de Villemarest, William D. Wolf, Aquillon, 2003).

[19] Bloomberg News, China Grappling With Trump Turns to Old Friend Kissinger, 2 December 2016, https://www.bloomberg.com/news/articles/2016-12-02/china-grappling-with-trump-turns-to-old-friend-kissinger.

[20] NDT : “World statesman of peace”, c’est l’idée qu’il resta de Kissinger après la guerre du Kippour, alors qu’il contribua lourdement à la déclencher…

[21] Références sado-masochiste ici, pendant ce sens que le rôle des élites prétendant gouverner la politique étrangère des États-Unis, vise avant tout la domination par tout moyen. Également le thème de son livre Full Spectrum Dominance“ (2008) qui détaille par le menu cette stratégie américaine.

William F. Engdahl est consultant en risques stratégiques et conférencier, titulaire d’un diplôme en Sciences Politiques de l’Université de Princeton. Il est l’auteur de plusieurs livres à succès sur le pétrole, la géopolitique et les OGM.

Source

14 réflexions au sujet de “Trump est-il le “Back Door Man” d’Henry A. Kissinger & Cie?”

  1. Les présidents se succèdent et ce démon est toujours là en coulisse, un coup c’est lui , un coup c’est Brzezinski le vampire qui doit avoir au moins 3 siècles…je blague mais à peine…

    Ce combustible de l’enfer a annoncé le programme il y’a quelques temps déjà et bien avant l’élection de Trump la marionnette ;

    Henry Kissinger le vrai programme ;

    Il s’agit de prédictions fracassantes, faites en février 2012…:

    Henry Kissinger

    “Si vous ne pouvez pas entendre les tambours de guerre, il vous faut être sourd”

    “Contrôlez le pétrole et vous contrôlerez les nations, contrôlez la nourriture et vous contrôlez le peuple, contrôlez la monnaie et vous contrôlerez le monde. »

    « Les États-Unis appâtent la Chine et la Russie, et le dernier clou dans le cercueil sera l’Iran, qui est, bien sûr, la principale cible d’Israël. Nous avons permis à la Chine d’accroître sa force militaire et à la Russie de se remettre de la soviétisation, pour leur donner un faux sentiment de bravade, cela va créer une mort conjointe plus rapide pour eux. »

    «Nous avons dit aux militaires que nous aurions à prendre plus de sept pays du Moyen-Orient pour leurs ressources et ils ont presque terminé leur travail. Nous savons tous ce que je pense de l’armée, mais je dois dire, cette fois, qu’ils ont amplement obéi aux ordres. »

    « Le grand ours Russe et la faucille chinoise seront réveillés de leur sommeil et c’est à ce moment qu’Israël va devoir se battre de toutes ses forces et de ses armes pour tuer autant d’Arabes qu’elle le peut. Espérons que si tout va bien, la moitié du Moyen-Orient sera aux israéliens. »

    « Nos équipes de jeunes, aux États-Unis et à l’Ouest, sont préparées parce qu’elles ont été programmées pour être de bons soldats, de la chair à canon quand elles seront commandées pour sortir dans les rues et lutter… »

    « La guerre à venir sera si grave qu’une seule superpuissance pourra gagner, et ce sera nous autres. »

    « Sur les cendres nous construirons une société nouvelle, il restera seulement une superpuissance de gauche, et seule, elle sera le gouvernement mondial qui gagne. »

    « N’oubliez pas, les États-Unis ont les meilleures armes, nous avons des choses qu’aucune autre nation n’a, et nous introduirons ces armes quand le moment sera venu. »

    http://archive.almanar.com.lb/french/article.php?id=50239

    Voilà qui a le mérite d’être clair.

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  2. « Le corollaire de ce sionisme messianique, c’est le judéo-christianisme qui va naître pour pervertir le monde chrétien et le soumettre, pour lui faire appliquer et exécuter le plan messianique juif et aussi la stratégie du Choc des civilisations, puisque dans la mystique juive, dans l’eschatologie juive et dans les études bibliques de certains rabbins, la gloire du peuple juif d’Israël ne peut venir que par la destruction d’Édom (c’est-à-dire l’Europe chrétienne) et d’Ismaël (c’est-à-dire le monde musulman) par une confrontation horizontale : envoyer Édom contre Ismaël pour qu’ils soient mutuellement détruits et pour qu’enfin le judaïsme puisse régner sur Terre et avec sa nation, Israël. »

    Quel avenir pour le sionisme sous Donald Trump ?. Youssef Hindi excellent comme toujours ;

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  3. HS mais qui résume l’ambiance pré-électorale et cette situation mondiale au bord de l’explosion ;

    Aulnay-sous-Bois : des policiers ont tiré à balles réelles, une voiture de la BAC aspergée d’essence ;

    Les rumeurs de tirs à balles réelles lors de la nuit du 6 au 7 février à Aulnay-sous-Bois ont été confirmées par le syndicat de police Alliance. Par ailleurs, des émeutiers ont essayé d’incendier une voiture de la BAC avec des agents à l’intérieur.

    Alors que des incidents opposaient émeutiers et forces de l’ordre à Aulnay-sous-Bois, dans la nuit du 6 au 7 février, des informations publiées sur les réseaux sociaux ont fait état de tirs à balles réelles par les forces de l’ordre, photos de douilles de munitions de calibre 9mm à l’appui.

    https://francais.rt.com/france/33613-aulnay-sous-bois-tirs-balles-incendie-bac-police

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  4. Merci aux Yankees : record de victimes civiles en 2016 en Afghanistan !

    « Merci aux Américains et à leur armée ainsi qu’à l’OTAN et ses laquais européens pour avoir organisé ce massacre de masse. Ils expliquaient se débarrasser d’Al Qaïda, démocratiser le pays, le résultat obtenu est le contraire avec un nombre de morts 100 fois supérieur à celui des victimes du 11/9 pour lesquelles l’Afghanistan n’a absolument rien à voir ,contrairement aux mensonges de l’administration Bush.

    Près de 11 500 civils afghans ont été tués ou blessés en 2016, dont un tiers d’enfants, le pire bilan enregistré depuis le début de ce décompte annuel en 2009, a indiqué lundi la Mission d’assistance des Nations unies en Afghanistan (Manua).

    Plus de 3500 enfants figurent parmi les victimes, un bilan en augmentation «disproportionnée» de 24% en un an,… »

    http://www.lelibrepenseur.org/merci-aux-yankees-record-de-victimes-civiles-en-2016-en-afghanistan-selon-lonu/

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  5. Al Zawahiri une marionnette qui fait le jeu des marionnettistes.

    Il y a des forces invisibles qui opposent artificiellement l’occident et le monde musulman.

    Cette article dresse bien le tableau de l’etablisment Américain.

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    1. Poutine qui prend soin de Kissinger.

      Vu comment Poutine lui cire les pompes on devine l’importance du personnage.

      Ya une certaine proximité pas comme avec Manu.

      Ces dernières années le Jacques Attali cainri s’est entretenu à plusieurs reprise avec le Tsar.

      On dirait un élève qui reçoit son mentor.

      C’est rare de voir Poutine faire autant de courbette.

      Kissinger et son idéologie messianique.

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    2. Je le répète encore une fois on devine l’influence du personnage jusqu’en extrême orient ce shayatin trouble fête fait de la diplomatie.

      Toujours en backstage

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    3. En 1975 Richard Nixon avec le roi Faycal puis au milieu Henry.

      Kissinger en mode Marco Polo

      Kissinger et ses accointances sombre David Rockefeller.

      Kiki dans les bras de Bibi

      Il y a des marionnettes et des marionnettistes, il y a des pantins et ceux qui agissent en coulisse.

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  6. Salam @ Typical

    Ces images datent de 2014 et ce Kissinger était l’envoyé spécial de Obama lors de la crise ukrainienne qu’il (Obama) avait lui-même provoqué et Joe Biden était……vice-président !! l’élection de Trump est venu fausser et/ou retarder leurs plans, et on a failli le destituer durant son mandat. Joe Biden a été dans tous les coups fourrés, Irak, Afghanistan, Syrie, Ukraine, etc…il était pour l’assassinat de Saddam Hussein.

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    1. @ Poutchino alaykoum salam!

      Tout à fait mais pas toute il y en a qui date de 2017, mais dans tous les cas ces images se fondent dans la thèmatique de l’article et font écho à l’actualité au vue de ce que tu viens fort bien d’évoqué, surtout en ce qui concerne Biden.

      En effet sous l’administration Obama, on retrouve dans le cabinet du vice-président Joe Biden des proches de ce dernier que je vais nommer les straussiens en reference à Léo Strauss.

      Son conseiller pour la Sécurité nationale, Jacob Sullivan, joua un rôle central dans l’organisation des opérations contre la Libye, contre la Syrie et contre le Myanmar, tandis qu’un de ses autres conseillers, Antony Blinken, se concentra sur l’Afghanistan, le Pakistan et l’Iran.
      C’est lui qui pilota les négociations avec le Guide suprême Ali Khamenei qui aboutirent à l’arrestation et à l’emprisonnement des principaux membres de l’équipe du président Mahmoud Ahmadinejad en échange de l’accord sur le nucléaire.

      Le changement de régime à Kiev, en 2014, est organisé par les Straussiens.
      Le vice-président Biden s’y engage résolument.
      Victoria Nuland vient soutenir les éléments néo-nazis du Secteur droit et superviser le commando israélien de “Delta” sur la place Maïdan.
      Une interception téléphonique révèle son souhait d’« enculer l’Union européenne » (sic) dans la tradition du rapport Wolfowitz de 1992.
      Mais les dirigeants de l’Union européenne ne comprennent pas et ne protestent que mollement.

      “Jake” Sullivan et Antony Blinken placent le fils du vice-président Biden, Hunter, au conseil d’administration d’une des principales sociétés gazières, Burisma Holdings, malgré l’opposition du secrétaire d’État John Kerry.
      Hunter Biden n’est malheureusement qu’un junkie, il servira de paravent à une gigantesque escroquerie au détriment du peuple ukrainien.
      Il désignera, sous la surveillance d’Amos Hochstein, plusieurs de ses amis de défonce pour devenir d’autres hommes de paille à la tête de diverses sociétés et piller le gaz ukrainien.
      Ce sont ces gens là que le président Vladimir Poutine a qualifié de « clique de drogués ».

      Sullivan et Blinken s’appuient sur le parrain mafieux Ihor Kolomoïsky, la troisième fortune du pays.
      Bien que juif, il finance les gros bras du Secteur droit, une organisation néo-nazie qui travaille pour l’Otan et se bat sur la place Maïdan lors du « changement de régime ».
      Kolomoïsky profite de ses accointances pour prendre le pouvoir au sein de la communauté juive européenne, mais ses coreligionnaires se rebiffent et l’éjectent des associations internationales.
      Il parvient cependant à faire nommer le chef de Secteur droit, Dmytro Yarosh, secrétaire adjoint du Conseil national de Sécurité et de Défense ukrainien et à se faire nommer lui-même gouverneur de l’oblast de Dnipropetrovsk.
      Les deux hommes seront rapidement écartés de toute fonction politique.
      C’est leur groupe que le président Vladimir Poutine a qualifié de « clique de néo-nazis ».

      En 2017, Antony Blinken fonde WestExec Advisors, une société de conseil qui réunit d’anciens hauts fonctionnaires de l’administration Obama et beaucoup de Straussiens.
      L’activité de cette société est extrêmement discrète.
      Elle utilise les relations politiques de ses employés pour faire de l’argent ; ce que partout ailleurs, on appellerait de la corruption.

      Joe Biden n’est pas un Straussien, mais il fait des affaires avec eux depuis une quinzaine d’années.

      Ici avec Anthony Blinken.

      Depuis le retour de Joe Biden à la Maison-Blanche, cette fois en tant que président des États-Unis, les Straussiens tiennent l’ensemble du système.
      “Jake” Sullivan est conseiller national de Sécurité, tandis qu’Antony Blinken est secrétaire d’État avec Victoria Nuland à ses côtés.

      Dans le dernier article du blog en date, elle se rend à Moscou en octobre 2021 et menace d’écraser l’économie de la Russie si celle-ci n’obtempère pas.

      C’est le début de la crise actuelle.

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  7. @Typical

    Merci mon ami pour ce complément d’infos. Tout s’imbrique et on comprend mieux pourquoi Trump devait être éjecté de la Maison Blanche. Le fils Biden fait de grosses affaires en Ukraine et tous les noms que tu as cités sont impliqués.
    Depuis son indépendance, l’Ukraine est devenue la plaque tournante de toutes sortes de trafic et, selon des sources fiables, il parait qu’il existe plusieurs sites ou laboratoires genre « Yuhan » et, à partir de là, on comprend encore mieux pourquoi Poutine insiste sur  » dénaziffier » l’Ukraine ( comprendre par là que nazi= solution finale).
    N’est-ce pas ce même Blinken qui était en Pologne et en Moldavie et qui avait déclaré que les USA sont prêtes à envoyer des avions de chasse F-16 en Pologne si cette dernières enverrait ses Mig en Ukraine?
    Ces diables envoient les Européens au casse-pipe sans trop s’impliquer directement car l’histoire dit qu’ils n’ont gagné aucune guerre !
    Ce qu’on ne comprend pas dans cette affaire c’est la manque de discernement de certains pays européens qui se font jeter dans la gueule du loup, manipulés par les USA.
    Quand on voit ce Macron gesticuler ici et là, s’impliquer encore plus dans ce conflit, menacer, sanctionner…la Russie, on dirait que c’est la France qui est en Guerre contre Potine et la Russie.
    Mais comme disait le Général Giap ; « La France est un mauvais élève ».
    Dans la première guerre mondiale, la France a été entrainée dans une guerre qui ne la concernait ni de près ni de loin, elle a en payé le prix fort !!!
    Ne dit-on pas que l’histoire est un éternel recommencement?

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    1. @ Poutchino

      Mon frère et ami je t’apprends rien si je te dis que l’Allemagne et la France qui sont les garants des accords de Minsk n’ont rien faits face à la montée du neo nazisme Ukrainien.

      Pour mieux comprendre le positionnement de la France dans les affaires étrangères il faut suivre le « guide » Bernard Henry Lévy.

      BHL qui etait présent lors de la « révolution de la dignité » dite aussi « euro Maïdan » fais semblant d’etre aveugle.

      En Décembre 2021 le Président acteur Ukrainien hisse en héros de la nation un dirigeant du secteur droit faciste.

      Donc je te rejoins complètement l’Ukraine c’est devenue le Far West en effet.

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